Liste des familles subsistantes de la noblesse française (A à K) — Wikipédia
Cette liste des familles subsistantes de la noblesse française rassemble les familles subsistantes qui étaient membres de la noblesse française de l'Ancien Régime avant le , celles qui ont été anoblies et/ou titrées au cours des différents régimes du XIXe siècle, et celles de la noblesse des provinces réunies à la France après 1789 : du comtat Venaissin, du duché de Savoie et du comté de Nice (après 1860).
Cet article recense les familles comptant au moins un membre vivant (homme ou femme) qui, selon les règles de transmission de la noblesse en vigueur en France en 1789, descendent en ligne masculine, naturelle [sans adoption], et légitime [dans le cadre du mariage] d’un auteur en possession de la noblesse française acquise et transmissible ou d’un titre héréditaire d’Empire ou de Restauration, par acte émanant du pouvoir souverain d'un territoire aujourd'hui français[1].
Les familles éteintes en France mais subsistantes à l'étranger sont incluses dans cette liste. A contrario, les familles françaises subsistantes qui tirent leur principe de noblesse d'un souverain étranger (noblesse étrangère), et qui n'ont pas été maintenues ou reconnues nobles en France (r.n.f.) n'y sont pas incluses.
Par ailleurs, signalons que des auteurs[2] expriment toutefois des désaccords sur certaines preuves de noblesse, sur l'expression noblesse d'Empire, sur la notion de noblesse au XIXe siècle et sur la notion de « noblesse inachevée ». Signalons également que cette liste ne tient pas compte des lois françaises de 2009 sur la filiation.
Caractéristiques[modifier | modifier le code]
Nombre de familles et de personnes[modifier | modifier le code]
Le nombre de familles subsistantes de la noblesse française est généralement évalué à un peu plus de 3 000[3]. Pour les personnes les estimations varient de 50 000 ou de 100 000[d 1] à 140 000 individus, ce qui représente environ 0,1 à 0,2 % de la population française.
Pour Régis Valette, il restait 3 092 familles subsistantes de la noblesse française en 2007, dont 2 748 d'Ancien Régime et 344 du XIXe siècle[Note 1].
Le site de l'Association d'entraide de la noblesse française (ANF) donne la liste de quelque 2 425 familles admises en son sein depuis 1933 selon ses critères[6], dont :
- environ 2 225 familles subsistantes ;
- environ 180 familles éteintes après leur admission (de 1933 à aujourd'hui) ;
- environ 20 familles éteintes après 1900 et admises déjà éteintes (inscription à titre historique).
Mentions[modifier | modifier le code]
Certaines familles ont la mention : anoblie (confirmée) ou anoblie (maintenue), ce qui signifie que la famille a été connue comme étant roturière, mais qu'un jugement de confirmation ou de maintenue de noblesse leur a valu anoblissement par prescription. D'autres ont : anoblie (relief), ce qui signifie que des lettres patentes les ont relevées de la dérogeance.
Certaines familles sont dites « d'extraction » alors que leurs preuves de noblesse ne remontent pas jusqu'à l'an 1560 (date minimale de preuves pour la noblesse dite d'extraction, fixée lors des grandes recherches de noblesse en 1666, avec au moins 100 ans de noblesse à prouver).
Titres[modifier | modifier le code]
Ne sont indiqués dans cette liste que les titres dits « authentiques », c'est-à-dire les titres héréditaires fondés sur un acte officiel de création ou de reconnaissance d'un souverain français, et régulièrement transmis à partir du premier titulaire jusqu'à nos jours selon leurs règles particulières de dévolution. En 2007, Régis Valette recensait 182 titres subsistants d'Ancien Régime et 486 du XIXe siècle, soit au total 668 titres réguliers pour 3 092 familles nobles[d 1].
Présentation des entrées[modifier | modifier le code]
Les familles sont répertoriées par ordre alphabétique du premier patronyme, avec dans la mesure du possible :
- l'origine de leur noblesse (noblesse d'extraction, anoblissement par lettres ou par charge, maintenue de noblesse avec anoblissement en tant que besoin, etc) avec la date des actes/décisions de justice ;
- en cas de noblesse d'extraction, c'est-à-dire de noblesse officiellement reconnue sans connaître l'acte initial d'anoblissement, la date de l'acte le plus ancien concernant le premier ancêtre connu des membres actuels de la famille ;
- le titre de noblesse français lorsqu'il est authentique, régulier, et subsistant, c'est-à-dire actuellement en possession de l'aîné des descendants directs en ligne masculine du premier titulaire dudit titre, ledit titre devant avoir été octroyé par lettres patentes par un souverain français ;
- le lieu d'origine (commune actuelle, nom de la ou des provinces) ;
- la mention éventuelle de l'adhésion à l'Association d'entraide de la noblesse française (ANF) et l'année d'entrée[7].
Lorsqu'il existe des sources contradictoires, il est alors mentionné : noblesse non consensuelle.
Lorsqu'un titre a été attribué sans anoblissement, comme cela se faisait sous l'Empire comme sous la Restauration (contrairement à l'Ancien Régime où un titre ne pouvait être donné à un roturier, et même s'il est à noter que la Restauration a parfois accordé des titres joints d'un anoblissement[8]), il est mentionné : titre sans anoblissement
La liste des familles classées de L à Z figure dans la seconde partie de cet article.
Liste alphabétique des familles[modifier | modifier le code]
A[modifier | modifier le code]
- Abaquesné de Parfouru, anoblie en 1715[a 1],[9], conseiller-maître en la Cour des comptes de Rouen en 1764, Valognes en Normandie[Jougla 1], ANF (1939).
- Abbadie de Barrau (d'), olim de Barrau, puis de Barrau d'Abbadie de Sus, secrétaire du roi 1732-1747, Sus en Béarn[a 2].
- Abbadie d'Ithorrotz (d'), extraction 1504[10] ou anoblissement par charge de secrétaire du roi en 1747[11], Aroue-Ithorots-Olhaïby en Soule, Bizanos Béarn[a 3], ANF (1997).
- Abbatucci, extraction 1561, maintenue en 1773, Zicavo en Corse[a 4],[Jougla 2].
- Aboville (d'), anoblie ou maintenue en 1486 par la Cour des aides de Normandie (divergences d'auteurs), maintenue en 1666 à Caen, comte de l'Empire en 1808 (confirmé en 1815), Normandie (Cotentin)[a 5],[12], ANF (1938).
- Abrigeon (d'), extraction, maintenue en 1671, Chambonas en Vivarais[13].
- Absolut de La Gastine, anoblie en 1470 par décharge du droit de franc-fief, maintenue en 1667, baron en 1865 (sur réversion d'un titre de 1808), La Villeneuve-en-Chevrie (Yvelines), Haute-Normandie[d 2],[a 6], ANF (1939).
- Abzac (d'), extraction chevaleresque 1287, honneurs de la Cour 1781 et 1787[14], Montastruc en Périgord[a 7],[15], ANF (1946).
- Achard de Leluardière, - de La Vente, et - de Bonvouloir, extraction chevaleresque 1366[16], Passais-la-Conception en Normandie, Poitou[17], Bretagne[a 8],[LM 1], ANF (1967).
- Achard Joumard Tison d'Argence (Tison d'Argence relevé par contrat de mariage en 1608) olim Jourmart des Achards[a 9],[Jougla 3], ancienne extraction 1441, Angoulême en Angoumois, Maine. (Famille éteinte dans les mâles avec Roland (1920-2017), reste une représentante féminine)[réf. nécessaire]
- Acher de Montgascon (d'), secrétaire du roi 1779, en charge le 23 juin 1790[18],[a 10]. Noblesse non consensuelle.
- Achon (d'), anoblie par charge d’échevin de Nantes (1588-1589) et (1607-1609) puis sous-maire de Nantes (1609-1610), maintenue par arrêt du Conseil le , Mésanger en Loire-Atlantique[a 11],[19], ANF (1978).
- Acres de L'Aigle (des), ancienne extraction 1491, marquis en 1653 (lettres patentes datées à Dijon, ), honneurs de la Cour, Basse-Normandie (L'Aigle)[a 12], ANF (1975). Famille éteinte en filiation masculine légitime[d 3]. Il existe une descendance du nom issue d’une filiation naturelle féminine.
- Adhémar (d') (olim d'Azémar de Saint-Maurice de Cazevielle)[Note 2], ancienne extraction 1477[20], maintenue en 1669, baron en 1810, Lunel en Languedoc[a 13],[a 14].
- Adhémar de Cransac (d') et - de Lantagnac, olim d'Azémar, extraction chevaleresque 1313[21], maintenue en 1668, honneurs de la Cour 1765 et 1772, Languedoc[a 15], ANF (1936).
- Adigard des Gautries, extraction, maintenue en 1599, Normandie[a 16], ANF (1950).
- Agard de Maupas, maire de Bourges (1672), marquis de Maupas (1725), Bourges en Berry, alias d'Agard de Morogues[a 17],[Jougla 4].
- Agier de Rufosse (d'), anoblie en 1652, Caen en Normandie[a 18], ANF (1983).
- Aigneaux (d'), extraction chevaleresque 1394, maintenue en 1523, 1555, 1599, 1666, Normandie[a 19], ANF (1943).
- Aigremont (d'), extraction 1529, Normandie[a 20], ANF (1976).
- Ailhaud de Brisis et de Castellet (d'), secrétaire du roi 1745-1756, Aix-en-Provence en Provence[a 21].
- Aillaud de Caseneuve (d') (alias Ailhaud de Cazeneuve), secrétaire du roi 1731-1740, Méouilles en Provence[a 22], ANF (1991).
- Ainval (d'), extraction 1550, maintenue en 1717, Picardie (Ponthieu)[a 23],[Jougla 5]. (famille éteinte dans les mâles avec Henry (1919-2007))
- Alayer de Costemore (d'), décharge de franc-fief le 17 novembre 1756 par la Chambre souveraine des francs-fiefs d’Aix (AR), Digne-les-Bains en Provence[a 24], ANF (1954). Noblesse contestée.[réf. nécessaire]
- Albaret (d'), capitoul de Toulouse 1770, Languedoc[a 25], ANF (1955).
- Albenas (d'), extraction 1510, Languedoc[réf. nécessaire], ANF (1989).
- Albert de Luynes (d') (olim Alberti) ancienne extraction 1415, duc de Luynes 1619, duc de Chevreuse 1668, honneurs de la Cour 1777, Pont-Saint-Esprit dans le Gard, Ile-de-France[réf. nécessaire], ANF (1948).
- Albertas (d'), filiation roturière XIVe siècle, agrégation à la noblesse XVe siècle puis maintenue de noblesse en 1668 et 1669, marquis 1705, Pair héréditaire avec pairie sous le titre de Comte 1815-1831[réf. nécessaire], ANF (1949).
- Albignac (d'), extraction chevaleresque 1339, maintenue en 1669, honneurs de la Cour en 1774, Rouergue[a 26], ANF (1944).
- Albis de Razengues (d'), secrétaire du roi 1647, Toulouse[a 27], ANF (1978).
- Albon (d'), ancienne extraction 1288, honneurs de la Cour 1772 et 1786, marquis en 1828, Lyonnais[a 28], ANF (1933). (Famille éteinte en ligne masculine).
- Aldéguier (d'), capitoul de Toulouse 1603, maintenue en 1669, Toulouse[a 29],[Jougla 6].
- Alefsen de Boisredon, charge inachevée au XVIIIe siècle, baron 1822, Danemark, Bordelais[a 30], ANF (1970).
- Aleman (d'), admission aux États de Béarn 1769, Béarn[a 31], ANF (1980).
- Alès (d') et Alès de Corbet (d'), ancienne extraction 1445, Blésois[a 32], ANF (1968).
- Alexandre de Haldat du Lys, anoblie en 1766 (par reprise de noblesse maternelle), Gondrecourt-le-Château en Lorraine[a 33], ANF (1948).
- Alexandry d'Orengiani (d'), extraction 1500, Savoie[Foras 1],[a 34], ANF (1992).
- Allard (d'), extraction 1517, Vivarais[a 35], ANF (1967).
- Allard de Grandmaison, maire d'Angers 1771, Château-du-Loir en Anjou[a 36], ANF (1940).
- Allemagne (d') olim Dallemagne, Empire, baron en 1813, Bugey[a 37]. Titre sans anoblissement.
- Alnoncourt (d'), olim Georges, parlement de Metz 1758-1780, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1981).
- Alton (d'), Empire, baron en 1809, comte en 1814 (Restauration)[a 38],[Jougla 7]. Titre sans anoblissement.
- Alverny (d'), extraction 1549, Languedoc[a 39].
- Alziari de Malaussène, comte en 1723 par le roi de Sardaigne, comté de Nice[a 40],[22], ANF (1981). Noblesse contestée.
- Amade (d'), Restauration, anoblie en 1816[a 41], ANF (1998).
- Amaudric du Chaffaut, secrétaire du roi 1734-1754, Digne-les-Bains en Provence[a 42], ANF (1970).
- Amboise (d'), avocat général au Grand Conseil 1586, anobli par lettres patentes de chevalerie 1589[d 4],, maintenue noble en 1668, Artois (Douai)[a 43],[23],[24], ANF (1972).
- Amédor de Mollans (d'), extraction 1555, comte de Mollans 1713, Mollans en Franche-Comté[a 44], ANF (1967).
- Ameil, Empire, baron en 1810[25], Cusset en Bourbonnais[a 45], ANF (1955). Titre sans anoblissement.
- Ameline de Cadeville, anoblie en 1698, maintenue en 1717, Bretagne[a 46],[19],[LM 2].
- Amonville (d'), anoblie définitivement par charges au XVIIIe siècle, Vernon en Normandie[a 47], ANF (1938).
- Amphernet de Pontbellanger (d'), extraction chevaleresque 1371, maintenue en 1464, 1666 (br. ainée éteinte), 1786 (br. cadette), honneurs de la Cour 1784 et 1789, Normandie, Bretagne[a 48],[26],[LM 3], ANF (1948).
- Amyot d'Inville, anoblie par charge 1634 et 1653, Normandie[a 49], ANF (1995).
- Ancelin de Saint-Quentin, échevin de Saint-Jean-d'Angély 1586, Saintonge[a 50].
- Andigné (d'), extraction chevaleresque 1340, baron en 1817, honneurs de la Cour 1771 et 1787, Anjou[a 51],[27], ANF (1934).
- Andlau (d') et - Hombourg, extraction chevaleresque 1274, comte en 1750, honneurs de la Cour 1738, 1764, 1773, et 1787, Alsace[a 52], ANF (1935).
- André (d'), anoblie par charge 1637, Annot en Provence[a 53], ANF (1990).
- André de La Fresnaye, anoblie en 1725[28], baron en 1811[29], Falaise en Normandie[a 54], ANF (2007)[Note 3].
- Andurain (d') et - de Maÿtie, olim Guirail, anoblie par charge en 1731, admis aux États de Soule en 1691[30], Soule (Navarre) et Béarn[a 55], ANF (1976).
- Angély (d'), ancienne extraction 1461, maintenue en 1667, Poitou, Angoumois[a 56] (semble subsistante en ligne masculine : Jean (1900-1969) d’où Philippe (1926-2006) d’où Isabelle, Florence et Alexandre)[réf. nécessaire]
- Angenoust, conseiller au Parlement de Paris 1461, maintenues 1671 et 1697, preuves écoles militaires 1782, Champagne (Troyes)[a 57] (subsistante en ligne féminine)[réf. nécessaire]
- Angerville d'Auvrecher (d'), extraction chevaleresque 1396, maintenue en 1666, marquis en 1864, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1958).
- Anglade (d')[a 58], maintenue de noblesse 1666 puis 1698 pour la branche cadette qui est la seule subsistante et authentique écrit Chaix d'Est-Ange qui précise également qu'elle fut d'abord condamnée en 1666, Guyenne. ANF 29/05/1948.
- Angleys, anoblie par lettres, baron en 1842, Savoie[Foras 2],[a 59], ANF (1990).
- Anselme (d'), ancienne extraction 1434 (non consensuel, filiation certaine XVIe siècle en Avignon), Joucas en Provence, Comtat-Venaissin[a 60], ANF (1939).
- Anterroches (d'), ancienne extraction 1478, maintenue en 1666, Auvergne[31], ANF (1954).
- Anthenaise (d'), extraction chevaleresque 1391, maintenue en 1666[32], comte en 1828, La Chapelle-Anthenaise dans le Maine ANF (1946).
- Anthouard de Vraincourt (d'), - de Wasservas, - d'Abria, secrétaire du roi 1627-1650, comte en 1809 (pour la branche de Wasservas), Autun en Bourgogne[a 61], ANF (1959).
- Antin Tournier de Vaillac (d'), extraction médiévale 1393, honneurs de la Cour en 1787[33], Antin en Bigorre[a 62], ANF (1938).
- Antras (d'), extraction 1510[Note 4], maintenue en 1664, Marciac en Armagnac, ANF (1934).
- Aquin (d') et Daquin (olim Cresque), anoblie en 1669, Comtat-Venaissin (Carpentras), Ile-de-France[a 63], ANF (1949).
- Aram de Valada (d'), capitoul de Toulouse 1706, Toulouse[a 64], ANF (1971).
- Araquy (d'), extraction 1506, Auvergne[a 65] (rattachement à prouver).
- Arbois de Jubainville (d'), anoblie en 1584 par le cardinal de Lorraine, prince-évêque de Metz, Metz, Lorraine[a 66].
- Arces (d'), extraction chevaleresque 1322, honneurs de la Cour 1772, Dauphiné[34],[a 67], ANF (1945).
- Archambault de Montfort, maire de Bourges 1751-1755, Berry[a 68],[d 5].
- Arche de Pessan (d'), Parlement de Bordeaux 1626, Limousin, Guyenne[a 69], ANF (1991)[Note 5].
- Arcy (d'), extraction chevaleresque 1300, honneurs de la Cour 1777, Irlande, Auvergne[a 70], ANF (1992).
- Arenberg (d'), extraction chevaleresque 1142, issue de la maison de Ligne, duc français en 1824, Hainaut[a 71], ANF (1950).
- Arexy (d'), capitoul de Toulouse 1781, Comté de Foix[a 72],[a 73], ANF (1982).
- Argent de Deux-Fontaines (d'), ancienne extraction 1496, maintenues en 1641 et 1775[35], baron en 1826, Hainaut[a 74],[Jougla 8], ANF (1954).
- Argouges (d'), extraction chevaleresque 1223, maintenue en 1666, honneurs de la Cour 1761 et 1768, Normandie[a 75],[36].
- Argy (d'), extraction 1560, Champagne[a 76], ANF (2006).
- Arjuzon (d'), secrétaire du roi 1761, comte de l'Empire 1809, confirmé 1815, Gascogne, Picardie[a 77], ANF (1991).
- Arlot de Cumond (d') et - de Saint-Saud, ancienne extraction 1480, Périgord[a 78], ANF (1933).
- Armagnac de Castanet (d'), extraction chevaleresque 1399, Castanet en Languedoc, Rouergue[a 79],[37], ANF (1964).
- Armand de Châteauvieux (d'), extraction 1525, Dauphiné[38],[a 80], ANF (2021).
- Armau de Bernède (d'), extraction 1554, Armagnac[a 81], ANF (1959).
- Arminjon, Sénat de Savoie (1835, 1842 ?), Savoie[d 6], ANF (1983). Noblesse non consensuelle en France.
- Armynot du Chatelet, ancienne extraction 1495, Bourgogne[a 82], ANF (1948).
- Arnal de Serres (d'), Chambre des comptes de Montpellier 1720, Languedoc[a 83], ANF (1948).
- Arnaud de Vitrolles (d'), anoblie par charge en 1685, baron de l'Empire 1812, Dauphiné[39],[a 84], ANF (1936).
- Arnoulx de Pirey, Pirey, Parlement de Besançon 1742-1778, Franche-Comté[a 85], ANF (1964).
- Arnous-Rivière, secrétaire du roi 1774, en charge le 23 juin 1790, baron en 1828, Bretagne[18],[a 85],[40],[LM 4], ANF (1954). (Famille éteinte en ligne masculine).
- Arnoux de Maison-Rouge, anoblie par charge en 1673, baron en 1817, Auvergne[a 86], ANF (1951).
- Aronio de Romblay, deux trésoriers à Lille, 1693-1721 et 1721-1758, Flandre[a 87], ANF (1971).
- Arrighi de Casanova, extraction, maintenue de noblesse en 1783 [41], duc de Padoue en 1808[42] (éteint en 1888), baron de l’Empire en 1808[43] (éteint en 1809), Corse.
- Artaud de La Ferrière, échevin de Lyon 1677, Lyon[réf. nécessaire], ANF (1951).
- Arthuys (d'), anoblie en 1689, baron en 1811, Berry[LM 5], ANF (1949).
- Artigue de Laborde d'Arbrun (d'), anoblie en 1721, Gascogne[réf. nécessaire], ANF (1968).
- Artur de La Villarmois, anoblie en 1647, Normandie[LM 6], ANF (1940).
- Arundel d'Esquincourt de Condé (d'), anoblie en 1608, nouvelles lettres en 1671 confirmant l'anoblissement[a 88], Normandie, ANF (1965).
- Asselin de Villequier, anoblie en 1643, Normandie[a 89], ANF (2006).
- Asselin de Williencourt, Empire, chevalier en 1809, confirmé en 1863 par Napoléon III, Artois[a 90]. Titre sans anoblissement.
- Assier de Pompignan (olim Assier), anoblie en 1768 (Jean Assier, doyen du conseil supérieur de la Martinique), Languedoc, Martinique[a 91], ANF (1987).
- Astier de la Vigerie (d'), Monarchie de Juillet, comte en 1842, Vivarais[a 92]. Titre sans anoblissement.
- Astorg (d'), capitoul de Toulouse 1392, honneurs de la Cour 1783 et 1786, Toulouse[a 93], ANF (1993).
- Aubarède (d'), échevin de Lyon 1677, Lyon[a 94], ANF (1968).
- Aubé de Bracquemont, extraction 1548, Picardie, Damery en Champagne[a 95], ANF (2001)[Note 6].
- Auber de Peyrelongue (d'), preuves de noblesse 1565, marquis en 1785, Marmande en Agenais[a 96], ANF (1968). Noblesse non consensuelle.
- Aubert (d'), extraction 1573, Maine, Bretagne[a 97],[LM 7], ANF (1954).
- Aubert du Petit-Thouars, anoblie en 1714, Touraine[a 98], ANF (1970).
- Aubert de Trégomain, anoblie par charge 1690, Bretagne[a 99],[LM 8], ANF (1959).
- Aubert de Vincelles, secrétaire du roi 1659-1676, Normandie, Bretagne, Bourgogne[a 100],[LM 9], ANF (1968).
- Aubin de La Messuzière, deux trésoriers à Alençon, 1748-1769, Maine[a 101].
- Aubourg de Boury, secrétaire du roi 1653-1673, marquis en 1686, Vexin, Normandie[a 102], ANF (1944).
- Aubriot de La Palme, comte en 1839, Savoie[a 103],[44]. Noblesse non consensuelle en France.
- Audibert de Lussan (d'), ancienne extraction 1401, Languedoc[réf. nécessaire][45]. (Famille éteinte en ligne masculine)
- Audiffret (d') ancienne extraction 1390[d 7],[46],[Jougla 9], chevalier de l'ordre du Croissant en 1463[46],[Jougla 9], duc d'Audiffret-Pasquier en 1863[d 7],[46],, Provence, ANF (1952).
- Audren de Kerdrel, ancienne extraction 1467, maintenue noble à Lannilis en 1481 et à Rennes en 1669, Bretagne (Finistère)[a 104],[47], ANF (1965).
- Augé de Fleury, anoblie en 1830, Ile-de-France[a 105],[LM 10].
- Augerot (d'), Parlement de Navarre, reçu aux États de Béarn pour la seigneurie de Saint-Martin, à Cosledaa (Cosledaa-Lube-Boast), Gan en Béarn[a 106],[Note 7]
- Augier de Lagallet, secrétaire du roi 1781, en charge le 23 juin 1790, Saintonge[18]. Noblesse non consensuelle.
- Augier de Montgrémier, secrétaire du roi 1786, en charge le 23 juin 1790, Marche[18]. Noblesse non consensuelle.
- Augier de Moussac et - de Crémiers, secrétaire du roi 1747-1772, Poitou (Montmorillon)[a 107], ANF (1936).
- Augustin de Bourguisson (d'), extraction 1624, Berry, Touraine, Bretagne[LM 11], ANF (1938).
- Aumale (d'), extraction chevaleresque 1339, honneurs de la Cour, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1995).
- Aure (d') (de Viella), maintenue en 1699 et 1715, Nébouzan[a 108].
- Aurelle de Montmorin Saint-Hérem (d'), anoblie en 1612, Auvergne[a 109], ANF (1946).
- Aurelle de Paladines (d'), extraction chevaleresque 1360, maintenue en 1669 et 1788, Auvergne[a 109], ANF (2012).
- Aubourg de Boury, secrétaire du roi 1653, 1673, 1686, Normandie[a 110], ANF (1994).
- Aussaguel de Lasbordes (d') , Parlement de Toulouse 1775, Languedoc[a 111].
- Autard de Bragard, anoblie en 1607, Dauphiné[48],[a 112]. (rattachement à prouver).
- Authier (du), extraction chevaleresque 1334, honneurs de la Cour, Limousin[a 113], ANF (1948).
- Authier de Sisgau (d'), décharge du droit de franc-fief en 1657, maintenue en 1707[49],[50], Provence (Barcelonnette)[a 114][réf. à confirmer]. (Rattachement à prouver).
- Autier de La Rochebriant (d'), extraction chevaleresque 1388, maintenue 1638, honneurs de la Cour, Auvergne[a 115], ANF (1948).
- Autun (d'), ancienne extraction 1410, maintenue en 1669 par Claude Bazin de Bezons, Portes (Gard) en Languedoc[a 115].
- Auvray, Empire, baron en 1810, Perche puis Aunis et Touraine[a 116], ANF (1949). Titre sans anoblissement.
- Aux de Lescout (d'), extraction chevaleresque 1312, marquis d'Aux-Lally 1815 (sur réversion), honneurs de la Cour, Poitou[a 117].
- Auzac de Lamartinie (d'), confirmation de noblesse en tant que besoin en 1734 puis maintenue en 1777, Quercy, Agenais[a 118].
- Avène de Roberval (d') (alias Davène), secrétaire du roi 1708-1715, Paris[a 119],[d 8].
- Aviau de Ternay (d'), ancienne extraction 1490, Poitou[a 120],[LM 12], ANF (1948).
- Avout (d') et Davout d'Auerstaedt, extraction 1547, duc en 1864 (sur réversion), Bourgogne[a 121], ANF (1935-1954).
- Ax de Cessales (d'), voir infra à Dax d'Axat (de) (même famille).
- Aymé de La Chevrelière, Empire, baron en 1811, Melle en Poitou[a 122], ANF (1992). Titre sans anoblissement.
- Aymer de la Chevalerie, extraction chevaleresque 1397, Poitou[a 123], ANF (1943).
- Aymery (d'), extraction 1518, Ile-de-France (Viroflay)[a 124],[d 8].
- Ayrault de Saint-Hénis, maire d'Angers 1541, Anjou[a 125],[d 8].
- Azémar de Fabrègues (d'), ancienne extraction, Saint-Martin-de-Londres en Languedoc[Note 8],[Note 9], ANF (1986).
B[modifier | modifier le code]
- Baconnière de Salverte, secrétaire du roi 1759-1766, Landéan en Bretagne[a 126],[51], ANF (1948).
- Badereau de Saint-Martin (de), chambre des comptes de Bretagne à Nantes 1724-1741 et 1730-1751, Poitou, Bretagne[a 127],[51], ANF (1992).
- Bagard (de), ancienne extraction 1440, Dauphiné[52], Savoie[Foras 3],[a 128], ANF (1934).
- Baglion de la Dufferie (de), ancienne extraction 1499, Maine[a 129], ANF (1948).
- Baguenault de Puchesse et - de Viéville, secrétaire du roi 1750-1762, Saint-Pryvé-Saint-Mesmin en Orléanais[a 130], ANF (1956).
- Bahezre de Lanlay, ancienne extraction 1435, maintenue en 1669, Bretagne (Trégor)[a 131],[53], ANF (1963).
- Baillou (de), ancienne extraction 1418, Touraine[d 9].
- Balalud de Saint-Jean, bourgeois honoré de Perpignan 1707, Roussillon[a 132], ANF (1990).
- Balathier-Lantage (de), extraction 1527, Dauphiné[54],[a 133], ANF (1938).
- Balby de Vernon (de), olim Cabalbi, extraction 1547, maintenue en 1668, Languedoc[a 134],[LM 13], ANF (1966).
- Bancalis de Maurel d'Aragon (de), noblesse XVIIe siècle, baron en 1819, Rouergue[a 135], ANF (1938).
- Banville (de), extraction chevaleresque 1385, Normandie[d 9].
- Bar (de), ANF (2021).
- Bar de La Garde (de), ancienne extraction 1416, maintenue en 1667, Auvergne[réf. nécessaire], ANF (1938).
- Barbara de Labelotterie de Boisséson, capitoul de Toulouse 1703, Tarn[a 136], ANF (1952).
- Barbarin (de), ancienne extraction 1487, maintenue en 1715, Poitou[a 137], ANF (1989).
- Barbat du Closel, secrétaire du roi 1734, Auvergne[a 138], ANF (1957).
- Barbeyrac de Saint-Maurice (de), trésorier à Montpellier 1716, marquis de Saint-Maurice 1753 (Montcalm par adoption de 1889), Languedoc[a 139], ANF (1934).
- Barbier d'Aucourt, Restauration, anoblie en 1819, Ile-de-France (famille éteinte en ligne masculine)[a 140].
- Barbier du Doré (charge inachevée au XVIIIe siècle), Restauration, anoblie en 1819, Nantes[a 141],[LM 14], ANF (1996).
- Barbier Lalobe de Felcourt, (olim Barbier de Lalobe de Felcourt), président trésorier général de France en Champagne 1741-1765 et 1765-1790, maintenue en 1816 et 1829, Champagne[a 142], ANF (1948).
- Barbier de La Serre, Cour des aides de Bordeaux 1630-1664 et 1664-1697, Agenais[a 143], ANF (1948).
- Barbier de Préville, secrétaire du roi 1738, Ile-de-France[a 144],[55],[Jougla 10], ANF (1971).
- Barbot (de), capitoul de Toulouse 1763, Languedoc[a 145],[d 10].
- Barbuat du Plessis de Maisonrouge (de), anoblie en 1660, Champagne[a 146], ANF (1959).
- Bardon de Segonzac, ancienne extraction 1450, baron de Ségonzac 1623, Périgord, Auvergne[a 147], ANF (1937).
- Baret de Limé (du), secrétaire du roi 1707-1724, Picardie[a 148],[a 149], ANF (1966).
- Baritault du Carpia (de), secrétaire du roi 1641-1661, Guyenne (Bordeaux)[a 150], ANF (1961).
- Barjac de Raucoules (de), extraction 1513, Vivarais[a 151].
- Baron de Montbel, anoblie par charge 1730, Languedoc[a 152], ANF (1934).
- Baroncelli-Javon (de), ancienne extraction 1465, Florence, puis Comtat Venaissin[a 153], ANF (1939).
- Barou de La Lombardière de Canson, secrétaire du roi 1760-1763, Vivarais (Annonay)[a 154].
- Barral (de), anoblie en 1643, marquis d'Arvillard (1746), cadet comte de l'Empire en 1810, Dauphiné[56],[a 155].
- Barrau (de), maintenue en 1699[57], Rouergue, ANF (1992).
- Barrau de Muratel (de), extraction 1539, Rouergue, Languedoc[d 10].
- Barraud de Lagerie, anoblie en 1663, Angoumois[d 10], ANF (1994).
- Barrigue de Fontainieu et – de Montvallon (de)[a 156], secrétaires du roi 1702 (Fontainieu) et 1702 (Montvallon), Provence (Marseille, Aix-en-Provence)[58], ANF (2001).
- Barrin (de), Parlement du Dauphiné 1685, Dauphiné[59],[a 157],[d 10], ANF (2018).
- Barruel (de) et - de Saint-Pons, secrétaire du roi 1762-1784, Vivarais[a 158], ANF (1984).
- Barry (de), extraction 1556, Gascogne[a 159], ANF (1977).
- Barthélémy de Saizieu, anoblie en 1771. Lettres patentes, baron en 1811, Aubagne en Provence[a 160], ANF (1992).
- Barthelot de Bellefonds, extraction 1591 ou anoblie, maintenue en 1678, Bourgogne[réf. nécessaire], ANF (1944).
- Barthès de Montfort (de) et Barthès de Marmorières (de), anoblie par lettres patentes en 1781, baron en 1811 pour la branche de Montfort, Languedoc[a 161], ANF (1951).
- Barthomivat de La Besse et - de Neufville, anoblie en 1752, Auvergne, Limousin[a 162],[d 11].
- Barton de Montbas, ancienne extraction 1489, Marche (Guéret)[a 163],[d 11].
- Basquiat de Mugriet (de) et - de Toulouzette, conseiller au Parlement de Bordeaux 1762 (père 23 ans + fils 5 ans : noblesse inachevée ?) pour la branche de Mugriet, secrétaire du roi (XVIIe siècle ou XVIIIe siècle) pour la branche de Toulouzette, Gascogne[a 164], ANF (1975).
- Bassecourt (de), anoblie en 1581, Artois[a 165],[60],[61].
- Bastard (de), trésorier à Toulouse 1690, baron en 1812, Toulouse, Gascogne[a 166], ANF (1948).
- Bastier de Bez de Villars (charge inachevée au XVIIIe siècle), Restauration, baron en 1825, Gard (Le Vigan)[a 167],[d 11].
- Battisti (de), extraction, maintenue en 1788, Corse[62] (non corroboré par G. Chaix d'Est-Ange)[a 168].
- Batz de Trenquelléon (de), ancienne extraction 1490, maintenue en 1667 et 1708, Gascogne[a 169], ANF (1967).
- Baucheron de Boissoudy, secrétaire du roi 1752-1757, Berry (Issoudun)[a 170],[d 11], ANF (1996).
- Baudard de Fontaine, secrétaire du roi 1713-1716, Montbazon en Touraine[a 171], ANF (2007)[Note 10].
- Baude, Empire, baron en 1810[63], Valence, Dauphiné (famille éteinte en ligne masculine)[a 172]. Titre sans anoblissement.
- Baudelet de Livois, Restauration, baron avec majorat en 1829 (charge inachevée au XVIIIe siècle), Artois[a 173],[64], ANF (1965).
- Baudenet d'Annoux, secrétaire du roi 1742-1762, Avallon en Bourgogne[a 174], ANF (1957).
- Baudinet de Courcelles (de), anoblie en 1702, Lorraine[a 175].
- Baudon de Mony et - de Mony-Colchen, secrétaire du roi 1741-1762. Baron en 1843 et comte Colchen en 1870 pour une branche éteinte, Paris[a 176], ANF (1954).
- Baudouin (de), extraction 1544, Normandie[réf. nécessaire][a 177], ANF (1959).
- Baudreuil (de), extraction 1529, maintenue en 1701, Nivernais, Normandie, Picardie[a 178],[65],[Note 11], ANF (1947).
- Baudry d'Asson (de), extraction 1535, Poitou[a 179], ANF (1951).
- Baudus de Fransures (de), capitoul de Toulouse 1742, Quercy[a 180], ANF (1978).
- Bauffremont (de), extraction chevaleresque 1202, prince du Saint-Empire en 1757, comte en 1810, duc en 1818, Lorraine, Franche-Comté, Bourgogne[a 181], ANF (1938).
- Baulny (de), anoblie en 1778, baron en 1810, Champagne[a 182], ANF (1951).
- Bausset-Roquefort (de), agrégé à la noblesse par l’acquisition du fief de Roquefort en 1569, maintenue en 1668 à Marseille[Note 12],[50], marquis en 1736, Marseille, Aubagne[a 183], ANF (1972).
- Bay (du), maintenue en 1740 par la Cour des aides de Montpellier, baron en 1816, Vivarais[a 184].
- Bayard de La Vingtrie, anoblie en 1786, Perche[a 185].
- Baynast de Septfontaines (de), ancienne extraction 1478, maintenue en 1661[66], Baynast près de Béhen, Vimeu et Artois[a 186], ANF (1991).
- Bazelaire de Lesseux (de), - de Ruppierre, - de Saulcy, et - de Boucheporn, anoblie en 1705[d 12],[67], Lorraine (Saint-Dié-des-Vosges)[a 187], ANF (1950).
- Beauchef de Servigny (de), anoblie en 1769, Bretagne, Normandie[a 188],[LM 15], ANF (1976).
- Beaucorps (de) et de Beaucorps-Créquy, ancienne extraction 1454, maintenue en 1667 en Saintonge, une branche relève Créquy en 1815[d 12], Beauce, Saintonge[a 189],[LM 16], ANF (1939).
- Beaud de Brive, Restauration, anoblie en 1816, Velay (Le Puy)[a 190], ANF (1988).
- Beaudéan (de), ancienne extraction 1414, honneurs de la Cour, Béarn[a 191], ANF (1975).
- Beaudiez (du), ancienne extraction 1449, Bretagne (Finistère)[LM 16],[68].
- Beaudrap (de), anoblie en 1596, Normandie (Coutances)[LM 17], ANF (1938).
- Beauffort (de), extraction chevaleresque 1198, Artois, Belgique[a 192].
- Beauharnais (de) devenu Leuchtenberg (de) pour la branche subsistante, extraction 1583, marquis de La Ferté-Beauharnais en 1764, prince français en 1804, Orléans, Bavière, Russie[69].
- Beaulaincourt de Marles (de), ancienne extraction 1482, vicomte de Marles en 1696, Artois[réf. nécessaire], ANF (1940).
- Beaumont d'Autichamp (de), - du Repaire, - de Verneuil, - d'Auty, et - de Beynac, extraction chevaleresque 1322, honneurs de la Cour, comte en 1817, Dauphiné[70], Périgord, ANF (1936).
- Beaunay (de), extraction chevaleresque 1393, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1957).
- Beaupoil de Saint-Aulaire (de), anoblie en 1599 (branche naturelle de La Luminade), maintenue en 1669, honneurs de la Cour, Limousin, Périgord[a 193],[d 13], ANF (1936).
- Beaurepaire (de), extraction chevaleresque 1352, pairie héréditaire instituée sous le titre de baron 1828-1831, Beaurepaire-en-Bresse en Bourgogne[a 194], ANF (1935).
- Beaurepaire de Louvagny (de) (olim Gaultier), anoblie en 1453 ou 1473 et 1553, Normandie (Bernay)[a 195], ANF (1964).
- Beausacq (de), Restauration, anoblie en 1819, Picardie (Amiens)[a 196], ANF (2021).
- Beaussier (de), chef d'escadre au XVIIIe siècle (édit militaire de 1750), Provence (Toulon) (filiation jusqu'à ce jour à confirmer)[réf. nécessaire].
- Beauvarlet de Moismont, anoblie en 1717, Picardie[a 197].
- Beauvau-Craon (de), extraction chevaleresque 1263, marquis de Beauvau 1664 (éteint), marquis de Craon 1712 (éteint), baron de l'Empire 1810 (éteint), prince du Saint-Empire 1722 (éteint), Lorraine[a 198], famille éteinte en ligne masculine[Note 13], ANF (1936).
- Becdelièvre (de), anoblie en 1442, maintenue en 1669, honneurs de la Cour, Bretagne, Normandie[a 199],[71],[LM 18], ANF (1955).
- Béchade (de), Restauration, anoblie en 1825, Bordeaux[a 200], ANF (1967).
- Bechet de Balan, secrétaire du roi 1782, en charge le 23 juin 1790, Champagne[18] Noblesse non consensuelle.
- Béchillon (de), ancienne extraction, maintenue en 1667, Aunis, Poitou[a 201], ANF (1951).
- Bedeau de L'Ecochère, échevin de Nantes en 1613, maintenue en 1669, Nantes[a 202],[72],[LM 19], ANF (1947).
- Bégon de Larouzière (de) ancienne extraction 1460, Rouergue, Auvergne[a 203], ANF (1964).
- Begoüen, Second Empire, comte en 1861, Le Havre et Bordeaux[a 204], ANF (1968). Titre sans anoblissement.
- Behaghel, Restauration, anoblie en 1822, Flandres (anoblissement seulement pour deux rameaux appartenant à la branche ainée)[a 205].
- Béjarry (de), ancienne extraction 1480, maintenue en 1715, Poitou[a 206],[LM 20], ANF (1980).
- Belenet (de), secrétaire du roi 1740-1759, Franche-Comté[a 207], ANF (1951).
- Belhomme de Franqueville, secrétaire du roi 1743-1754, confirmation de noblesse sous la Restauration, Normandie[18],[a 208], ANF (1969).
- Belin de Chantemele, Restauration, anoblie en 1824, Maine[a 209], ANF (1988).
- Bellanger de Rebourseaux (de), ancienne extraction 1482, Bourgogne[a 210], ANF (1939).
- Bellet de Tavernost et - de Saint-Trivier, parlement de Dombes 1690-1730, vicomte en 1825, Lyonnais[a 211], ANF (1985).
- Belleville (de), extraction 1503, Normandie[a 212], ANF (1992).
- Bellissen-Durban (de), anoblie en 1490, Languedoc[a 213], ANF (1986).
- Bellivier de Prin, ancienne extraction 1484, Poitou[a 214], ANF (1992).
- Belloc de Chamborant (de), capitoul de Toulouse 1647, Toulouse[a 215], ANF (1983).
- Bellomayre (de), Restauration, anoblie en 1829, Languedoc[a 216].
- Belloy de Saint-Liénard (de), extraction chevaleresque 1377, honneurs de la Cour, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1937).
- Belsunce (de), extraction chevaleresque 1378, honneurs de la Cour, Béarn[réf. nécessaire], ANF (1946).
- Bengy de Puyvallée (de) et -des Porches, échevin de Bourges 1603, Berry[a 217], ANF (1946).
- Benoist d'Azy, maire d'Angers 1751[73], Neuvy-en-Mauges en Anjou, Nivernais[a 218], ANF (1976).
- Benoist de La Prunarède (de), extraction 1557, Languedoc[a 219], ANF (1996).
- Benoit de La Paillonne (de), Parlement de Dombes 1650, Comtat Venaissin[a 220].
- Bentzmann (de), ordonnance le 12 décembre 1757 de l'intendant défendant aux consuls de soumettre Joseph de Bentzmann à la Taille en raison de sa qualité de noble[a 221], Agenais, ANF (1975).
- Bérail (de), extraction 1551, Agenais[a 222], ANF (1950).
- Berg de Breda (de), anoblie en 1521, Hollande, Ile-de-France[a 223], ANF (1934). (noblesse non consensuelle en France ?)
- Berge, chevalier en 1810, baron en 1816, Languedoc, Roussillon[a 224], ANF (1955). Titre sans anoblissement.
- Bergevin (de), anoblie en 1775, Anjou, Bretagne (Brest)[a 225],[74], ANF (1972).
- Bermondet de Cromières (de), Parlement de Paris 1538, Limousin[a 226], ANF (1995).
- Bernard de La Grange de Tuquo (du) (olim Dubernard), anoblie en 1783, Guyenne[a 227], ANF (1995).
- Bernard (du) ou Dubernard, capitoul de Toulouse 1785, Ariège, Toulouse[a 228].
- Bernard de Dompsure, Restauration, anoblie en 1816, Franche-Comté[réf. nécessaire], ANF (2006).
- Bernard-Dutreil, Restauration, anoblie en 1814, Maine[a 229],[d 14], ANF (1951).
- Bernard de Courville et - de La Gatinais, anoblie en 1477, maintenue en 1670 et 1738, Anjou, Bretagne[75], ANF (1951).
- Bernard de Lauzière et - de Feyssal, maintenue en 1668, Provence (Authon)[a 230].
- Bernard de Lavernette et de Lavernette-Saint-Maurice, anoblie en 1699, Bourgogne[a 231], ANF (1938).
- Bernard de Montessus de Rully et - de Ballore, preuves de noblesse depuis 1487 (anoblie en 1470 ?), honneurs de la Cour en 1785, Bourgogne[a 232], ANF (1934).
- Bernard de Saint-Affrique, Restauration, anoblie en 1819, Valleraugue dans les Cévennes, puis Saint-Affrique en Rouergue[a 233],[d 14].
- Bernardi de Valernes (de), Restauration, anoblie en 1815, Avignon en Comtat Venaissin[a 234], ANF (2000).
- Bernardy de Sigoyer (de), maintenue en 1708, Provence (Sigoyer)[a 235],[50], ANF (1973).
- Bernes de Longvilliers (de), ancienne extraction 1440, Boulonnais[réf. nécessaire], ANF (1954).
- Bernon (de) (charge inachevée au XVIIIe siècle), Restauration, baron en 1818, Dauphiné[76],[a 236],[d 15]. Titre sans anoblissement.
- Bernou de Rochetaillée, secrétaire du roi 1689-1709, Forez[a 237], ANF (1992).
- Berset de Vaufleury, secrétaire du roi 1731-1751, Maine (Laval)[a 238], ANF (1981).
- Berterèche de Menditte (de), olim du Domec d'Ossas, syndic de la noblesse en 1789, Ossas-Suhare en Pays de Soule[a 239],[Note 14], ANF (2004).
- Berthe de Pommery, secrétaire du roi 1695-1723, Picardie, Champagne, Paris[a 240],[d 15], ANF (1965).
- Berthelier, trésorier à Châlons-en-Champagne 1686-1706, confirmé en 1732, Champagne (Langres)[réf. nécessaire][a 177], ANF (1998).
- Berthelot du Chesnay, ancienne extraction 1426, maintenue en 1669, Bretagne[a 241],[77].
- Berthelot de La Glétais, Chambre des comptes de Bretagne à Nantes XVIIIe siècle, Nantes[a 242],[d 15] (rattachement à prouver).
- Berthier, anoblie en 1763, comte Lasalle en 1809 (sur réversion), vicomte en 1821, Bourgogne[a 243], ANF (1964).
- Berthier de Grandry, écoles militaires en 1754[78], titre de baron Berthier de Chemilly de Courcelles de Viviers, dit baron de Viviers (1827) (titre éteint), Nivernais[a 244], ANF (1946).
- Bertier (de), admis aux États de Béarn en 1698, Béarn[réf. nécessaire], ANF (1977).
- Bertier de Sauvigny (de), secrétaire du roi 1668-1671, Bourgogne (Avallon)[a 245],[d 15], ANF (1938).
- Bertoult (de) et - d'Hauteclocque d'Œufs, preuves de noblesse 1575, marquis d'Hauteclocque d'Œufs en 1766, Artois[a 246], ANF (2006).
- Bertrand de Beuvron (de), ancienne extraction 1443, maintenue en 1715, Berry[a 247].
- Bertrand de Crozefon (de), maintenue en 1667, Agenais[a 248],[d 15].
- Bessard du Parc, Chambre des comptes de Bretagne à Nantes 1733-1759 et 1759-1781, Bretagne (Savenay)[79], ANF (1984).
- Bessey de Contenson (du) (alias Dubessey), lettres patentes Forez 1696, révocation 1715, lettres d'honneur du Parlement de la Dombes 1748[d 15],[80], ANF (1936).
- Béthery de La Brosse (de), secrétaire du roi 1778, en charge le 23 juin 1790, Bourgogne[18] Noblesse non consensuelle.
- Béthune Hesdigneul (de) (olim Desplancques), extraction 1523, lettres de chevalerie personnelle en 1614 (Pays-Bas espagnols, Archiduc Albert) et en 1632 (Philippe IV d’Espagne), honneurs de la Cour 1778 et 1786, prince de Bethune Hesdigneul le par lettres de Joseph II, empereur du Saint-Empire, titre reconnu en France le , Artois, Belgique[a 249], ANF (1972).
- Betolaud du Colombier, secrétaire du roi 1786, en charge le 23 juin 1790, Bordeaux[18] Noblesse non consensuelle.
- Beugny d'Hagerue, secrétaire du roi 1747-1771, Artois[a 250],[d 16].
- Beuverand de La Loyère, Parlement de Metz 1693, Bourgogne[a 251], ANF (2024).
- Bideran et - de Béraud de Canteranne (de), extraction 1523, Périgord[a 252],[d 16],[81], ANF (1936).
- Bigault de Cazanove (de), - de Parfourut, - de Fouchère, et - du Granrut, extraction 1562, Lorraine[a 253], ANF (1980).
- Bignicourt (de), secrétaire du roi 1692, Champagne[a 254], ANF (1984).
- Bigot de La Touanne et - de Morogues, échevin de Bourges 1487, Berry[a 255], ANF (1938).
- Billeheust d'Argenton (de), anoblie en 1475, Normandie (Bayeux)[a 256],[d 16].
- Bimard (de), extraction 1533, Gard (Anduze)[a 257].
- Binet de Boisgiroult de Sainte-Preuve, anoblie en 1718[d 16], Saint-Germain-en-Laye[a 258], ANF (1994).
- Binos de Guran (de), - de Pombarat, extraction 1542, Comminges[réf. nécessaire], ANF (1943).
- Biré (de), échevin de Nantes 1568, maintenue en 1670, Nantes[d 16], ANF (1980).
- Bittard du Cluzeau, secrétaire du roi 1786 en charge le 23 juin 1790, Auvergne[18],[a 259] Noblesse non consensuelle.
- Bizemont (de), extraction 1536, maintenue en 1631, Picardie, Melun en Ile-de-France, Orléanais[a 260], ANF (1942).
- Bizouard de Montille, secrétaire du roi près le Parlement de Metz 1679-1692, Bourgogne[a 261], ANF (2017).
- Blacas d'Aulps (de) (olim de Soleilhas), extraction chevaleresque 1390, maintenue en 1666, duc de Blacas en 1821, Soleilhas en Provence[réf. nécessaire], ANF (1950).
- Blaize de Maisonneuve, anoblie en 1786, Bretagne (Saint-Malo)[d 16].
- Blanc de La Nautte d'Hauterive, Restauration, comte en 1817, Dauphiné[82],[d 16],[83]. Titre sans anoblissement.
- Blanc de Molinès, extraction, maintenue en 1669, Vivarais[84], ANF (2011).
- Blanchard de La Buharaye et - du Val, extraction 1504, maintenue en 1669, Bretagne[a 262],[85], ANF (1939).
- Blanchaud (de), anoblie en 1778, Agenais[a 263],[d 17], ANF (1961).
- Blanchet de La Sablière, échevin de Lyon 1731, Bugey[a 264],[LM 21].
- Blanchetti (de), docteur en droit d'Avignon 1572, comte en 1742, Avignon en Comtat Venaissin[a 265],[d 17].
- Blanquet de Rouville et - du Chayla (de), Chambre des comptes de Paris 1618-1661, Serverette en Gévaudan[a 266],[86], ANF (1938).
- Blay de Gaix (de), bourgeois honoré de Perpignan 1689 (de Gaïx relevé par Gabriel de Blay 1848-1917)[87], Roussillon[a 267], ANF (1967).
- Blégiers de Pierregrosse (de) et - de Taulignan, docteur en droit d'Avignon 1623, Carpentras en Comtat Venaissin[a 268], ANF (1938).
- Blocquel de Croix de Wismes, extraction 1537, maintenue en 1710, baron en 1759, Artois, Picardie[a 269],[LM 22], ANF (1951).
- Blois de La Calande (de), extraction 1537, maintenue en 1668, Champagne, Bretagne (Finistère)[a 270],[LM 23], ANF (1945).
- Blonay (de), extraction chevaleresque 1134, Savoie[Foras 4],[Jougla 11].
- Blondel de Joigny de Bellebrune, ancienne extraction 1480, maintenue en 1669, Flandre, Ponthieu, Guyenne[a 271], ANF (1950).
- Blondin de Saint-Hilaire secrétaire du roi 1782, en charge le 23 juin 1790, maintenue de noblesse en 1817, Picardie (Abbeville)[18],[a 272].
- Bloteau (de), extraction, maintenue en 1684, Perche[réf. nécessaire], ANF (1979).
- Boberil (du), extraction chevaleresque 1379, maintenue en 1668, Bretagne[a 273],[LM 24], ANF (1951).
- Bocquillon Liger-Belair, Restauration, comte (sur réversion) en 1825, Bourgogne[a 274], ANF (1940). (noblesse non consensuelle)
- Bodard de La Jacopière (de), anoblie en 1821, Anjou[a 275],[LM 25], ANF (1944).
- Bodin de Galembert (de), extraction 1577, maintenue en 1702 et 1706, Flandre, Sologne[a 276], ANF (1945).
- Bodin de Saint-Laurent, anoblie en 1654, Guyenne[a 277], ANF (1987).
- Bodinat (de), maintenue 1786, Bourbonnais[a 278], ANF (1956)
- Boério (de), extraction 1564, maintenue par le Conseil supérieur en 1783, Corse[a 279],[LM 26], ANF (1943).
- Bois de Gaudusson (du), maintenue 1699, Quercy[réf. nécessaire][a 280], ANF (1985).
- Bois de Maquillé (du), ancienne extraction, maintenue à l'Intendance de Tours le par Voisin de La Noraye, page de la Grande Écurie le [LM 27], Maine puis Anjou[a 281].
- Bois de Montullé (du), anoblie en 1530 (franc-fief), Normandie[a 282].
- Boisbaudry (du), extraction chevaleresque 1377, Bretagne[a 283],[88],[LM 28], ANF (1974).
- Boisberranger (du), extraction 1570, Maine[a 284].
- Boisboissel (de) (olim Le Prévost), extraction chevaleresque 1317, Saint-Nicolas-du-Pélem, Bretagne[a 285],[89],[LM 29],[90], ANF (1969).
- Boisé de Courcenay (de), ancienne extraction 1452, Berry[a 286].
- Boisgelin (de), extraction chevaleresque 1378, honneurs de la Cour, marquis 1819, Bretagne (Saint-Brieuc)[a 287],[91],[LM 30], ANF (1967).
- Boisguéheneuc (du), extraction chevaleresque 1400, Bretagne[a 288],[91],[92],[LM 31], ANF (1985).
- Boishamon (du) (olim Grattemy avant 1478), ancienne extraction 1427, maintenue en 1668, Bretagne[93],[LM 32], ANF (1936).
- Boispéan (du), ancienne extraction 1486, maintenue en 1668, Bretagne[94],[LM 33], ANF (1975).
- Boissard (de), ancienne extraction 1424, Anjou[réf. nécessaire], ANF (1985).
- Boisset de Torsiac (de), extraction 1517, maintenue en 1666, Velay[a 289],[d 18], ANF (2016).
- Boissieu (de), anoblie en 1784 puis maintenue en 1787, Lyonnais[a 290], ANF (1936).
- Boistel d'Welles, anoblie par charge de secrétaire du roi en , mort en charge[95], Picardie[a 291], ANF (1960).
- Boisvilliers (de), extraction, maintenue en 1668, Orléanais, Île Bourbon[réf. nécessaire][a 280], ANF (1967).
- Boixo de Méritens (de), citoyen noble de Perpignan 1712, (de Villaret de Joyeuse par décret de 1928)[a 292], ANF (1933).
- Bon (de), extraction, Comminges[a 293], ANF (1986).
- Bonadona (de), docteur en droit d'Avignon 1447, Italie, Comtat Venaissin[a 294]. Noblesse non consensuelle en France.
- Bonafos de Bélinay (de), et - de Lamothe, anoblie en 1654, Auvergne[a 295],[LM 34], ANF (1940).
- Bonald (de) - de La Rode, ancienne extraction 1497, baron en 1824, Rouergue[a 296], ANF (1936).
- Bonamy de Villemereuil, anoblissement par charge de secrétaire du roi en 1740, Berry, Champagne[a 297],[96].
- Bonaparte, acte de reconnaissance de noblesse par le Conseil supérieur de Corse en 1771. Famille impériale en 1804 dont les membres portent depuis le titre de prince. Le nom à l'état-civil est Bonaparte bien que certains membres se fassent appeler "Napoléon", Corse[a 298].
- Bonardi du Ménil (de), Chambre des comptes de Paris 1764, baron en 1778, Digne-les-Bains en Provence[réf. nécessaire][97], ANF (1947).
- Bonchamps (de), renvoyé par l'intendant devant le Conseil d'État pour preuves insuffisantes en 1666, Normandie[a 299],[LM 35], ANF (1956).
- Bonet d'Oléon (de) , et de Partouneaux, deux docteurs en droit d'Avignon en 1628 (en 1724 pour Chaix d'Est-Ange), Valréas en Comtat Venaissin[a 300], ANF (1938). Noblesse non consensuelle en France.
- Bonnafos (de), ANF (1935)
- Bonnault d'Houët (de), ancienne extraction 1437, baron d'Empire par décret en janvier 1814 sans lettres patentes[b 1], Berry[a 301], ANF (1938).
- Bonnay de Breuille et - de Nonancourt, extraction 1555, Lorraine[a 302], ANF (1980).
- Bonnecaze (de), admis aux États de Béarn en 1724 (admission à ces mêmes États en 1686 pour G. Chaix d'Est-Ange), Béarn, Champagne[a 303], ANF (1989).
- Bonnechose (de), extraction 1510, Normandie[a 304], ANF (1965).
- Bonnefoux (Bonnefous, alias Bonnafoux) de Caminel(de), extraction 1557, Quercy[a 305].
- Bonnet de Viller (de), ancienne extraction 1469 (noblesse d'Empire 1810 (chevalier) pour Chaix d'Est-Ange et donc noblesse non consensuelle), Normandie[a 306], ANF (1951).
- Bonneval (de), extraction chevaleresque 1365, honneurs de la Cour, Auvergne[réf. nécessaire], ANF (1951).
- Bonnevie de Pogniat (de), ancienne extraction 1468, baron en 1811, Auvergne[réf. nécessaire], ANF (1948).
- Bonnin de La Bonninière de Beaumont, ancienne extraction 1450, marquis de Beaumont-La Ronce en 1757, honneurs de la Cour, Touraine[LM 36], ANF (1944).
- Bony de Lavergne (de), ancienne extraction 1401, honneurs de la Cour, Limousin[a 307], ANF (1935).
- Bordas (de), bourgeois honoré de Perpignan 1661[98], Roussillon[a 308], ANF (1953).
- Borel de Brétizel Rambures, anoblissement par charge 1760, Picardie[a 309], ANF (1954).
- Borne de Granpré (de), anoblie en 1778, Nivernais[a 310], ANF (1985).
- Borniol (de), extraction 1533, maintenue en 1700, Italie, Nivernais, St-Domingue[a 311]. (rattachement à prouver)
- Bos (du), anoblie en 1594, Picardie[a 312], ANF (1935).
- Boscal de Réals de Mornac, extraction 1524, Saintonge[a 313],[LM 37], ANF (1934).
- Boscq de Beaumont (du), anoblissement 1697, révoqué 1715, secrétaire du roi 1775, en charge le 23 juin 1790, Normandie[18] Noblesse non consensuelle.
- Bosquillon de Frescheville et - de Jenlis, secrétaire du roi 1706-1711, Picardie (Montdidier)[a 314], ANF (1953).
- Bosredon Combrailles (de), (olim Dacbert) extraction chevaleresque 1344[a 315], Auvergne, ANF (1978).
- Bossoreille de Ribou (de), secrétaire du roi 1774-1778, Auvergne, Anjou[a 316], ANF (1964).
- Botherel (de), anoblie en 1595, maintenue en 1668, Bretagne[LM 38], ANF (1985).
- Botmiliau (de), ancienne extraction 1481, maintenue en 1669, Bretagne[a 317],[99],[LM 39], ANF (1958).
- Bottée de Toulmon, Restauration, chevalier en 1815, Hainaut[a 318].
- Boüan du Chef du Bos, ancienne extraction 1460, maintenue en 1669, Bretagne[a 319],[LM 40], ANF (1934).
- Bouays de Couësbouc (du), ancienne extraction 1447, Bretagne[a 320],[LM 41], ANF (1988).
- Bouays de La Bégassière (du), ancienne extraction 1420, maintenue 1669, Bretagne[a 321].
- Boucaud (de), secrétaire du roi 1595, Guyenne[a 322], ANF (1986).
- Bouchard d'Aubeterre de Saint-Privat, olim de Saint-Privat, extraction 1553, Auvergne[a 323], ANF (1952).
- Bouchard de La Poterie, secrétaire du roi 1738-1747, Anjou[a 324], ANF (1997).
- Bouchaud de Mazaubrun (du), déchargé comme noble en 1756 par la Cour des aides de Clermont, Limousin[a 325],[b 2]
- Bouchelet de Vendegies, secrétaire du roi 1761-1782, Artois[a 326], comte du Saint Empire (1605)[100], ANF (1965).
- Boucher d'Argis, Parlement de Dombes 1660, Lyonnais[a 327], ANF (1980).
- Boucher de Boucherville, anoblie en 1708, Québec[a 328]. (à confirmer)
- Boucher de La Rupelle, anoblie en 1612, maintenue en 1666, Bourgogne[a 329], ANF (1946).
- Bouet du Portal (de), extraction 1539, Saintonge[a 330], ANF (1952).
- Bouët-Willaumez, comte en 1845 (sous Louis-Philippe, sur réversion), Bretagne[a 331],[LM 42].
- Bouëtiez de Kerorguen (du), ancienne extraction 1443, Bretagne[101],[a 332],[LM 43], ANF (1946).
- Bouëxic (du) de Pinieux, de La Driennays, de Guichen, extraction 1562 ou anoblissements, vicomte (pour la branche de la Driennays) en 1657, comte de Guichen en 1828, Bretagne[a 333],[LM 44], ANF (1936).
- Bougrenet de la Tocnaye (de), ancienne extraction, maintenue par la Chambre de Réformation de Bretagne 1668, Pays de Retz en Bretagne[LM 45], ANF (1948).
- Bouillé du Chariol (de), extraction chevaleresque 1328, honneurs de la Cour, Auvergne[a 334], ANF (1938).
- Boula de Mareüil et de Coulombiers, secrétaire du roi 1705, Picardie, Île-de-France[a 335], ANF (1987).
- Boulard (de), anoblie en 1603, Lorraine[a 336], ANF (1990).
- Boulard de Gatellier, secrétaire du roi 1747-1768, échevin de Lyon en 1778[102], Lyonnais[a 337], ANF (1982).
- Boulard de Vaucelles, anoblie en 1717, Paris[a 336], ANF (1948).
- Boulay de La Meurthe, Empire, comte de l'Empire par L.P. du , Lorraine[a 338]. Titre sans anoblissement, (Famille éteinte en ligne masculine).
- Boulet de La Boissière (du), extraction, Île-de-France, Valois[a 339], ANF (1958).
- Bouly de Lesdain, secrétaire du roi 1787, en charge le 23 juin 1790, Flandres[18] Noblesse non consensuelle.
- Bouquet des Chaux, ANF (2024).
- Bourayne (de), baron d'Empire , confirmé le par Louis XVIII, Beauce, Bretagne (Finistère)[a 340], ANF (1982). Titre sans anoblissement.
- Bourblanc (du), ancienne extraction 1500, Bretagne[LM 46], ANF (1942).
- Bourbon-Busset (de) et -Chalus, branche naturelle légitimée, issue en 1464 de la maison capétienne de Bourbon, comte de Busset 1578, pair de France 1823, Bourbonnais [103], ANF (1992).
- Bourdeau de La Judie, secrétaire du roi 1762, Limousin[réf. nécessaire], ANF (2009).
- Bourdier de Beauregard, admission aux États de Béarn en 1773, Béarn[réf. nécessaire], ANF (1992).
- Bourdieu (du) (alias Dubourdieu), baron par L.P. du , Vitré en Bretagne (noblesse non consensuelle)[a 341].
- Bourg (du) (de Boismarquer), secrétaire du roi (1701-1711), Bretagne[a 342],[LM 47].
- Bourg de Bozas-et de Luzençon (du), extraction 1554, Languedoc[a 343], ANF (1949).
- Bourgeois de Boynes, secrétaire du roi 1719-1740, honneurs de la Cour, marquis en 1867, Lyonnais[a 344],[LM 48], ANF (1979).
- Bourgeois de Lavergne, extraction, maintenue en 1668, Limousin[réf. nécessaire][a 280], ANF (1963).
- Bourgnon de Layre, chevalier de l'Empire en 1811, baron en 1815, Poitou[a 345]. Titre sans anoblissement.
- Bourgoing (de), Parlement de Paris 1522, comte en 1830, Nivernais[a 346].
- Bourlon de Rouvre, secrétaire du roi 1775, en charge le 23 juin 1790, Champagne[18] Noblesse non consensuelle.
- Bournonville (de), lettres de légitimation 1574, Boulonnais[a 347], ANF (1984).
- Bourqueney (de), Empire, baron en 1838, comte en 1859, Franche-Comté[a 348],[LM 49], ANF (1987). Titre sans anoblissement.
- Bourran (de), Parlement de Bordeaux 1585, Guyenne[a 349], ANF (1940).
- Bousquet de Florian (de), deux conseillers maîtres en la Chambre des comptes de Montpellier à la fin du XVIIIe siècle ou secrétaire du roi 1774-1778[b 3], Montpellier (Languedoc)[a 350], ANF (1973).
- Boussac (de), capitoul de Toulouse 1720, Languedoc[a 351], ANF (1994). (porte les armes d'une famille homonyme éteinte)
- Boussiers (de), extraction 1559, Périgord[104], ANF (1979). Chaix d'Est-Ange donne une filiation prouvée qu'à partir de 1590[a 352].
- Boussineau (de), échevin de Nantes en 1668, Bretagne[a 353],[LM 50].
- Bout de Marnhac, secrétaire du roi 1747-1769 (non corroboré par Chaix d'Est-Ange), Rouergue, Gévaudan[a 354], ANF (1970).
- Boutaud de Lavilléon (de), anoblie par L.P de Louis XVIII du , Tournon en Vivarais[a 355].
- Boutechoux de Chavanes (de), anoblie en 1471 par charge de conseiller-maître des requêtes du duc de Bourgogne[105], comte en 1765, Franche-Comté[a 356], ANF (1934).
- Bouteiller (de), chevalier 1811, confirmé en 1816, Picardie[a 357]. Titre sans anoblissement.
- Bouteville (de), baron en 1824, Picardie[a 358], ANF (1938). Titre sans anoblissement.
- Bouthillon de La Serve, Restauration, anoblie en 1819, baron en 1820, Bourgogne[a 359].
- Boutiny (de), extraction 1531, Hyères en Provence[réf. nécessaire], ANF (1992).
- Boutray (de), échevin de Paris 1735, baron 1830, Île-de-France[LM 51], ANF (1949).
- Bouvet (de), anobli en 1501, baron en 1724, Barrois[a 360], ANF (2024).
- Bouvier d'Yvoire, extraction, Savoie[Foras 5],[a 361], ANF (1948).
- Boux de Casson, anoblissement par charge 1602, maintenue 1668, Bretagne[LM 52], ANF (1968).
- Boyer de Castanet de Tauriac (de), extraction 1538, Languedoc[a 362], ANF (1995).
- Boyer d'Éguilles (de), Parlement de Provence 1571, marquis d'Argens en 1722[106], Ollioules, puis Éguilles en Provence[a 363],[107],[108].
- Boyer de Fonscolombe de La Môle, secrétaire du roi 1724, baron de La Môle en 1864, Aix-en-Provence en Provence[a 364], ANF (1967).
- Boyer du Montcel, Empire, baron en 1812 (non confirmé par G. Chaix d'Est-Ange), Champagne[a 365], ANF (1995).
- Boyer-Montégut (de), Restauration, anoblissement en 1815, Comté de Foix[a 366],[109].
- Boyer de Rebeval, Empire, baron en 1809, Lorraine[a 367], ANF (1998). Titre sans anoblissement.
- Boys (du), anoblie en 1816, Dauphiné[110],[a 368], ANF (1958).
- Boys de Riocour (du) (olim Dubois et du Bois de Riocourt) anoblie en 1622, comte en 1763, Lorraine[a 369].
- Brac de La Perrière- et de Bourdonnel, échevin de Lyon 1737, Beaujolais[réf. nécessaire], ANF (1947).
- Brach (de), secrétaire du roi 1571, Guyenne, Poitou[a 370], ANF (1952).
- Bragelongne (de), Chambre des comptes Paris 1580, Île-de-France[a 371].
- Branges de Bourcia (de), reconnu noble 1734, lettres de relief 1747, Franche-Comté[a 372].
- Braquilanges (de), anoblie (relief) en 1720, Bas-Limousin[a 373], ANF (1973).
- Bras de Fer (de), anoblie (franc-fief) en 1470, Normandie[a 374], ANF (1952).
- Brassier de Jocas (de), ancienne extraction 1477, Pernes-les-Fontaines en Comtat Venaissin[a 375], ANF (1998). Noblesse non consensuelle en France.
- Bray (de), Restauration, confirmation de noblesse 1819, baron en 1827, Picardie (Amiens)[a 376],[111].
- Bréart de Boisanger, secrétaire du roi 1688, maintenue 1701, Bretagne[a 377],[LM 53], ANF (1962).
- Brébisson (de), extraction 1551 (prouvé en 1666), Normandie[a 378], ANF (1938).
- Breil de Pontbriand de la Caunelaye (du), extraction chevaleresque 1399, comte en 1650, Bretagne[LM 54], ANF (1938).
- Brem (de), anoblie en 1725, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1975).
- Brémond d'Ars (de), extraction chevaleresque 1340, maintenue 1666, Saintonge[LM 55], ANF (1934).
- Bresson (de), Second Empire, comte en 1865 (sur réversion d'un titre de 1838), Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1938). Titre sans anoblissement.
- Bressy de Guast (de), anoblie par le pape Pie VI en 1781, Gordes en Provence, Comtat Venaissin[a 379], ANF (1977).
- Brettes (de), extraction 1537, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1950).
- Breuil-Hélion de La Guéronnière (du), ancienne extraction 1413, Poitou[a 380], AN (1950).
- Brévedent d'Ablon (de) et - du Plessis, anoblie (confirmée) en 1596, Normandie (Lisieux)[réf. nécessaire], ANF (1950).
- Brezetz (de), anoblie par charge sous l'Ancien Régime, baron de l'Empire le , Guyenne[a 381], ANF (2015).
- Briançon (de) (alias Brianson), extraction, maintenue 1667, Périgord[a 382], ANF (1937).
- Briant de Laubrière, anoblie par L.P. du , Bretagne (Finistère)[a 383],[LM 56], ANF (1951).
- Bricogne, anoblie en 1814, Île-de-France[a 384],[112].
- Bridiers (de), ancienne extraction 1425, Limousin[a 385], ANF (1996).
- Brie (de), extraction 1562, Limousin[a 386], ANF (1954).
- Briet de Rainvillers, anoblie en 1701, puis anoblissement révoqué en 1715, secrétaire du roi 1743, Picardie (Abbeville)[a 387], ANF (1998).
- Briey (de), extraction chevaleresque 1247, honneurs de la Cour, Barrois[a 388],[113], ANF (2024).
- Brillet de Candé- et de Villemorge, filiation suivie depuis 1547 et agrégation à la noblesse vers 1617[114].
- Brincard, Empire 1810, baron en 1866, Île-de-France[a 389], ANF (1954). Titre sans anoblissement.
- Brindejonc de Bermingham de Tréglodé, maintenue 1818[a 390], Bretagne.
- Brinon (de), charge anoblissante fin XVIe siècle ou début XVIIe siècle, maintenue 1667, Bourbonnais[a 391].
- Briot de La Crochais et de La Mallerie, anoblie en 1823, Bretagne[a 392],[LM 57], ANF (1951),
- Brisoult (de), anoblie en 1817, Île-de-France[a 393], ANF (1973).
- Brisset de Morcour, anoblie en 1782, Normandie[a 394], ANF (1947).
- Broc (de), ancienne extraction 1483, honneurs de la Cour, Anjou, Bretagne[a 395],[LM 58], ANF (1982).
- Broch d'Hotelans (de), Parlement de Dôle 1652, Franche-Comté[a 396], ANF (1935).
- Brochant de Villiers, Cour des monnaies de Paris 1703, Paris[a 397], ANF (1996).
- Brochard de La Rochebrochard, ancienne extraction 1438, Poitou[a 398],[LM 59], ANF (1966).
- Broglie (de), extraction chevaleresque 1394, duc par L.P. de [115], princes du Saint-Empire par diplôme du , Chieri en Piémont, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1933).
- Brommer (de), r.n.f. 1788, Hambourg, Bordelais[a 399].
- Brondeau d'Urtières (de), secrétaire du roi 1785 (charge acquise en 1768 - mort en charge 1785), Libourne en Guyenne[a 400], ANF (1967).
- Brossard (de), extraction 1598, Normandie[a 401], ANF (1959).
- Brossard de Corbigny-Fontenay, noblesse inachevée[116], Restauration, baron en 1830[117], Pithiviers en Orléanais[a 402], ANF (2007)[118]. Titre sans anoblissement.
- Brosse (de) olim Desbrosses ou des Brosses, filiation 1605, branche cadette (éteinte) condamnée en 1667 puis maintenue en 1717, branche aînée (subsistante) maintenue en 1697 et en 1708 sur preuves de 1535 mais inquiétée d'où maintenue par le Conseil d'État en 1716, Beaujolais[a 403], ANF (2018).
- Brosses (de), extraction ou anoblie 1530, Savoie, Bourgogne[a 404], ANF (1947).
- Brossin de Méré (de), extraction chevaleresque 1369, Touraine, Anjou[a 405], ANF (1963).
- Brossin de Saint-Didier (de), secrétaire du roi 1751, Normandie[a 406], ANF (1955).
- Bruc (de), et de Malestroit de Bruc, ancienne extraction 1439, marquis en 1682, (a relevé Montplaisir en 1861 et Chabans en 1924), Bretagne[a 407],[LM 60],[119], ANF (1994).
- Bruce (de), extraction en Écosse, r.n.f. 1715, Poitou[a 408], ANF (1990).
- Bruchard (de), ancienne extraction 1485 ou extraction 1550, Limousin[a 409], ANF (1951).
- Brugière de Barante, baron en 1810, Auvergne[a 410], ANF (1934). Titre sans anoblissement.
- Brun (de) et de Brun du Bois Noir, extraction 1519, maintenue en 1667, Velay, Auvergne[a 411].
- Brunet d'Evry, secrétaire du roi 1667, marquis d'Evry en 1724, Bourgogne[a 412], ANF (1953).
- Brunet de La Charie, preuves de noblesse 1631, maintenue 1718, Poitou[a 413], ANF (1933).
- Brunet de Sairigné, charge anoblissante de trésorier de France en 1734, lettres d'honneur en 1754, lettres patentes de confirmation de noblesse en 1755, Poitou[a 413].
- Brunier (de), anoblie par L.P. en , Comtat Venaissin, Vendômois[a 414], ANF (2016).
- Brunville (de), extraction, maintenue 1667, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1971).
- Bryas (de), ancienne extraction 1414, Artois[120].
- Brye (de), secrétaire du roi en l'Hôtel de Ville de Metz 1712, Picardie[a 415].
- Buchère de L'Épinois (de), Lettres Patentes de trésorier royal du [121], Picardie[a 416], ANF (2013)[122].
- Buchet (de), anoblie en 1825, Franche-Comté[a 417], ANF (1980).
- Bucy (de), extraction 1535, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1989).
- Budes de Guébriant, extraction chevaleresque 1300, honneurs de la Cour, baron en 1829, Bretagne[a 418],[LM 61].
- Buhan (de), anoblie en 1786, Bordelais[a 419], ANF (1976).
- Buirette de Verrières, anoblie en 1819, Champagne[a 420], ANF (1937). (famille éteinte en ligne masculine).
- Buisson de Courson (du), preuves de noblesse 1636, maintenue 1701, Normandie[a 421], ANF (1970).
- Buor de Villeneuve (de) et de La Voy, extraction 1545, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1957).
- Bureau de Pusy Lafayette, anoblissement chambre des comptes de Dole 1737, (Dumotier de Lafayette par décret de 1892 et 1928)[b 4], Franche-Comté[a 422], ANF (1977).
- Buretel de Chassey (de), anoblie en 1607 (autorisation de reprise de noblesse maternelle de la famille Grégoire)[b 4], Franche-Comté[a 423], ANF (1958).
- Burignot de Varenne, Chambre des comptes de Dole 1706-1730, Bourgogne[a 424],[b 4], ANF (2016).
- Busnel (de), anoblissement 1592, maintenue 1669, Bretagne[a 425],[LM 62]. (Famille éteinte en ligne masculine).
- Busquet de Caumont, anoblissement 1460 ou extraction 1542, Normandie[a 426], ANF (1955).
- Butler (de), certificat de noblesse irlandaise du enregistré à Saint-Domingue le [123], ancienne extraction, Irlande, Aunis, Saint Domingue[Passage problématique], ANF (1935)
- Buttet (de), ancienne extraction 1460, Savoie[Foras 6],[a 427], ANF (1985).
- Buxeuil de Roujoux (de) (olim Roujou), anoblissement par lettres[réf. nécessaire], baron de l'Empire 1810[124], Bretagne (vérifier l'anoblissement par lettres)[a 177], ANF (1938).
- Buyer-Mimeure (de) et Buyer (de), maintenue de noblesse en 1772 à Besançon par le Parlement de Franche-Comté[125], (a relevé "Mimeure" de la famille Fyot de Mimeure éteinte en 1874), Agenais, Franche-Comté[a 428], ANF (1951). Noblesse non consensuelle.
- Buzelet (de), ancienne extraction 1486, Maine, Lorraine[a 429] (rattachement à prouver).
C[modifier | modifier le code]
- Cabannes de Cauna (de), anoblie en 1714, confirmée en 1756 (?), Gascogne[a 430],[b 4],[Jougla 12] (les lettres d'anoblissement achetées en 1714 auraient été confirmées en 1756[126]).
- Cacqueray-Valménier (de) et de Cacqueray de Saint-Quentin, ancienne extraction 1470, Normandie[a 431],[Jougla 13], ANF (1938).
- Cadaran de Saint-Mars (de), ancienne extraction 1460, Bretagne[a 432],[Jougla 14],[LM 63], ANF (1939).
- Cadenet (de), anoblie en 1549[127], maintenue 1693, Salon-de-Provence en Provence, Bretagne[a 433],[Jougla 15], ANF (1978).
- Cadier de Veauce, extraction 1524, Bourbonnais[a 434].
- Cadoine de Gabriac (de), extraction chevaleresque 1279, maintenue en 1668, honneurs de la Cour en 1789, Pair de France en 1841, Gévaudan[d 19],[a 435], ANF (2011).
- Cadolle (de), ancienne extraction 1439, Languedoc[a 436],[Jougla 16], ANF (1997).
- Cadoret (de), échevin de Nantes 1641, maintenue 1669, Bretagne[a 437],[Jougla 17],[LM 64], ANF (1956).
- Cadoudal (de), anoblie en 1815, Bretagne[Jougla 18],[LM 65], ANF (1938).
- Caffarelli (de), comte de l'Empire 1810, pair de France en 1815, Languedoc[a 438], ANF (1953). Titre sans anoblissement.
- Cahouët (de), anoblie en 1817, Anjou[a 439],[LM 66], ANF (1979).
- Caillard d'Aillières, maintenue en 1671, Maine[a 440], ANF (1938).
- Caillebot de La Salle (de), extraction 1543, marquis de La Salle 1673, Normandie (Cerisy-la-Salle), Île-de-France[a 441].
- Calbiac (de), filiation suivie depuis 1630, maintenue en 1778, confirmation de noblesse en 1817, Agenais[a 442], ANF (1984).
- Calignon (de), anoblissement 1592 confirmé en 1602, Dauphiné, Limousin[128],[a 443].
- Calmès (de), preuves de noblesse 1637, Aude[a 444].
- Calonne d'Avesnes (de), extraction 1532, Picardie (Avesnes-Chaussoy)[a 445], ANF (1970).
- Camaret (de), docteur en droit d'Avignon 1635, Caromb puis Pernes-les-Fontaines en Comtat Venaissin[a 446], ANF (1984). Le comtat Venaissin a été rattaché à la France après l'abolition de la noblesse en France, donc noblesse non consensuelle en France.
- Cambolas (de), conseiller au Parlement de Toulouse le , Rouergue, Languedoc[réf. nécessaire], ANF (1968).
- Cambourg (de), extraction[129], filiation prouvée 1651[Jougla 19] (informations non consensuelles pour Chaix d'Est-Ange)[a 447], maintenue noble en 1669, Poitou[a 447], ANF (1935).
- Campou de Grimaldi-Regusse (de), secrétaire du roi 1724, Marseille en Provence[a 448], ANF (1985).
- Canat de Chizy, secrétaire du roi 1703, Bourgogne[a 449], ANF (1973).
- Canaux de Bonfils, vote noble à Orange en 1789, Provence (Orange)[130], ANF (2019).
- Candolle (de), ancienne extraction 1432[131], Marseille en Provence[a 450], ANF (1967).
- Capèle (de) et de Capèle d'Hautpoul, capitoul de Toulouse 1602, Comminges[a 451],[b 5].
- Cappel de Prémont (van), ANF (2019).
- Capitant de Villebonne, Restauration, anoblie en 1816, Orléanais (Coulmiers)[a 452].
- Carbonnel (de), extraction 1507, Artois, Picardie[b 5].
- Carbonnel de Canisy (de), extraction chevaleresque 1313, maintenue par Montfaut en 1463, marquis de Canisy par L.P. de [132], pages de la Grande Écurie du Roi 1745 et 1746, Honneurs de la Cour 1753, 1770 et 1783, Canisy en Normandie, Bretagne[réf. nécessaire]. (famille éteinte en ligne masculine)
- Carbonnières de Saint-Brice (de), extraction chevaleresque 1254, honneurs de la Cour, Saint-Brice-sur-Vienne en Limousin, Provence[réf. nécessaire], ANF (1934).
- Cardaillac (de), extraction 1549, maintenue noble en 1667, Quercy[d 20][réf. non conforme], ANF (1935).
- Cardaillac Lomné (de), ancienne extraction 1463, Bigorre[réf. nécessaire], ANF (1938).
- Cardevac d'Havrincourt (de), extraction 1596, marquis en 1693, honneurs de la Cour, Artois[réf. nécessaire], ANF (1933).
- Cardes (de), secrétaire du roi 1783, en charge le 23 juin 1790, Gascogne[18] Noblesse non consensuelle.
- Cardon de Garsignies, secrétaire du roi 1714, Flandre[réf. nécessaire], ANF (1961).
- Cargouët de Ranléon (de), ancienne extraction 1423, Bretagne (Lamballe)[LM 67], ANF (1961).
- Carheil (de), ancienne extraction 1423, Bretagne[LM 68], ANF (1938).
- Carlet de La Rozière, anoblie en 1777 (Trois générations de chevaliers de Saint-Louis), marquis en 1780, Champagne (Rethel)[a 453],[133]. (famille éteinte en ligne masculine)
- Carmantrand de La Roussille (de), secrétaire du roi 1642, Auvergne[a 454],[134], ANF (1980).
- Carmejane-Pierredon (de) et - de Vesc, docteur en droit d'Avignon en 1638[b 5], preuves pour les écoles militaires 1781, baron en 1810, Ménerbes en Comtat Venaissin[a 455].
- Carné (de), - Marcein, - Carnavalet, - Trecesson de Coëtlogon, ancienne extraction 1423, Bretagne[a 456],[LM 69], ANF (1933).
- Carpentier (de) (de Juvigny), secrétaire du roi 1697-1709, Soissonnais[a 457], ANF (1948).
- Carpentier de Changy, anoblie (relief) en 1662, Nivernais[a 458], ANF (1957).
- Carra de Vaux Saint-Cyr, secrétaire du roi 1750, Lyonnais[a 459].
- Carré de Busserolles, maire de Poitiers en 1639, Poitou[a 460], ANF (1986) (famille éteinte en ligne masculine).
- Carré de Lusançay, secrétaire du roi 1659-1675, Bretagne[a 461],[LM 70], ANF (1956).
- Carrelet, Second Empire, comte en 1866, Dijon, Bourbonnais[a 462]. Titre sans anoblissement.
- Carrelet de Loisy (de), - et Carrelet de Loisy d'Arcelot (de), Chambre des comptes de Dijon 1684-1688 et 1688-1732 (Valette)[b 6] ou anoblissement 1777 (Chaix d'Est-Ange), Bourgogne[a 463], ANF (1957).
- Carrière (de), capitoul de Toulouse 1592, baron héréditaire par L.P. du [135] Languedoc[a 464], ANF (1978).
- Carrière de Montvert (de), ancienne extraction 1476, comparution de la noblesse de la sénéchaussée du Périgord en date du , Périgord[a 465], ANF (2010)[136].
- Carron de La Carrière, anoblie en 1815, Bretagne[a 466],[LM 71].
- Casabianca (de), preuves de noblesse 1564, maintenue 1771, Corse[a 467].
- Cassagne de Beaufort, - de Miramon, - de Miramon-Pesteils et - de Miramon Fitz-James[137], extraction chevaleresque 1399, marquis de Beaufort en 1768, honneurs de la Cour, Auvergne[a 468], ANF (1946).
- Cassin (de), Restauration, anoblie par lettes patentes en 1825, titre de baron (branche aînée)[138],[139], Anjou[a 469], ANF (2005).
- Castel (de), extraction chevaleresque 1390, Bretagne[LM 72], ANF (1959).
- Castelbajac (de), extraction chevaleresque 1380, Bigorre[d 21],[a 470], ANF (1950).
- Castellan (de), extraction 1575, Bretagne[LM 73], ANF (1936).
- Castellane (de), - Esparron, - Majastres et - Norante, extraction chevaleresque 1089, honneurs de la Cour, marquis en 1829, Castellane en Provence[a 471], ANF (1942).
- Castelnau d'Essenault (de), Parlement de Bordeaux 1676, Guyenne[a 472], ANF (1964).
- Castillon de Saint-Victor (de), extraction 1508, Languedoc[a 473], ANF (1944).
- Catalan de La Sarra (de), Parlement des Dombes 1771, Lyonnais[a 474], ANF (1993).
- Cathelineau (de), Restauration, anoblie en 1817, Anjou[d 22], ANF (1983).
- Catoire et Catoire de Bioncourt, dispensé du marc d'or de noblesse le [a 475]. Deux générations d'avocats et trésoriers au Bureau des finances de Metz morts en charge (1746-1760) et (1767-1781)[140],[141], ANF (2024).
- Caubet de Bardies-Montfa (de), capitation noble en 1786 (Chaix d'Est-Ange écrit que cette famille n'a pas fait reconnaître sa noblesse lors des grandes recherches[a 476]), Comté de Foix, ANF (1946).
- Caumia-Baillenx (de), extraction 1538, Béarn[a 477], ANF (1935).
- Caumont La Force (de), extraction 1528, duc en 1788 (sur réversion), honneurs de la Cour, Agenais[d 22],[a 478], ANF (1946).
- Caupenne d'Aspremont (de), extraction chevaleresque 1391, honneurs de la Cour, Gascogne[Jougla 20].
- Cauvel de Beauvillé, Restauration, anoblie en 1821[b 7], Picardie (Montdidier)[a 479], ANF (1952)[142].
- Cauvigny (de), anoblissement 1585, Normandie[a 480], ANF (1970).
- Cauzé de Nazelle (du), extraction (sur quelles dates ?), maintenue en 1680, marquis en 1735, Condomois[a 481], ANF (1939).
- Cavelier de Cuverville, ancienne extraction 1419, maintenue noble le à Rouen par les commissaires aux francs-fiefs, Normandie[a 482],[LM 74],[143], ANF (1978).
- Cazaux (de), admis aux États de Béarn en 1740, Béarn[b 7],[a 280], ANF (1979).
- Cazenave de Lacaussade, - et de Mauduit, secrétaire du roi 1756, Guyenne[a 483], ANF (1955).
- Cazenave de Mathecoulon et de Libersac (de), Libournais, Périgord, Haute-Loire, maintenue en 1669 par arrêt du Conseil d’État, confirmée noble en 1697, vote à Libourne en 1789[a 484].
- Cazenove de Pradines (de), extraction 1548, Guyenne[a 485],[LM 75], ANF (1939). (Famille éteinte en ligne masculine).
- Ceccaldi -et Colonna-Ceccaldi, maintenue noble le 21 février 1772 par le Conseil supérieur de la Corse, Corse[144].
- Cellard du Sordet olim Cellard/Celard, secrétaire du roi 1776, Dauphiné, Mâconnais[145],[a 486], ANF (1950).
- Cellès (de), bourgeois honoré de Perpignan 1661[146], Roussillon[a 280], ANF (1985).
- Cenat de l'Herm, noblesse d'extraction, maintenue le 15/1/1671[147],[148], Velay. (Famille subsistante en ligne masculine sous le seul nom Cénat)[a 280].
- Certaines (de), extraction chevaleresque 1392, maintenue 1634 et 1701, honneurs de la Cour 1788, Nivernais[a 487], ANF (1951).
- Cézac (de), anoblie le [149], maintenue par Pellot le [150], Périgord[a 488], ANF (1967).
- Chabannes (de) et Chabannes Curton La Palice (de), extraction chevaleresque 1352, honneurs de la Cour 1787[151], Curton depuis le début XIXe siècle, Chabannes de Vergers (de)[152], pair de France héréditaire qualifié de "cousin du roi" avec pairie instituée sous le titre de marquis 1815-1831, et Chabannes La Palice (de)[151],[d 23][réf. non conforme], honneurs de la Cour 1787[Jougla 21],[b 8], Moustier-Ventadour en Limousin[a 489], ANF (1935).
- Chabert, baron en 1823, Franche-Comté[a 490]. Titre sans anoblissement.
- Chabert d'Hières, anoblie en 1825, Dauphiné[a 491].
- Chabot de Souville (de), extraction 1571, maintenue 1667, Orléanais et Paris[a 492],[Jougla 22], ANF (1954).
- Chabot (de) et Chabot-Tramecourt (de), extraction chevaleresque 1347, Poitou[a 493], ANF (1948). (voir aussi Maison de Rohan-Chabot).
- Chacaton (de), trésorier à Riom 1750, Bourbonnais[a 494] ANF (1969).
- Chagrin de Saint Hilaire, anoblie en 1657, Normandie[a 495], ANF (1945).
- Chaignon (de), extraction 1522, Périgord[a 496], ANF (1979).
- Chaillou (de), secrétaire du roi 1786, en charge le 23 juin 1790, Bourgogne[18]. Noblesse non consensuelle.
- Chalendar (de), maintenue noble en 1760, Vivrais, Libournais[a 497].
- Chalon (de), extraction 1567, Île-de-France[réf. nécessaire], ANF (1962).
- Chalup (de), extraction 1553, maintenue par La Bourdonnaye le , page de la Grande Écurie le [153], Périgord[réf. nécessaire], ANF (2006).
- Chalus (de), ancienne extraction 1470, Maine, Bretagne[LM 76], ANF (1967).
- Chalus (de) (de Prondines), ancienne extraction 1412, Auvergne[154], ANF (1967).
- Chalvet de Rochemonteix (de), extraction 1533, Auvergne[a 498], ANF (1995).
- Chambarlhac (de), extraction 1510, Vivarais[a 499].
- Chamboduc de Magnieu et de Saint-Pulgent (de), secrétaire du roi (1727-1741), Forez[a 500],[b 8], ANF (1935).
- Chambrun d'Uxeloup de Rosemont, secrétaire du roi 1760, Bourbonnais[a 501].
- Champeaux (de) et Champeaux de La Boulaye (de), secrétaire du roi 1691-1693, Bourgogne[a 502], ANF (1939).
- Champeaux (de) (Le Vauxdimes), maintenue en 1698 sur preuves de 1593[b 9], Bourgogne (Montigny-sur-Aube), ANF (1997). (Chaix d'Est-Ange écrit que le personnage de cette famille qui a été maintenu noble n'a pas eu de descendance et que le jugement de maintenue ne mentionne pas son frère dont descend la famille actuelle[a 503])
- Champs de Boishébert (des), ancienne extraction 1471, Normandie[a 504], ANF (1994).
- Champs de Saint Léger (de), anoblie en 1638, Nivernais[a 505],[LM 77], ANF (1953).
- Chanlaire (de), secrétaire du roi 1767, Champagne[a 506].
- Chapelain de Séréville, baron en 1819, Orléanais[a 507], ANF (1958). Titre sans anoblissement.
- Chapelet de Maillebois (du), ancienne extraction 1469, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1942).
- Chappedelaine (de), ancienne extraction 1427, Normandie, Maine[a 508], ANF (1944).
- Chappedelaine (de)(Famille différente de la précédente), maintenues en 1710 et en 1774 (contestations), Bretagne[a 509],[LM 78], ANF (1935).
- Chaptal de Chanteloup, anoblie par Louis XVI en 1788[a 510], ANF (1973).
- Chapuys Montlaville (de), baron en 1820, Bourgogne[a 511], ANF (1979).
- Chardon du Ranquet, un trésorier de France à Riom (1712-1730) et un conseiller à la Cour des aides de Clermont (1751-1771), confirmation de noblesse le 10 février 1773, Auvergne[a 512], ANF (1950).
- Charette de La Contrie (de), extraction, maintenue en 1668 à Rennes[155], baron de la Contrie en 1824, Bretagne[a 513],[LM 79], ANF (1938).
- Chargères du Breuil, extraction 1528, maintenue le [156], Nivernais, ANF (1938).
- Charpin Feugerolles (de), ancienne extraction 1446, Forez[réf. nécessaire], ANF (1989).
- Charrin (de), secrétaire du roi 1733, comte en 1843, Lyonnais[réf. nécessaire], ANF (1987).
- Charry (de), extraction chevaleresque 1316, honneurs de la Cour, Nivernais[réf. nécessaire], ANF (1951).
- Chassaigne, secrétaire du roi 1753, Auvergne[réf. nécessaire], ANF (1973).
- Chassepot de Pissy (de), Cour des aides de Paris 1675, baron en 1813, marquis en 1820, Picardie[a 514], ANF (1988)[157].
- Chasteigner de La Rocheposay (de), extraction chevaleresque 1318, honneurs de la Cour, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1940).
- Chastellier (de), ancienne extraction, confirmée en 1575, honneurs de la Cour, Dauphiné[158],[a 515].
- Chastellux (de), extraction chevaleresque 1335, honneurs de la Cour, marquis de Duras en 1819, (duc de Rauzan sans lettres patentes), Bourgogne[a 516], ANF (1968).
- Chastenet de La Ferrière (de), extraction 1573, Saintonge[a 517], ANF (1956).
- Chastenet de Puységur (de), famille marchande agrégée à la noblesse au XVIe siècle[159], honneurs de la Cour 1738 sur dispense de preuves (maréchal de France), Gascogne[a 518], ANF (1959).
- Chateaubodeau (de), extraction 1524, Bourbonnais[a 519].
- Chateaubriand (de), extraction chevaleresque 1150, comte et vicomte de Chateaubriand en 1817, honneurs de la Cour 1787 et 1788, famille éteinte en ligne masculine, Bretagne[160],[161]
- Châteauneuf Randon du Tournel (de), extraction chevaleresque 1135, honneurs de la Cour, Gévaudan[réf. nécessaire], ANF (1945).
- Châtillon de Forceville de Merlimont (de), extraction, Poitou[réf. nécessaire], ANF (2018).
- Chauchart du Mottay, extraction, maintenue en 1668, Bretagne[LM 80], ANF (1988).
- Chauchat, anoblie par la charge d'échevin de Paris le , dispensé du marc d'or le , Auvergne puis Île-de-France[a 520], ANF (1973).
- Chaudruc de Crazannes, charge graduelle inachevée XVIIIe siècle, baron d'Empire 1813, Saintonge[a 521]. Noblesse non consensuelle.
- Chaumont de Quitry (de), extraction chevaleresque 1358, honneurs de la Cour les , et [162], comte en 1852[163], Chaumont-en-Vexin en Île-de-France[réf. nécessaire], ANF (1950).
- Chaumontel (de), extraction 1540, maintenue de noblesse par Chamillart le [Jougla 23], Falaise en Normandie, ANF (1946).
- Chaunac de Lanzac, de Montlogis (de), extraction chevaleresque 1393, honneurs de la Cour, Périgord[a 522], ANF (1986).
- Chaurand (de), secrétaire du roi 1751, lettres d'honneur 1771, Bretagne (Nantes)[a 523], ANF (1954).
- Chauveau de Quercize (de), secrétaire du roi 1779-1782, Bourgogne[a 524], ANF (1971).
- Chauvelin, Parlement de Paris (1553), honneurs de la Cour pour la branche -de Grisenoy, Vendômois[a 525], Paris.
- Chauveron (de), extraction chevaleresque (1361), honneurs de la Cour, Limousin[a 526], ANF (1994).
- Chauvigny de Blot (de), ancienne extraction 1458, certificat de noblesse du [164], honneurs de la Cour, Bourbonnais[réf. nécessaire], ANF (2013)[165].
- Chavagnac (de), ancienne extraction 1446, honneurs de la Cour, marquis en 1720, Auvergne[LM 81], ANF (1938).
- Chaylard (du), ancienne extraction 1483, Périgord[réf. nécessaire], ANF (1984).
- Chazeaux (de), extraction 1546, maintenue 1669, Velay[a 526].
- Chazelles (de) et - de Chazelles-Lunac (olim Chazel), maintenue en 1784 (sur présentation de pièces manifestement fausses la rattachant à une famille homonyme), Baron d'Empire le , Languedoc (Nîmes)[a 527],[b 10].
- Chazettes de Bargues (de), secrétaire du roi 1722-1750, Auvergne[a 528], ANF (1983).
- Chazotte de Clavière (de), conseiller au parlement de Dombes 1767, Vivarais[a 529], ANF (1971).
- Chebrou de La Roulière, L.P. d'anoblissement du [166], Niort en Poitou[a 530],[Jougla 24], ANF (2002)[167].
- Chefdebien-Zagarriga (de), ancienne extraction 1457, Roussillon, Languedoc[a 531], ANF (1933).
- Chérade de Montbron (de) anoblissement par charge de maire d'Angoulême en 1695[168], comte en 1766[a 532], Angoumois, ANF (1936).
- Chéreil de la Rivière, secrétaire du roi 1738-1754, Bretagne (Rennes)[a 533],[LM 82], ANF (1937).
- Chergé (de), ancienne extraction 1489, Poitou[a 534], ANF (1951).
- Chérisey (de), extraction chevaleresque 1400[169],[170][réf. non conforme], honneurs de la Cour le [171][réf. non conforme], Chérisey en Moselle, ANF (1935).
- Chesne (du), anoblie en 1816, Orléanais[réf. nécessaire], ANF (1955).
- Chevalier d'Almont, extraction 1572, Orléanais[a 535].
- Chevignard, secrétaire du roi le (ou 1728-1731), Beaune en Bourgogne[a 177], ANF (1965).
- Chevigné (de), extraction chevaleresque 1370, honneurs de la Cour. Vicomte en 1827 pour une branche éteinte, Bretagne[a 536],[LM 83], ANF (1946).
- Chevron Villette (de), extraction chevaleresque 1328, baron en 1604, Savoie[Foras 7],[a 537], ANF (1960).
- Cheyron du Pavillon (du), secrétaire du roi 1677[172],[b 11] (lettres d'honneur en 1712)[a 538] Cheyron de Beaumont (du), Cheyron de Beaumont d'Abzac de La Douze (du) jugement de décharge en 1713[173], une branche relève d'Abzac de La Douze par adoption en 1929, Périgord[réf. nécessaire], ANF (1934).
- Chicoyneau de Lavalette et du Coëtlosquet, Cour des comptes de Montpellier 1678, Languedoc[a 539],[LM 84], ANF (1934).
- Chieusses de Combaud Roquebrune (de), maintenue en 1708 comme gouverneur de Lorgues depuis 1705, Lorgues (Provence)[d 24],[a 540], ANF (1973).
- Chillaz (de) (olim Machard de Chillaz), anoblie le par L.P. de Janus de Savoie, Savoie[Foras 8], ANF (1959).
- Chivré (de), ancienne extraction 1494, marquis en 1633 (titre contesté dans Chaix d'Est-Ange), Normandie, Maine[a 541], ANF (1988).
- Choderlos de Laclos, secrétaire du roi 1696, Champagne[a 542].
- Chodron de Courcel, Second Empire, baron en 1867 (seule la branche issue d'Alphonse Chodron de Courcel est titrée), Lorraine (Toul)[a 543]. Titre sans anoblissement.
- Choin du Double (de), secrétaire du roi 1744-1757, Dauphiné[a 544], ANF (1955).
- Choiseul Praslin (de), extraction chevaleresque 1060, honneurs de la Cour, cousin du roi, duc de Praslin en 1762, Champagne, Lorraine[a 545], ANF (1937).
- Cholet (de), (charge inachevée au XVIIIe siècle), comte de l'Empire 1808 (confirmé en 1817), pair de France héréditaire avec pairie instaurée sous le titre de Comte 1815-1831, Guyenne (Bordeaux)[a 546], ANF (1944). Titre sans anoblissement.
- Cholier de Cibeins (de), échevin de Lyon 1618, comte en 1721, Lyonnais[a 547], ANF (1953).
- Chossat de Montburon (de), secrétaire du roi 1686-1694, Bresse[a 548].
- Chouly de Permangle (de), anoblie en 1591 Limousin[a 549], ANF (1979).
- Clamorgan (de), ancienne extraction 1463[174], Normandie[a 550]. (famille éteinte en ligne masculine).
- Clapiers-Collongues (de), extraction 1550, Hyères, puis Collongues en Provence[a 551], ANF (1970).
- Claret de Fleurieu, échevin de Lyon 1686-1687 et 1689-1690, président en la Cour des monnaies de Lyon le , Nantua puis Lyon[a 552], ANF (1955).
- Clarke de Dromantin, r.n.f. 1766, Irlande, Bordelais[a 553], ANF (1958).
- Clausel de Coussergues (de), Chambre des comptes de Montpellier 1754, Rouergue[a 554], ANF (1951). Noblesse non consensuelle.
- Clauzade de Mazieux (de), capitoul de Toulouse 1693, Languedoc[a 555], ANF (1962).
- Clauzel, Empire, baron en 1810, comte en 1813, confirmé en 1814, Ariège[a 556]. Titre sans anoblissement.
- Clavière (de), échevin de Lyon 1754 et 1770, Bourgogne[a 557], ANF (1936). (Chaix d'Est-Ange rapporte que pas de preuves de rattachement à l'ancienne famille de ce nom en Vivarais malgré une reconnaissance de celle-ci)
- Clebsattel (de), anoblie (relief) en 1693 et confirmé noble en 1710, Alsace, Flandre[a 558],[d 25]. (à vérifier)
- Clédat de la Viguerie (de), secrétaire du roi 1784, en charge le 23 juin 1790, Limousin[18]. Noblesse non consensuelle.
- Clément de Givry et- de Blavette, anoblie en 1711, Provence, Paris[a 559], ANF (1947).
- Clérel de Tocqueville, ancienne extraction 1425, comte en 1820, Normandie[a 560], ANF (1935).
- Clermont-Tonnerre (de), extraction chevaleresque 1080 (Clermont), comtes de Tonnerre (devient : Clermont-Tonnerre), honneurs de la Cour, duc de Clermont-Tonnerre en 1759, pair de France, Dauphiné[a 561], ANF (1935).
- Clinchamp Bellegarde (de), ancienne extraction 1424, Normandie[a 562], ANF (1989).
- Clock (de), secrétaire du roi 1757-1770 ou 1777, baron en 1865 pour une branche éteinte, Hollande, Guyenne[a 563], ANF (1996).
- Cloüet, anoblissement 1512, dérogeance, relief de dérogeance 1765 pour une branche éteinte, anoblissement par charge de secrétaire du roi en 1788 pour une autre, en charge le 23 juin 1790, Meuse[18]. Noblesse non consensuelle.
- Coataudon-Tromanoir (de) et - de Kerdu, ancienne extraction 1423, maintenue 1669[LM 85], Bretagne (Finistère), ANF (2004)[175].
- Coatgoureden (de) et - Kerjean, ancienne extraction 1427, Bretagne, ANF (1952)[LM 86].
- Coattarel (de), ancienne extraction 1480, Bretagne[LM 87], ANF (1988).
- Cochet de Savigny de Saint-Vallier, ancienne extraction 1414, maintenue en 1669, Bourgogne[176][réf. nécessaire].
- Cochin, échevin de Paris 1748, Île-de-France, Paris[a 563], ANF (1997).
- Cochon de Lapparent, chevalier d'Empire 1808, comte en 1809, Poitou[a 564]. Titre sans anoblissement.
- Cockborne (de), extraction 1570, Écosse, Champagne[a 565], ANF (1937).
- Coëtlogon (de), extraction chevaleresque 1371, honneurs de la Cour 1781 et 1784, Bretagne[LM 88], ANF (1946)
- Coëtnempren de Kersaint (de), ancienne extraction, Baron d’Empire le 25 février 1811, comte le 21 avril 1830, Bretagne (Finistère)[LM 89], ANF (1967).
- Cognets de Correc de Kerdréoret (des), ancienne extraction 1488, Plurien en Bretagne[LM 90], ANF (1946).
- Cointet de Fillain (de), baron en 1866, Alsace[a 566], ANF (1949). Titre sans anoblissement.
- Colas des Francs, Colas des Francs de Parabère, Colas de Brouville devenue Colas de Malmusse (une branche Colas de Malmusse de Chanaleilles de La Saumes), Colas de la Noue, extraction 1511, maire d'Orléans au XVIIe siècle, Orléanais[a 567],[177], ANF (1954).
- Colbert (de), - Cannet et - de Turgis (olim Colbert), anoblie en 1603, branche du ministre éteinte, Champagne (Reims, Troyes)[a 568], ANF (1937).
- Colin de Verdière, secrétaire du roi 1765-1778, Champagne, Île-de-France[a 569], ANF (2016).
- Collas de La Baronnais, extraction, maintenue en 1669, Bretagne[a 570],[LM 91].
- Collinet de La Salle, anoblie en 1655, Lorraine[a 571], ANF (1984).
- Collot d'Escury, anoblie par LP de 1675 en France, reconnaissance aux Pays-Bas en 1814[178].
- Colnet (de), extraction 1520, maintenue de noblesse le , chevau-léger le [179], Fontaine-l'Évêque au Pays de Liège, Picardie[a 572].
- Colombel (de), anoblissement 1598, Normandie[a 573].
- Colonna d'Istria, extraction chevaleresque 1331, maintenue en 1773, comte en 1825, Corse[a 574], ANF (1971).
- Colonna de Lecca, maintenue en 1772, Corse[a 575].
- Combarel du Gibanel (de), extraction 1517, Limousin[a 576], ANF (1994).
- Combas, extraction, maintenue en 1670, Languedoc[a 280], ANF (1975). Famille subsistante sous le nom Combes de Montagut de Combas (de).
- Combettes de Caumon (de), trésorier à Montauban 1715, vicomte en 1817, Languedoc[a 577].
- Commarque (de), extraction chevaleresque 1317, Périgord[a 578], ANF (1988).
- Commines de Marcilly (de), secrétaire du roi 1730, Bourgogne[a 579].
- Comminges (de) , extraction chevaleresque 1385, maintenue noble 1698, honneurs de la Cour 1781, Comminges[a 580],[d 26], ANF (2010). (Famille éteinte en ligne masculine).
- Condé (de), extraction 1584, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1958).
- Coniac (de), anoblie en 1619, Guyenne, Bretagne[a 581],[LM 92], ANF 1942).
- Conny de Lafay (de), conseiller au Parlement de Dombes 1745-1767, vicomte en 1816, Bourbonnais[réf. nécessaire], ANF (1946).
- Constantin (de), extraction 1517, comte en 1870, Périgord[a 582]. (Subsistance à établir).
- Constantin de Magny (de), anoblie en 1560, Savoie[Foras 9],[a 583],[180].
- Contades (de), Conseil d'État 1619, honneurs de la Cour, comte en 1809, Anjou, Bretagne[a 584],[LM 93], ANF (1950).
- Contes d'Esgranges (de), six générations de noblesse avant 1761, Bucamps en Picardie[a 585], ANF (2001)[181].
- Cools (de), baron 1822, Guadeloupe[a 586], ANF (1956). Titre sans anoblissement.
- Copin de Miribel, conseiller au Parlement du Dauphiné le [182], Grenoble, Dauphiné[a 587], ANF (1954).
- Coppier (de), extraction 1565, Savoie[Foras 10],[a 588], ANF (1966).
- Coquebert de Neuville, extraction 1565, Champagne, Bretagne[réf. nécessaire], ANF (1936).
- Coquet (de), extraction 1558, Guyenne[réf. nécessaire], ANF (1936).
- Coral (de), ancienne extraction 1426, maintenue de noblesse le [183], Sillars en Poitou (ancienneté de noblesse différente entre Valette[réf. nécessaire] et Chaix d'Est-Ange[a 589]), ANF (2004)[184].
- Corbier (de), ancienne extraction 1448, Limousin[réf. nécessaire], ANF (1997).
- Corday (de), ancienne extraction 1463, Normandie[185],[186][réf. à confirmer].
- Cordon (de), légitimation 1558, honneurs de la Cour, Bugey, Savoie[Foras 11],[a 590], ANF (1963).
- Cordoüe (de), extraction 1553 (qualifications de noblesse fin XVIe siècle pour Barcilon et Chaix d'Est-Ange), - de Cordoüe-Hecquard par adoption de 1934, Aurons en Provence[a 591], ANF 1951).
- Coriolis (de), conseiller au Parlement d'Aix 1554, marquis en 1651, Marcoux[187], puis Aix-en-Provence, Provence[a 592], ANF (1956).
- Corlieu (de), ancienne extraction 1480, Angoumois[a 593].
- Cornaro de Curton, maintenue noble en 1784, preuves pour les écoles militaires en 1789[188],[189], originaire de Venise, Cantal[Jougla 25].
- Corneillan (de), ancienne extraction 1487, Armagnac, Rouergue[réf. nécessaire], ANF (1958).
- Cornet d'Hunval, anoblie en 1816, Picardie[a 594].
- Cornette de Saint-Cyr et- Cornette de Venancourt, anoblie en 1676, Martinique, Champagne[a 595], ANF (1969).
- Cornois (de), baron d'Empire en 1810, Île-de-France[a 596], ANF (2000). Titre sans anoblissement.
- Cornulier-Lucinière (de), ancienne extraction 1487, Bretagne[LM 94], ANF (1946).
- Cos de La Hitte (du), extraction 1530, Gascogne, Toulousain[réf. nécessaire], ANF (1969).
- Cosnac (de), extraction chevaleresque 1223, maintenue noble en 1667, honneurs de la Cour 1782 et 1783, Limousin[Jougla 26], ANF (1935).
- Cossart d'Espiès (de), extraction 1517, honneurs de la Cour, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1961).
- Cossé-Brissac (de), ancienne extraction 1492, honneurs de la Cour, duc de Brissac en 1611[a 597], Anjou, ANF (1948).
- Cosseron de Villenoisy, échevin de Paris 1783, Île-de-France[a 598], ANF (1988).
- Cossette (de), ancienne extraction 1437, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1961).
- Costa de Beauregard, ancienne extraction 1389, marquis de Saint-Genix de Beauregard en 1700, Gênes, Savoie[Foras 12],[a 599], ANF (1935).
- Costard de Saint-Léger (de), extraction 1537[190], maintenue de noblesse par de Barrin de La Galissonnière le [191], Martot, Normandie[a 600].
- Costart (de) (de Méry), ancienne extraction 1485, maintenue noble en 1666, Basse-Normandie[a 601].
- Costé de Bagneaux, anoblie en 1819, Orléanais[a 602].
- Cotton (de), échevin de Lyon 1676, Lyonnais[réf. nécessaire], ANF (1960).
- Cotton de Bennetot, secrétaire du roi 1560, Normandie[a 603], ANF (1959).
- Coüasnon (de), ancienne extraction 1417, honneurs de la Cour, Bretagne[LM 95], ANF (1987).
- Coudenhove (de), ancienne extraction 1460, admission aux écoles royales militaires le [192], Flandre[réf. nécessaire], ANF (1967).
- Couderc de Saint-Chamant, secrétaire du roi 1783, en charge le 23 juin 1790, Montpellier[18]. Noblesse non consensuelle.
- Couëdic de Kergoualer (du), extraction chevaleresque 1370. (Titre éteint) vicomte en 1827, honneurs de la Cour, Bretagne (Finistère)[LM 96], ANF (1950).
- Couëspel (de), anoblie en 1428, Normandie[LM 97], ANF (2022).
- Couessin du Boisriou (de), ancienne extraction 1453, Bretagne[LM 98], ANF (1955).
- Couët de Lorry (de), qualifications de noblesse à partir du XVIe siècle (G. Chaix d'Est-Ange mentionne une condamnation, des maintenues et des anoblissements ultérieurs), Lorraine[a 604],[193].
- Couppé de Kerloury, Couppé de Kermartin, Couppé de Lahongrais, extraction 1540, Bretagne, Guadeloupe[194], ANF (2019)
- Couraye du Parc, anoblie par lettres du 22 mai 1778 enregistrées à la Cour des aides de Rouen le 14 mai 1779, Normandie[réf. nécessaire].
- Courbis, reconnue noble en France, maintenue en 1667, Toscane, Vivarais[195], ANF (1960).
- Courlet de Vregille, conseiller au Parlement de Besançon 1704-1719, Franche-Comté (Pontarlier)[195], ANF (1949).
- Courrèges (de), Courrèges d'Agnos (de), Courrèges d'Agnos de Parage (de) et Courrèges d'Ustou (de), secrétaire du roi 1711-1720[b 12], a relevé Parage (de) et Ustou (d'), éteints, Béarn[a 605], ANF (1939).
- Cours de Saint-Gervasy (de), ancienne extraction 1409, maintenue 1715, Gascogne[a 606], ANF (2014).
- Courseulles (de), extraction chevaleresque 1347, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1956).
- Courson de La Villeneuve (de), ancienne extraction 1437, Bretagne[196],[LM 99], ANF (1953).
- Court de Fontmichel, secrétaire du roi 1783-1786 (Chaix d'Est-Ange émet une réserve), Cabris et Grasse en Provence[a 607], ANF (1953).
- Courtilloles (de), Courtilloles d'Angleville (de), olim Chausson jusqu'en 1766, anoblie en 1698, Normandie[a 608], ANF (1954).
- Courtils (des) et Courtils de Merlemont (des), ancienne extraction 1417, Beauvaisis[a 609], ANF (1934).
- Courtois (de) et Courtois d'Arcollières (de), anoblie en 1517 par le duc de Savoie, maintenue en 1718 à Beaucaire (branche cadette)[197], Savoie, Gard[a 610], ANF (1956).
- Courtot de Cissey, anoblie en 1533, Franche-Comté[198].
- Cousin de Mauvaisin (de), secrétaire du roi 1740, Mauvaisin, Languedoc[a 611].
- Coustin du Masnasdaud (de), extraction chevaleresque 1364, Marche[a 612], ANF (1982).
- Coux (de), extraction 1548, marquis 1866, Limousin[réf. nécessaire], ANF (1960).
- Coye de Castelet (de) et- de Brunelis, secrétaire du roi 1766-1785, Les Baux-de-Provence et Arles (Provence)[réf. nécessaire], ANF (1989).
- Cramail du Tronchet, secrétaire du roi 1782, en charge le 23 juin 1790, Île-de-France[18]. Noblesse non consensuelle.
- Crécy (de), extraction chevaleresque 1370, honneurs de la Cour, (a relevé -Liliac par alliance), Picardie[réf. nécessaire], ANF (1973).
- Cremoux (de) (alias de Crémoux), extraction 1546 ou agrégé à la noblesse au XVIIe siècle[a 613], maintenue de noblesse le rendu par La Bourdonnaye, maintenue de noblesse le , Sarlat en Périgord[a 613], ANF (2008).
- Crespin de Billy (de), échevin d'Angers 1501, Anjou, Orléanais[réf. nécessaire], ANF (1949).
- Cressac (de), et -de Soleuvre, anoblie en 1776, Poitou[a 614], ANF (1934).
- Cretté de Palluel, secrétaire du roi 1783, en charge le 23 juin 1790, lettres de noblesse en 1817, baron en 1827, Île-de-France[18],[a 615].
- Crevoisier d'Hurbache (de), et - de Vomécourt, anoblie en 1623, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1943).
- Crevoisier Gouy de Bellocq Feuquières (de), même famille que la précédente, anoblissement par lettres 1623, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1943).
- Crocquet de Guyencourt (du), secrétaire du roi 1721, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1988). (Famille éteinte en ligne masculine).
- Croix (de), extraction chevaleresque 1285, comte en 1808 et en 1824, Flandre[réf. nécessaire], ANF (1967).
- Crosnier de Briant, maintenue par arrêt du Conseil souverain de la Martinique du , Saint-Malo en Bretagne, La Trinité en Martinique[réf. nécessaire], ANF (2002)[199][réf. à confirmer].
- Croÿ (de), extraction chevaleresque 1350, prince du Saint-Empire, duc en 1817 (branche ducale fixée en Allemagne), honneurs de la Cour, Picardie, Hainaut[réf. nécessaire], ANF (1938).
- Crozé de Clesmes (de), agrégé à la noblesse au XVIIIe siècle, comparution pour l'ordre de la noblesse en la sénéchaussée de Saumur en [200], Anjou[a 616], ANF (1985). (principe de noblesse à déterminer).
- Crublier de Fougères, président trésorier de France [président du Bureau des finances ?] à Bourges le [201][réf. à confirmer], Châteauroux en Berry, ANF (2004)[202].
- Crussol d'Uzès (de) (olim Bastet), extraction chevaleresque 1215, honneurs de la Cour, duc d'Uzès 1565, Vivarais, Languedoc[a 617], ANF (1959).
- Cugnac (de), ancienne extraction 1447, honneurs de la Cour, marquis 1861, Périgord[a 618], ANF (1939).
- Cugnon de Sevricourt d'Alincourt, extraction 1518, Champagne[réf. nécessaire], ANF (1994).
- Cuneo d'Ornano, extraction, maintenue 1771, Gênes, Corse[a 619], ANF (1975).
- Curel (de), anoblie (confirmée) en 1718, vicomte en 1819, Lorraine (Gondrecourt-le-château)[a 620], ANF (1939).
- Curial de Brévannes, Empire, baron 1808, pair de France héréditaire avec pairie instaurée sous le titre de comte 1817-1831, Savoie[Foras 13],[a 621], ANF (1937). Titre sans anoblissement.
- Curières de Castelnau (de), extraction chevaleresque 1264, maintenue de noblesse en 1700 sur preuves remontant à 1531, honneurs de la Cour en 1776 pour une branche éteinte en 1798, Rouergue[a 622], ANF (1939).
- Cussy (de), ancienne extraction 1471, maintenue de noblesse par Louis Pierre d'Hozier en 1761, Bayeux en Normandie[réf. nécessaire], ANF (2008)[203].
- Cyresme (de), anoblie en 1559, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1948).
D[modifier | modifier le code]
- Dadvisard, parfois Dadvisard de Talairan, secrétaire du roi 1577, capitoul de Toulouse 1677, marquis 1863, Languedoc[a 623],[Jougla 27], ANF (1936).
- Dalmas (de), extraction 1443, secrétaire du roi 1696, Languedoc, Paris[a 624],[Jougla 28].
- Damas (de) (branche de Cormaillon), extraction chevaleresque 1315, baron en 1827, Bourgogne[d 27], ANF (1936).
- Dambrines de Ramécourt, anoblie en 1700, Artois[a 625],[Jougla 29], ANF (2015).
- Dampierre (de), ancienne extraction 1405, baron-pair en 1827, Picardie[d 27],[204], ANF (1938).
- Danzel d'Aumont, arrêt du Conseil d'État 1671 puis maintenues 1701 sur preuves de 1543, actes de roture mais écartés par le Conseil d'État[a 626], Picardie, ANF (1976)
- Darassus (de), trésorier à Montauban 1667, Quercy[réf. nécessaire], ANF (1977).
- Dargier de Saint-Vaulry (alias Argier de Saint-Vaulry (d')), extraction 1537, Marche[a 627].
- Daru, capitoul de Toulouse 1769, comte en 1809, Languedoc[a 628], ANF (1953).
- Dasnières de Veigy (olim Gantelet d'Asnières de Veigy), voir Gantelet d'Asnières de Sales (ci-dessous), anoblie 1628, vérifié 1639[205], naturalisé français par L.P. d', maintenue de Noblesse par L.P. du [206], Vallières en Savoie[a 629], ANF (2007).
- Dauger, anoblie pour services militaires par L.P. de , Champagne, Normandie[207], ANF (1953).
- David de Beaufort, secrétaire du roi par L.P. du -1730, Autun en Bourgogne[a 630].
- David de Sauzéa, secrétaire du roi 1789, en charge le 23 juin 1790, Forez[18] Noblesse non consensuelle.
- David-Beauregard (de), Écoles militaires, confirmé en 1788, Provence[a 631], ANF (1988).
- Davy de Virville, extraction[208], Normandie[a 632], ANF (1982).
- Dax d'Axat (de) et d'Ax de Cessales, anoblie par L.P. du , maintenue en 1668, Languedoc[d 28],[a 633], ANF (1956).
- Déan de Luigné, secrétaire du roi 1700, Maine[a 634],[LM 100], ANF (1956).
- Decazes, comte sur majorat 1816, duc de Glücksberg 1818, duc Decazes 1820, Guyenne[a 635], ANF (1967). (titres sans anoblissements)
- Decouz (De Couz ou De Coux) baron par L.P. du (titre transmissible)[209], Annecy, Savoie[Foras 14],[a 636]. Titre sans anoblissement. ANF (2008).
- Dein, Empire, baron en 1811, confirmé en 1822, Bretagne[a 637],[LM 101]. Titre sans anoblissement. ANF (1956).
- Dejean de La Bâtie, secrétaire du roi le [210] (ou 1750), Dauphiné, Nivernais, Vivarais[211],[a 638], ANF (1980).
- Delamalle, Empire, chevalier 1811, confirmé en 1816, vicomte en 1830 à titre personnel, Paris[a 639]. Titre sans anoblissement. ANF (1980)
- Delarüe-Caron de Beaumarchais, conseiller secrétaire du roi en la Grande Chancellerie de France le , résigne le , Beaumarchais par décret du , Paris[a 640].
- Delfau de Pontalba, - et de Belfort, capitoul de Toulouse 1746, baron de Pontalba en 1810, baron de Belfort en 1868, Languedoc[a 641],[212].
- Delherm de Novital, capitoul de Toulouse 1739, Languedoc[a 642].
- Delolm de Lalaubie, Restauration, anoblie en 1816, Auvergne (Aurillac)[d 28],[a 643].
- Delom de Mézerac, famille de haute-bourgeoisie[a 644], maintenue de noblesse par arrêt de la Cour des aides de Montpellier de 1767, Languedoc (Albi)[213], ANF (1954).
- Delort, capitoul de Toulouse 1718, Languedoc[a 645], ANF (1980).
- Delpuech de Comeiras, pas de principe de noblesse antérieur à la maintenue de noblesse enregistrée à Montpellier en 1721 et 1725 en faveur de Jean Delpuech (en 1692 qualifié maître Jean del Puech, fils de maître Pierre del Puech) et de 4 de ses frères, Languedoc[a 646], ANF (1977).
- Demandolx-Dedons (de) (olim Dedons), Parlement de Provence 1554, marquis en 1682, Demandolx, Provence[a 647], ANF (1997).
- Mont d'Aurensan (de), maintenue en 1716, Bigorre (Bagnères-de-Bigorre)[a 648].
- Denesvre de Domecy (de), secrétaire du roi près le Parlement de Bourgogne reçu le [214] (ou 1704-1706), Avallon/Domecy-sur-le-Vault en Bourgogne[a 649].
- Denis du Péage, anoblie en 1769, Flandre[a 650], ANF (1950).
- Denis de Senneville-Grave, échevin de Paris 1720, Paris[a 651], ANF (1961).
- Denis de Trobriand, maintenue 1715, Bretagne (Finistère)[a 652],[LM 102], ANF (1981).
- Denys de Bonnaventure, anoblie en 1668, Touraine, Aunis[a 653], ANF (1987).
- Desazars de Montgailhard, capitoul de Toulouse 1753, baron en 1810, confirmé en 1864, Languedoc[a 654], ANF (1996).
- Desbiez de Saint-Juan, avocat-général au parlement de Besançon 1736, baron héréditaire de Saint Juan par Louis XVI en 1786[a 655],[215],[216],[217],[218] (éteinte en ligne masculine ).
- Descantons de Montblanc, comte en 1841, Paris[a 656], ANF (1972). (noblesse non consensuelle).
- Desclos de La Fonchais, secrétaire du roi 1711, Bretagne[d 29],[a 657], ANF (2021).
- Desfrançois de Pontchalon (alias des François), secrétaire du roi 1767-1782, Normandie[a 658], ANF (1955).
- Desfriches Doria, ancienne extraction 1457, Picardie[a 659].
- Desgrées du Loû, extraction chevaleresque 1385, Bretagne[a 660],[LM 103], ANF (1957).
- Desjardins de Gérauvilliers, anoblie en 1664, Lorraine[a 661].
- Desjars de Keranrouë, extraction (aveu en 1586), déboutée et condamnée en 1668 puis maintenue en 1670, Bretagne[a 661], ANF (1992).
- Desmiers de Chenon, et -Desmier de Ligouyer, ancienne extraction 1406, Angoumois[LM 104], ANF (1956).
- Desmousseaux de Givré, échevin de Paris 1789, baron en 1810[219], Île-de-France, ANF (1981).
- Desplaces de Charmasse, secrétaire du roi 1729-1731[réf. nécessaire][220], Autun, Bourgogne, ANF (1951).
- Desprez de La Morlaye et de La Villetual, reconnu noble en 1746 et 1770[LM 105],[221], ou anoblie (confirmée) en 1770[b 13], et filiation non noble avant ces dates, Bretagne (Rennes)[a 662], ANF (1976).
- Desrousseaux de Medrano et - de Vandières, anoblie en 1815, Champagne (Sedan)[a 663], ANF (1933).
- Dessayettes de Clairval et Ayettes de Clerval (des), Cour des aides de Paris 1707-1709, Paris[a 664].
- Desvernay, secrétaire du roi 1780-1787, Forez[a 665], ANF (1933).
- Detours, Empire, baron en 1811, confirmé en 1817, Moissac, Quercy[réf. nécessaire], ANF (1973). Titre sans anoblissement.
- Devaulx de Chambord, anoblie en 1815, Bourbonnais[a 666], ANF (1968).
- Dianous (de), docteur en droit d'Avignon 1739, baron en 1811, Comtat Venaissin[a 667], ANF (1938). Noblesse non consensuelle en France.
- Dibart de La Villetanet, ancienne extraction 1460, Bretagne[222], ANF (1962).
- Didelot, anoblie en 1566, baron en 1811, Lorraine[LM 106], ANF (1945).
- Diesbach de Belleroche (de), anoblie par le Saint-Empire 1434, honneurs de la Cour, Suisse, Artois[a 668], ANF (1951).
- Dietrich (de), anoblie en 1768 (branche aînée) et 1761 (branche cadette, seule subsistante), Alsace[a 669], ANF (1939).
- Dieuleveult (de), anoblie le [b 13], Carhaix puis Tréguier en Bretagne[a 670],[LM 107], ANF (1938).
- Dillon, r.n.f 1759, extraction chevaleresque 1343, honneurs de la Cour, Irlande, Guyenne[a 671].
- Dion (de), extraction chevaleresque 1390, honneurs de la Cour, Artois[a 672].
- Dionis du Séjour, échevin de Paris 1698, secrétaire du roi 1719-1738[b 14], Île-de-France[a 673],[223], ANF (1994).
- Doë de Maindreville, secrétaire du roi 1691-1719, Champagne[a 674], ANF (1947).
- Domet de Mont, Chambre des comptes de Dole 1713-1738, Franche-Comté, ANF (2022).
- Domet de Vorges, Chambre des comptes de Dole 1713-1738 et 1741-1779, parlement de Besançon 1741, Franche-Comté[a 675], ANF (1951).
- Dompierre d'Hornoy (de), trésorier à Amiens 1720, Picardie[a 676],[224], ANF (1934).
- Donin de Rosière, secrétaire du roi 1747-1771, Dauphiné[225],[a 677], ANF (1976).
- Donjon de Saint-Martin, secrétaire du roi 1731-1737, Artois[a 678].
- Doquin de Saint-Preux, Restauration, anoblie en 1816, Champagne[a 679].
- Doré-Graslin (olim Doré), secrétaire du roi 1785, en charge le 23 juin 1790, Bretagne[18] Noblesse non consensuelle.
- Dorlodot (de), extraction 1525, Champagne[a 680], ANF (2016).
- Doublet de Persan, secrétaire du roi 1670, Champagne, Paris[a 681],[226], ANF (1947).
- Doudinot de La Boissière, greffier en chef au bureau des finances de Limoges 1740-1755 et 1755-1759, Limousin[a 682], ANF (1977).
- Douezy et Douëzy d'Ollandon, extraction 1540, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1972).
- Douglas (de), ancienne extraction 1440, maintenue 1668, Écosse, Bourgogne[d 30], ANF (1945)[227].
- Douhet d'Auzers (de), anoblie 1483, baron d'Auzers 1579, Auvergne[a 683], ANF (1967).
- Douville de Franssu , et- Douville de Maillefeu (de), secrétaire du roi 1775-1780, Picardie (Abbeville)[réf. nécessaire], ANF (1956).
- Doynel de La Sausserie, extraction chevaleresque 1364, honneurs de la Cour, Normandie[LM 108], ANF (1957).
- Drée (de), extraction chevaleresque 1343, marquis en 1767[228], honneurs de la Cour 1782 et 1783, Drée, Bourgogne[a 684], ANF (1967).
- Dresnay (du), ancienne extraction 1424, honneurs de la Cour, Bretagne (Finistère)[a 685],[229],[LM 109], ANF (1971).
- Dreuille (de) ANF (1967) et Dreüille Sénecterre (de), ancienne extraction 1404, Bourgogne[a 686].
- Dreux-Brézé (de), secrétaire du roi 1594, marquis en 1685, honneurs de la Cour, Poitou[a 687], ANF (1940).
- Drier de Laforte, secrétaire du roi 1720, Dauphiné[230],[a 688].
- Drouas (de), secrétaire du roi 1628, Bourgogne[a 689], ANF (1939).
- Drouet de Montgermont, secrétaire du roi 1652, Bretagne[a 690],[LM 110], ANF (1963).
- Drouilhet de Sigalas, anoblie par L.P. données à Paris en [231] (Chaix d'Est-Ange rapporte que ces lettres ne furent pas visées et qu'elles furent annulées en 1664 puis il cite une fonction anoblissante (1696-1737) et un anoblissement en 1784), vicomte par L.P. du et du sur institution de majorat pour la branche cadette, Agen et Marmande en Guyenne[a 691], ANF (1935).
- Drouin de Bouville (de), extraction 1518, comte en 1767, Gâtinais[a 692], ANF (1933).
- Dubois de Hoves de Fosseux olim du Bois de Hoves de Fosseux, ancienne extraction 1491, Fosseux, Flandres/Artois[a 693].
- Dubois de La Cotardière, anoblie en 1817, Normandie[a 694],[LM 111].
- Dubois de La Patellière, anoblie en 1817, Bretagne[a 695],[LM 112].
- Duboys de Labarre, maréchal de camp 1788, brevet de pension le [232], Saint-Amant-de-Boixe en Angoumois[a 696], ANF (2004)[233].
- Dubuard, olim Marin-Dubuard, Empire, baron en 1811, Île-de-France[a 280], ANF (1959)[234]. Titre sans anoblissement.
- Duchassaing de Ratevoult, preuves de noblesse pour admission aux Écoles Royales Militaires le [235], Sainte-Alvère, Aquitaine[a 697], ANF (2004)[236].
- Duchaussoy Delcambre de Champvert, Second Empire, baron en 1864, Paris[a 698]. Titre sans anoblissement.
- Duchemin de Chasseval, secrétaire du roi 1765-1782, (mort en charge), Orléanais[a 699],[d 31], ANF (1985)[237].
- Duchesne de Lamotte, secrétaire du roi 1735-1755, Picardie[a 700], ANF (1933).
- Duclaux de L'Estoille, extraction 1509, Auvergne[a 701],[d 32], ANF (1985).
- Duclos de Bouillas, capitoul de Toulouse 1748[a 702], ANF (1954). (famille éteinte en ligne masculine).
- Dudon de Boynet, parlement de Bordeaux 1698, Guyenne[a 703], ANF (1968).
- Dufaure de Citres, extraction 1522, Vivarais, Velay[réf. nécessaire], ANF (1997).
- Dufour de Quetteville, anoblie sous le règne de Charles VII (confirmation en 1582), Normandie (Honfleur)[a 704],[b 15], ANF (1988).
- Dugaigneau de Champvallins, anoblie en 1676, Orléanais[a 705], ANF (2018).
- Dugas de la Boissonny, secrétaire du roi 1785, en charge le 23 juin 1790, Forez[18] Noblesse non consensuelle.
- Dugas de La Catonnière, baron en 1816, Saint-Martin-la-Plaine, Forez[a 706]. Titre sans anoblissement.
- Dugas du Villard, anoblie en 1777, Forez[a 706], ANF (1968).
- Dugon, (olim d'Hugon), preuves de noblesse 1565, maintenue de noblesse à l'intendance de Bourgogne par Bouchu en 1666, confirmation du titre de comte par L.P. du , Bergerac en Périgord[a 707], ANF (1933).
- Duhamel (olim Fougeroux), secrétaire du roi 1735, Paris[a 708], ANF (2006).
- Dujat des Allymes, secrétaire du roi 1739, Bugey, Béarn[d 31].
- Dulong de Rosnay, Empire, baron en 1813, comte en 1827, Champagne[a 709], ANF (1958). Titre sans anoblissement.
- Dumon, secrétaire du roi 1717 (mort en charge en 1725), Brie, Provence (Marseille)[238],[d 31].
- Dunoyer de Noirmont (olim Coffinhal), baron par lettres patentes du , Auvergne[239], ANF (2017). Titre sans anoblissement.
- Dunoyer de Segonzac, 1787 procès devant le parlement de Toulouse, Quercy[a 710], ANF (1963). Preuve non valide.
- Dupin de Saint-Cyr (branche cadette de la famille du Pin de La Guérivière, voir à la lettre P), ancienne extraction 1433, Poitou, Limousin, Périgord[a 711], ANF (1995).
- Dupin des Vastines, anoblie en 1583, Normandie[a 712], ANF (1957).
- Dupont de Compiègne, anoblie en 1640, Béarn[a 713].
- Dupont de Dinechin, anoblie en 1756 par décharge de franc-fief, Bourgogne (Charlieu)[d 33],[a 714], ANF (1956). (principe de noblesse contesté par Philippe du Puy de Clinchamps).
- Duport de Rivoire et - de Loriol, anoblie par lettres de relief en 1655 pour la branche de Loriol et en 1734 par charge de conseiller au parlement de Dombes pour la branche de Rivoire, comte en 1743 pour la branche de Loriol, Bresse (Nantua)[d 34],[a 715], ANF (1980).
- Dupré de Boulois, anoblie en 1821, Bourgogne[a 716], ANF (1973).
- Dupuy (olim Dupuy de Ruffieu), secrétaire du roi 1777, en charge le 23 juin 1790, Forez[18] Noblesse non consensuelle.
- Dupuy de La Grand'Rive, secrétaire du roi 1737, Auvergne[a 717], ANF (1949).
- Durand, anoblie en 1789, Languedoc[a 718], ANF (1982).
- Durand et - de Fontmagne, baron en 1816, Roussillon[a 719], ANF (1939). Titre sans anoblissement.
- Durand de Distroff et - de Villers, anoblie en 1596, Lorraine[a 720], ANF (1942).
- Durand de Gevigney, maintenue de noblesse en 1702, Franche-Comté[a 721], ANF (1975).
- Durand de Monestrol et - d'Esquilles, extraction, maintenue 1671, Languedoc[a 722], ANF (1985).
- Durant de Mareuil, Empire, baron en 1809, Champagne[a 723], ANF (1992). Titre sans anoblissement.
- Durant de Saint-André, baron en 1847, Champagne[a 723], ANF (1955). Titre sans anoblissement.
- Durat (de), ancienne extraction 1445, Guyenne, Auvergne[a 724], ANF (1948).
- Durègne de Launaguet, secrétaire du roi 1720, Béarn, Languedoc[réf. nécessaire], ANF (1962).
- Durey de Noinville, secrétaire du roi 1683, comte 1827, Bourgogne[réf. nécessaire], ANF (1991).
- Durfort-Civrac de Lorge (de), extraction chevaleresque 1262, duc de Lorge 1774, honneurs de la Cour, Languedoc, Guyenne, Bretagne[a 725],[LM 113], ANF (1944).
- Durival (olim Luton), Empire, chevalier en 1810, confirmé en 1817, anoblie en 1827, Calvados, Lorraine[a 726],[d 35],[240].
- Duroy de Suduiraut et - de Bruignac, Parlement de Bordeaux en 1654, baron en 1863 pour une branche éteinte, Guyenne[réf. nécessaire], ANF (1936).
- Durye, greffier en chef au bureau des finances de Moulins 1742-1753 et 1753-1775, Bourbonnais[a 727], ANF (1945).
- Dutheil de La Rochère, ancienne extraction 1467, maintenue en 1667 à Poitiers[241], Poitou (Vienne)[a 728], ANF (1955).
- Dutour de Salvert-Bellenave, anoblie par charge de secrétaire du roi 1710[242], Riom (Puy de Dôme) en Auvergne[a 729], ANF (2013)[243].
- Duval de Fraville, Empire, baron en 1820, Champagne[a 730]. Titre sans anoblissement.
- Duverney ou Verney (Du), trésorier à Grenoble 1746-1771, Dauphiné[244], Roussillon[245],[246], ANF (1997).
E[modifier | modifier le code]
- Eblé (olim Billebaut) Second Empire, comte en 1867, Lorraine[a 731]. Titre sans anoblissement.
- Eimar de Jabrun et - de Palaminy de Laloubère (d') (alias Aimar), capitoul de Toulouse 1727, Marvejols en Gévaudan, Languedoc[a 732], ANF (1938).
- Elbée (d'), extraction 1500, Orléanais[a 733], ANF (1938).
- Elbreil (d'), Cour des aides de Montauban 1750, Quercy[a 734], ANF (1977).
- Élie-Lefebvre, anoblie en 1788, baron 1822, Normandie[a 735].
- Encausse de Ganties (d') et - de Labattut (d'), extraction 1549, maintenue par Legendre le (pour la branche de Ganties)[247], Encausse dans le Comminges, ANF (1952). (pour la branche de Labatut).
- Ernault de Moulins, échevin d'Angers 1589, Anjou[réf. nécessaire], ANF (1979).
- Ertault de la Bretonnière, échevin de Nantes 1662, Bretagne[LM 114].
- Escatha (d'), maintenue de noblesse par Bezons le (avec des titres faux), révocation de noblesse le (avec 2 000 livres d'amende), puis maintenue par le Conseil d'État en 1751 et L.P. du , Saint-Astier en Périgord[a 736].
- Esclaibes (d'), extraction chevaleresque 1290, Hainaut, Bourgogne[a 737],[d 1], ANF (1936).
- Escrots d'Estrée (d'), ancienne extraction 1472, Bourgogne, Bretagne[LM 115], ANF (1961).
- Esmangart de Bournonville, anoblie en 1776, Île-de-France[réf. nécessaire], ANF (1993)[248].
- Espagnet (d'), Parlement de Provence 1573, Brignoles en Provence[249], ANF (1976).
- Espaigne de Venevelles (d'), extraction chevaleresque 1373, honneurs de la Cour, reconnaissance du titre de marquis par décret impérial en 1861, Maine[a 738].
- Espalungue d'Arros (d'), anoblissement 1496, qualification noble 1520, Béarn[a 739], ANF (1948).
- Esparron (d'), maintenue en 1789, Esparron-de-Pallières en Provence[a 740], ANF (1951).
- Esperies (d'), maintenue en 1780, Languedoc (Le Vigan)[réf. nécessaire], ANF (1991).
- Espic de Ginestet (d'), une branche relève le nom de Palaminy-Puivert, anoblie en 1741 par charge de conseiller maître en la Chambre des comptes de Montpellier[250], Languedoc, ANF (1949).
- Espinay (d'), anoblie en 1608, Normandie, Poitou (branche cadette)[251],[a 741].
- Espinay Saint-Luc (d'), extraction chevaleresque 1352, honneurs de la Cour, Normandie[252][réf. à confirmer], ANF (1935).
- Espine (d') ou Despine, baron en 1782, transféré par adoption (1794) et par autorisation royale (patentes royales de 1841), Savoie/Suisse[Foras 15],[a 742] ANF (1979).
- Espinose (d'), anoblissement par charge d'échevin de Nantes en 1594, maintenue en 1669, Bretagne[a 743].
- Espivent de La Villesboisnet et - de Catuelan, ancienne extraction 1427, Bretagne[LM 116], ANF (1980).
- Estampes (d'), anoblie par lettres patentes en 1392, honneurs de la Cour, Berry[a 744],[Jougla 30],[253], ANF (1981).
- Esterno (d'), ancienne extraction 1415, comte en 1724, honneurs de la Cour, Franche-Comté[Jougla 31], AN (1946).
- Estève, Empire, comte en 1809[d 36], Languedoc, ANF (1970). Noblesse non consensuelle.
- Estienne de Saint-Jean de Prunières (d'), anoblissement par charge (président à mortier au Parlement de Provence 1572), Aix-en-Provence en Provence/Dauphiné[254],[Jougla 32],[a 745], ANF (1936).
- Estienne d'Orves (d'), même famille que la précédente, anoblissement par charge (président-trésorier général de France en Provence 1639), Aix-en-Provence en Provence[Jougla 33], ANF (1935).
- Estourneau de Tersannes, Poitou, Bretagne[LM 117], ANF (1951).
- Estresse de Lanzac de Laborie (d'), extraction 1534, maintenue en 1667, Limousin[255][réf. à confirmer].
- Estriché de Baracé (d'), secrétaire du roi 1736, Anjou[réf. nécessaire], ANF (1992).
- Estutt d'Assay (d'), ancienne extraction 1474, honneurs de la Cour, Écosse, Bourgogne[réf. nécessaire], ANF (1968).
- Eudes d'Eudeville, secrétaire du roi 1629-1665, Normandie (Caudebec)[LM 118]
- Everlange de Bellevue (d'), extraction 1545, Luxembourg, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1981).
F[modifier | modifier le code]
- Fabre de Latude (de), extraction 1551, maintenue 1724, Languedoc[a 746].
- Fabre de Roussac, Empire, baron en 1810, baron héréditaire en 1816, Languedoc[a 747], ANF (1981). Titre sans anoblissement.
- Fabry (de), Empire 1810, baron en 1811, Rians puis Brignoles en Provence[a 748],[256],[LM 119], ANF (1987). Titre sans anoblissement.
- Fages de Latour de Rochemure (de), extraction 1520, Languedoc, Périgord[a 749], ANF (1967).
- Failly (de), extraction 1509, Champagne[a 750],[257], ANF (1958).
- Fain, Empire, baron en 1809, Paris, Île-de-France[a 751], ANF (1959). Titre sans anoblissement.
- Falcon de Longevialle, secrétaire du roi 1719-1739, Gévaudan, Auvergne[a 752], ANF (1935).
- Falguerolles (de), extraction 1530, maintenue 1702, Languedoc[a 753].
- Fallois (de), anoblie en 1704, Lorraine[a 754].
- Falvelly (de), secrétaire du roi 1777, en charge le 23 juin 1790, Auvergne[18]. Noblesse non consensuelle.
- Fanget (de), anoblie en 1476, admise aux États de Béarn en 1631, Béarn[a 755].
- Faramond (de) et Framond (de), ancienne extraction 1435, Rouergue, Gévaudan[a 756], ANF (1997).
- Farcy de Pontfarcy (de) et - de Lavilledubois (de), lettres de confirmation de noblesse et d'anoblissement en tant que besoin en 1643, Normandie, Maine, Bretagne[a 757], ANF (1995).
- Faubournet de Montferrand (de), ancienne extraction 1407, honneurs de la Cour, Périgord[a 758], ANF (1950).
- Faucher (de), extraction 1519, maintenue 1697, Comtat Venaissin[a 759].
- Faucher de La Ligerie (de), anoblie 1594, Chermignac, Périgord/Saintonge[a 760], ANF (1939).
- Faucigny-Lucinge (de), extraction chevaleresque 1180, honneurs de la Cour, prince en 1828, cousin du roi, Savoie[Foras 16],[a 761].
- Fauconpré/Fauconpret (de), secrétaire du roi 1773, admission au Collège Mazarin en 1782, en charge le [18], une seconde branche anoblie par lettre en 1778, selon Chaix d'Est-Ange, Flandres[a 762]. (Noblesse non consensuelle).
- Faultrier (de), maréchal de camp 1788, Bourgogne, Lorraine[a 763], ANF (1938).
- Fauque de Jonquières (de), anoblie par deux arrêts successifs du parlement de Provence du et du , Roussillon en Provence[a 764].
- Faur de Pibrac (du), ancienne extraction 1444, Languedoc[a 765], ANF (1962).
- Faure (de), capitoul de Toulouse 1643, Roussillon[réf. nécessaire][a 177], ANF (1978).
- Favier du Noyer de Lescheraine (ajout de Lescheraine par adoption, décret du ), président du Sénat de Savoie en 1610, baron en 1750, Savoie (Curienne)[Foras 17], ANF (2007).
- Favre d'Echallens de La Paillerie (anciennement Favre), r.n.f. 1755, Poitou (Chaix d'Est-Ange rapporte qu'elle pourrait être issue d'une famille originaire de Lorraine mais sans preuves)[a 766], ANF (1977).
- Faÿ (de) et - Faÿ d'Athies (de), ancienne extraction 1402, Puisieux-et-Clanlieu, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1967).
- Faydit de Terssac (de), extraction chevaleresque 1361, honneurs de la Cour, Saint-Lizier, Limousin, Languedoc[réf. nécessaire], ANF (1953).
- Fayet (de), (de Peychaud), secrétaire du roi 1590, Ambarès-et-Lagrave, Guyenne/Normandie[a 767], ANF (1990).
- Fayet de la Tour (du), ancienne extraction 1421, Auvergne[a 768], ANF (1945).
- Fayet de Montjoye (de), maintenue 1717, Gévaudan[a 769], ANF (1947).
- Fayolle (de), extraction chevaleresque 1330, marquis en 1724, Périgord[a 770], ANF (1938). (Famille éteinte en ligne masculine)
- Féraudy (de), maintenue noble en 1769, Auvergne[a 771], ANF (1937).
- Férault de Falandre, anoblie en 1653, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1939).
- Feray, anoblie en 1775, Normandie[a 772], ANF (1953).
- Ferluc (de), capitoul de Toulouse 1718, Quercy, Languedoc[a 773], ANF (1959).
- Fernex de Mongex, comte par L.P. du Roi de Sardaigne le , Mégevette en Savoie[Foras 18],[a 774], ANF (2000).
- Ferrand de La Conté, anoblie aux francs-fiefs 1471, Saint-Sauveur-Lendelin, Poitou[a 775], ANF (1961).
- Ferrier du Chatelet (de), secrétaire du roi 1740-1748, baron en 1843, Salon-de-Provence en Provence, Luxeuil-les-Bains en Franche-Comté[a 776].
- Ferrier de Montal (de), deux docteurs en droit d'Avignon 1558 et 1683, Comtat Venaissin, Dauphiné[258],[a 777],[d 37]. Noblesse non consensuelle en France.
- Ferrières de Sauvebœuf (de), ancienne extraction 1483, Périgord, Limousin[réf. nécessaire], ANF (1944).
- Ferron du Chesne (de), extraction chevaleresque 1381, (Branche de La Ferronnays éteinte, honneurs de la Cour) Bretagne[259],[LM 120], ANF (1948).
- Ferry et - de Fontnouvelle (de) ANF (1957) et de Ferry, ANF (1975), ancienne extraction 1476, Provence (Revest-du-Bion)[réf. nécessaire].
- Feuardent (de), extraction 1537, Normandie[a 778], ANF (1970).
- Feydeau de Saint-Christophe (de), anoblie (relief) en 1771, Marche (Felletin puis Bellac) puis Angoumois (Saint-Christophe)[a 779], ANF (1938).
- Finance (de), - d'Attigny, - de Claibois, - de Valcourt, noblesse 1577, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1970).
- Fitte de Garies (de), capitoul de Toulouse 1738, Languedoc[réf. nécessaire], ANF (1980)[a 280].
- Fleurian (de), maintenue de noblesse le , maintenue le sur preuves remontant à 1583, Comminges, Saintonge[a 780], ANF (1956).
- Fleuriot de La Coliniere (de), maintenue en 1732 à Rennes[d 38], Nantes, Ancenis, Île Maurice[a 781]. (principe de noblesse de la branche ainée éteinte à confirmer pour la branche cadette subsistante).
- Fleuriot de Langle, ancienne extraction 1427, Bretagne[a 782],[LM 121], ANF (1967)
- Fleuriot de Touchelongue, secrétaire du roi 1785 ou 1771, en charge le 23 juin 1790, Poitou[18]. Noblesse non consensuelle.
- Fleury (de), extraction 1530, maintenue le par la Cour des aides de Montpellier (principe de noblesse remis en question par Chérin), Languedoc (Hérault)[d 1]
- Flury-Hérard, Empire, chevalier en 1811, confirmé en 1814 et 1866, Versailles[a 783],[d 38]. Titre sans anoblissement.
- Foäche, charge inachevée de secrétaire du Roi, Restauration, baron en 1823, Normandie[260].
- Folin (de), Parlement de Dijon 1593, marquis en 1717, Bourgogne[a 784], ANF (1957).
- Fontaine de Resbecq (de), maintenue par lettres du 16 mars 1769, Cambrésis, Flandre, ANF (1965).
- Fontaines (de), ancienne extraction 1463, Normandie[a 785], ANF (1938).
- Fontanges (de), extraction chevaleresque 1373, honneurs de la Cour, Auvergne[a 786], ANF (1957).
- Fontenay (de), ancienne extraction 1460, Normandie (Mortain)[a 787],[d 38].
- Foras (de), extraction chevaleresque 1392, Savoie[Foras 19], ANF (1986).
- Forcade La Roquette (de)[a 788], anoblie en 1651 (lettres de relief), maintenue en 1697, Agenais[a 789],[d 39], ANF (1938).
- Forceville (de), ancienne extraction 1422, maintenues 1667 et 1700, Picardie[a 790].
- Foresta (de), extraction 1519 pour la branche de Provence (Christophe de Foresta, qui était médecin du roi, eut des lettres de naturalité de Louis XII en [261]) ou agrégé par inféodation (se reporter à la source, pages 298 à 299)[50], maintenue en 1668, Italie (Ligurie), Provence. Une autre branche implantée dans le Comté de Nice est redevenue italienne après 1860, ANF (1948).
- Forestier de Coubert (de), Restauration, vicomte en 1822, Genève, Île-de-France[a 791]. Titre sans anoblissement.
- Forges (de), (de La Boucelaye), ancienne extraction 1441, Rieux, Bretagne[LM 122].
- Forges de Parny (de), extraction chevaleresque 1353, honneurs de la Cour, Berry[réf. nécessaire], ANF (1949).
- Fornier (de Savignac), maintenue 1707, Ariège[réf. nécessaire].
- Forsanz (de), ancienne extraction 1467, maintenue de noblesse par la chambre de réformation de Bretagne le à Rennes[262], pages de la Grande Écurie le [263], Plestin-les-Grèves en Bretagne[LM 123], ANF (1942).
- Fortescu (de), ancienne extraction 1463, Normandie[b 16].
- Forton (de), preuves de noblesse en 1758, marquis en 1817, Languedoc[a 792], ANF (1935).
- Fou (du) et Fou de Kerdaniel (du), ancienne extraction 1426, comte en 1817, Bretagne[LM 124], ANF (1947).
- Foucaud et d'Aure (de), extraction chevaleresque 1329, conseiller au Parlement de Toulouse le , Gaillac en haut Languedoc[a 793],[264], ANF (1956).
- Foucauld (de), - de Malembert, - de Pontbriand , extraction chevaleresque 1298, honneurs de la Cour, Périgord[a 794], ANF (1963).
- Foucher de Brandois[a 795], extraction chevaleresque 1245, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1940).
- Foucher de Careil[a 796], ancienne extraction 1451, Anjou, Bretagne[LM 125].
- Fouchier (de)[a 797], ancienne extraction 1492, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1957).
- Fougeroux de Campigneulles (de), Restauration, anoblie en 1817, Picardie (Campigneulles-les-Grandes)[a 798], ANF (1943).
- Fougières (de), ancienne extraction 1480, Berry, Poitou[a 798], ANF (1977).
- Foulhiac de Padirac (de), capitoul de Toulouse 1756, Rignac (Lot), Quercy[a 799], ANF (1966).
- Fouquet (de), extraction 1538, Anjou[a 800].
- Fournas de La Brosse (de) et - de Fabrezan, anoblie en 1615, Languedoc (Carcassonne)[a 801], ANF (1948).
- Fraguier (de), Chambre des comtes de Paris 1503, Île-de-France[réf. nécessaire], ANF (1957).
- Fraix de Figon (de), extraction 1538 (R. Valette)[réf. nécessaire] ou agrégé à la noblesse au XVIIIe siècle sans principe régulier de noblesse (G. Chaix d'Est-Ange), Velay[a 802], ANF (1972).
- Framond (de) (voir aussi Faramond (de)), maintenue noble d'extraction en 1700 dans la généralité de Montauban, preuves pour les écoles royales militaires en 1786, Rouergue[réf. nécessaire], ANF (1997).
- France (de), extraction chevaleresque 1362, maintenue de noblesse le , Guignen en Bretagne[a 803],[LM 126], ANF (1959).
- France (de), - de Noyelles et - d'Hezecques, anoblie en 1585, marquis de Noyelles-Wyon par L.P. de , et marquis de Mailly par LP de , Arras, Artois[a 804], ANF (1934, pour la branche d'Artois).
- France (de), extraction 1543, maintenue le par Nicolas Bretel de Grimonville et le par Lefebvre de Caumartin, intendant de Champagne, Crugny en Champagne[a 805], ANF (1958 pour la branche de Champagne).
- Francheville (de), - du Pélinec , ancienne extraction r.n.f. 1477, Écosse, Bretagne[LM 127], ANF (1967).
- François de Ponchalon (des), anoblie en 1767[a 806],[a 807], ANF (1955).
- Francqueville (de) et Francqueville d'Abancourt (de), anoblie en 1678, Cambrésis[réf. nécessaire], ANF (1951).
- Frédy de Coubertin (de), anoblie en 1629. Baron en 1821 pour une branche éteinte, Italie, Île-de-France[LM 128].
- Freslon de La Freslonnière (de), extraction chevaleresque 1386, honneurs de la Cour, Bretagne[LM 129], ANF (1938).
- Fresne de Beaucourt (du), mort en charge d'Alexandre Dufresne (1692-1763), conseiller-secrétaire du Roi en la Grande Chancellerie, père de Charles maintenu noble en 1785, Picardie[a 808],[221], ANF (1936).
- Fresne de Virel (du), ancienne 1426, Bretagne[LM 130], ANF (1940).
- Fresnoye de Flers (de), extraction 1550, baron de Landrethunn en 1667, Boulonnais[réf. nécessaire], ANF (1942).
- Fresquet (de), secrétaire du roi 1712, Guyenne[réf. nécessaire], ANF (1973).
- Frévol d'Aubignac de Ribains, maintenue 1753, Velay[a 809], ANF (2019).
- Frizon de Lamotte de Règes, anoblie en 1687, Champagne[d 40], ANF (1982).
- Froidefond des Farges (de), extraction, maintenue 1704, Périgord[réf. nécessaire], ANF (1992).
- Froissard de Bersaillin (de) et Froissard de Broissia (de) ancienne extraction 1447, anoblie par charge de conseiller en la Chambre des comptes de Dole en 1590 selon F. de Saint-Simon[265], marquis de Froissard de Bersaillin en 1748 (dit "marquis de Froissard")[b 17], marquis de Broissia par lettres patentes d'[b 18], Bourgogne et Franche-comté[a 810], ANF (1945).
- Froment (de), Restauration, baron héréditaire le (titre sans anoblissement), Marche, Bourbonnais[d 40],[a 811], ANF (2012).
- Fromont de Bouaille (de), maintenue 1717, Normandie[a 812], ANF (1960).
- Frotier de La Messelière, - de La Coste-Messelière, - de Bagneux, extraction chevaleresque 1393, maintenue en 1667, honneurs de la Cour, Poitou, Angoumois[d 40],[a 813], ANF (1933).
- Frotté (de), secrétaire du roi 1541, Bourbonnais, Normandie[a 814].
- Fry (de), anoblie 1596, maintenue 1668, Normandie[a 815]. (Famille éteinte en ligne masculine)
- Fumel (de), extraction chevaleresque 1388, honneurs de la Cour en 1753[266], certificat de noblesse du pour être admis comme élève de la marine[267], Fumel en Agenais[268], ANF (2005).
G[modifier | modifier le code]
- Gaalon (de), anoblie en 1691, Normandie, Martinique, Guadeloupe[a 816],[Jougla 34],[LM 131], ANF (1990).
- Gaborit de Montjou, maire de Poitiers 1747, Poitou[a 817], ANF (1954).
- Gail (de), anoblie 1573, Alsace[a 818], ANF (1968).
- Gaillard de Saint Germain, anoblie vers 1750 par la charge de conseiller-secrétaire du roi, Beauvaisis[a 819], ANF (1950).
- Gaigneau de Champvallins (du), anoblie en 1676, Orléanais[a 820], ANF (2018).
- Galand de Longuerue, secrétaire du roi 1768, Picardie[a 821].
- Galard de Brassac de Béarn (de), extraction chevaleresque 1303, comte de Brassac en 1609, honneurs de la Cour, Gascogne[a 822], ANF (1936).
- Galard Terraube (de), extraction chevaleresque 1320, marquis en 1683, honneurs de la Cour, Gascogne[a 822], ANF (1936).
- Galbaud du Fort, Chambre des comptes de Bretagne 1766, Bretagne[a 823],[LM 132], ANF (1949).
- Galbert (de), ancienne extraction 1458, Dauphiné[a 824], ANF (1966).
- Gallery des Granges et de Gallery de La Servière, anoblie en 1656, Basse-Normandie (Domfront)[a 825], ANF (1985).
- Galliard de Lavernée, anoblie en 1656, Franche-Comté[d 41], ANF (1987).
- Gallier (de) et Gallier de Saint Sauveur (de) olim Ginouze, anoblie en 1750 (lettres patentes d'anoblissement à la suite de l'exercice de la charge de chevalier d'honneur au bureau des finances de Grenoble depuis 1745), Dauphiné[269].
- Gamet de Saint-Germain, secrétaire du roi 1786, en charge le 23 juin 1790, Besançon[18] Noblesse non consensuelle.
- Ganay (de), Chambre des comptes de Dijon 1628, maintenue de noblesse par Bouchet le [270], Chassenay en Bourgogne[a 826], ANF (1968).
- Ganne de Beaucoudrey, secrétaire du roi 1774, Normandie[a 827], ANF (1968).
- Gantelet d'Asnières de Sales (alias Gantelet d'Asnières), -et de Veuillet de Vigie (de) (anciennement Veigy) (branche de Pondichéry), voir Dasnières de Veigy (ci-dessus), anoblie 1615 et 1628, vérifié 1639[205], Vallières (Savoie)[a 828].
- Gantès (de), Parlement de Provence (au XVIIe siècle ?), honneurs de la Cour 1765[271], Cuers en Provence, Artois[a 829], ANF (1955).
- Gardane (de), Empire, comte d'Empire le , Marseille en Provence[a 830], ANF (1965). Titre sans anoblissement.
- Gardin du Boisdulier, secrétaire du roi 1720, Bretagne[LM 133].
- Garempel de Bressieux (de), Empire, baron en 1810, Dauphiné[réf. nécessaire], ANF (1953). Titre sans anoblissement.
- Garnier de Boisgrollier de Ruolz, extraction 1517, Poitou[d 42], ANF (2013).
- Garnier de Falletans, Parlement de Dole 1586, Gy en Franche-Comté[a 831], ANF (1982).
- Garnier des Garets d'Ars (de), anoblie (confirmée) en 1644, Beaujolais[a 832], ANF (1940).
- Garnier de Labareyre, baron en 1818, Vivarais[d 42],[a 833], ANF (1989). (selon Jules Villain extraction 1450[272])
- Garnier de La Villesbret, maintenue en 1670, Champagne, Bretagne[a 834], ANF (1973).
- Garreau de La Méchenie (du), extraction 1541, Limousin[a 835],[LM 134], ANF (1950).
- Garrigues de Flaujac (de), anoblie (maintenue) en 1784[b 19], Quercy[a 836], ANF (1975).
- Garron de La Bévière (de), anoblissement 1664, certificat de sous-lieutenance du , Châtillon en Bourgogne[a 837], ANF (2003)[273].
- Gary (de), capitoul de Toulouse 1771, baron en 1809, Quercy[a 838].
- Gasquet (de), avocat général à la Chambre des requêtes du Parlement de Provence le [274], Cuers en Provence[275].
- Gasté (de), secrétaire du roi 1752, Maine[a 839],[LM 135].
- Gastebled (de), extraction 1539, Normandie[a 840].
- Gaudart d'Allaines (de), ancienne extraction 1494, Beauce[a 841], ANF (1950).
- Gaudemaris (de), deux docteurs en droit d'Avignon 1733 et 1757, marquis en 1755, Comtat-Venaissin[a 842], ANF (1962).
- Gaudemont de la Monforière (de), extraction, maintenue en 1668, Bretagne[a 843],[LM 136], ANF (1995).
- Gaudin de Lagrange, secrétaire du roi 1746-1768, Paris, Comtat-Venaissin[a 844], ANF (1953).
- Gaudin de Saint-Rémy, anoblie en 1676, Maine[a 845], ANF (1980).
- Gaudin de Villaine, anoblie en 1587[b 20], Normandie (Mortain)[a 846], ANF (2015).
- Gaufridy de Dortan (de), extraction 1546, Apt en Provence[276],[a 847].
- Gaulejac (de), ancienne extraction 1484, Quercy[a 848], ANF (1953).
- Gaullier des Bordes et - de La Grandière, anoblie en 1785, baron de Gaullier des Bordes en 1825, Orléanais, Touraine[a 849], ANF (1956).
- Gaulmyn (de), extraction 1539, Bourbonnais[réf. nécessaire], ANF (1936).
- Gaultier de Carville, ancienne extraction 1472, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1967).
- Gaultier de La Ferrière, Empire, chevalier en 1810, Touraine (Loches)[277]. Titre sans anoblissement.
- Gaultier de Saint-Basile, extraction 1541, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1947).
- Gautier de Breuvand, Parlement de Dijon 1647, Bourgogne[réf. nécessaire].
- Gautier de Charnacé, secrétaire du roi 1773, en charge le 23 juin 1790, baron en 1810 (confirmé en 1816), Île-de-France[18], ANF (1950).
- Gay de Nexon, preuves de noblesse 1587, Limousin[réf. nécessaire], ANF (1967).
- Gayardon de Fenoyl (de), ancienne extraction 1432, Honneurs de la Cour 1787, Page de l'Empereur 1811, Lyonnais[réf. nécessaire], ANF (1975).
- Gayffier (de), ancienne extraction 1446, maintenue en 1670, Gévaudan, Auvergne[278]
- Gazeau (de), ancienne extraction 1446, Poitou[LM 137].
- Gazet du Châtellier, échevin de Nantes 1576, Bretagne[LM 138], ANF (1971).
- Geffrier (de), anoblie en 1820, Larochemillay, Orléanais[réf. nécessaire], ANF (1939).
- Geffroy de Villeblanche, anoblie en 1653, vicomte en 1816, Bretagne (Quimperlé, puis Hennebont)[d 43], ANF (1978).
- Gelis (de), trésoriers à Montauban 1723 et 1762, Languedoc[279], ANF (1957).
- Genet de Chatenay, anoblie en 1823, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1981).
- Gennes (de), maire de Poitiers 1679, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1991).
- Gentil, Restauration, anoblie par L.P. du [280], Franche Comté.
- Gentil de Rosier (de), extraction 1515, Limousin, Marche[réf. nécessaire], ANF (1992).
- Gentile (de) (olim Avogari), maintenue noble en 1771, Corse[réf. nécessaire], ANF (1998).
- Genty de la Borderie, secrétaire du roi 1781, en charge le 23 juin 1790, Limousin[18] Noblesse non consensuelle.
- Geoffre de Chabrignac (de), ancienne extraction, maintenue noble en 1789 après dérogeance, Limousin, Dauphiné[b 21], ANF (1951).
- Geoffroy (de), secrétaire du roi 1737, Champagne, Île-de-France[281][réf. à confirmer].
- Geoffroy d'Assy (de), secrétaire du roi 1731, Brie[réf. nécessaire], ANF (1970).
- Geoffroy du Rouret (de), extraction 1517, Le Rouret, Provence[réf. nécessaire], ANF (1966).
- Georgette du Buisson de La Boulaye, Restauration, vicomte héréditaire par L.P. du [282], Coutances en Normandie. Titre sans anoblissement.
- Gérard du Barry et de Saint-Quentin (de), extraction 1510, Majorque (Îles Baléares), Périgord[LM 139], ANF (1938).
- Gérault de Langalerie (de), ancienne extraction 1486, maintenue de noblesse du , Guyenne, Agenais, ANF (2008)[283][réf. nécessaire].
- Gères (de), extraction 1533, Guyenne[réf. nécessaire], ANF (1981).
- Gérin-Ricard (de), anoblissement par charge de conseiller secrétaire du roi en 1756[50], Toscane, Marseille en Provence[réf. nécessaire], ANF (1937).
- Germain (de), Chambre des comptes de Montpellier 1694-1696 et 1696-1766, Languedoc[réf. nécessaire], ANF (1978).
- Germay (de) et Germay de Cirfontaine (de) (olim Certain de Germay de Cirfontaine), secrétaire du roi 1704-1726, Lorraine, Champagne[a 850], ANF (1972).
- Gérus (de), extraction 1550, sénéchal du comté de Comminges et lieutenant dudit comté durant les convocations de la noblesse en 1649, 1650, 1651 et 1697, Comminges[284].
- Gervais de Rouville, maintenue de noblesse d'extraction par un arrêt du Conseil d'État du , signé d'Aguesseau et Chauvelin[285][réf. nécessaire].
- Gestas de Lesperoux (de), ancienne extraction 1458, honneurs de la Cour, Gascogne, Champagne[réf. nécessaire], ANF (1995).
- Geyer d'Orth (de), extraction en Suède 1533, r.n.f. 1701, Suède, Alsace[LM 140], ANF (1965).
- Ghaisne de Bourmont (de), Restauration, pair héréditaire sous le titre de baron en 1828, Anjou[d 44], ANF (1946).
- Gibon (de), extraction chevaleresque 1370, honneurs de la Cour, Bretagne[LM 141], ANF (1961).
- Gigou (de), extraction 1523, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1985).
- Gilart de Keranflec'h, extraction 1503, Bretagne (Finistère)[LM 142], ANF (1938).
- Gilbert de Vautibault, secrétaire du roi 1775-1785, Touraine[réf. nécessaire], ANF (1989).
- Gillet d'Auriac de Brons, secrétaire du roi 1708, Auvergne[réf. nécessaire], ANF (1979).
- Gillet de Chalonge, Chambre des comptes de Dijon le , Beaune en Bourgogne[réf. nécessaire], ANF (1945).
- Ginestel (de), extraction 1547, Rouergue[réf. nécessaire].
- Ginestous (de), extraction chevaleresque 1215, honneurs de la Cour, Languedoc[réf. nécessaire].
- Ginestous de La Liquisse (de), extraction chevaleresque 1215, Languedoc, ANF (2022).
- Girard de Charbonnières du Rozet (de), anoblie par L.P. de , maintenue par Fortia en 1668[286][réf. non conforme]. Vicomte par L.P. du pour une branche éteinte, Auvergne[287], ANF (1934).
- Girard de Charnacé (de), ancienne extraction 1500, Anjou[réf. nécessaire], ANF (1945).
- Girard de Pindray, extraction 1541, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1954).
- Girard de Saint-Gérand, Chambre des comptes de Dijon 1699-1719, Bourgogne (Châlon-sur-Saône)[réf. nécessaire], ANF (1951).
- Giraud d'Agay (de), anoblie en 1708, Draguignan, Provence[réf. nécessaire], ANF (1974).
- Girot de Langlade, Restauration, baron Girot par L.P. du 30 août 1827 (titre personnel). Monarchie de Juillet, baron de Langlade par L.P. du 23 octobre 1834 sur réversion du titre et des terres du baron Favard de Langlade[d 45]. Dignité de pair de France en 1845, Château de Langlade, Auvergne, ANF (2008).
- Girval (de), maintenue noble en 1743, Châtillon-sur-Seine en Bourgogne[288][réf. à confirmer], ANF (1984).
- Gislain de Bontin (de), extraction, maintenue 1666, Bourgogne[réf. nécessaire], ANF (1946).
- Goësbriand (de), extraction chevaleresque 1328, honneurs de la Cour, Bretagne (Finistère)[LM 143], ANF (1980).
- Goguet de La Salmonière, Chambre des comptes de Bretagne 1734, Bretagne[LM 144], ANF (1978).
- Goislard de Monsabert (de), secrétaire du roi 1608-1643, Anjou[réf. nécessaire], ANF (1934).
- Gondallier de Tugny et - de Tugny-Vergennes, anoblie en 1677, baron en 1812, Champagne. Une branche a relevé le nom de Vergennes et porte Gondallier de Tugny-Vergennes par adoption[réf. nécessaire], ANF (1994).
- Gontaut-Biron (de), extraction chevaleresque 1124, comte en 1810, honneurs de la Cour, Périgord, Gascogne, Ile-de-France[réf. nécessaire], ANF (1935).
- Gorguette d'Argœuves (de), ancienne extraction 1491, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1946).
- Gouberville (de) (olim Picot), noblesse prouvée 1578, Normandie[289][réf. à confirmer], ANF (1974).
- Goudon de Lalande de L'Héraudière, anoblie en 1703, comte en 1868, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1956).
- Goué (de), extraction 1526, Poitou[réf. nécessaire], ANF (1981).
- Gouhier de Fontenay, ancienne extraction 1424, Normandie (Orne)[réf. nécessaire], ANF (1939).
- Goujon de Grondel, maréchal de camp 1788, Alsace, Bretagne[LM 145].
- Goujon de Thuisy, anoblie en 1523, marquis en 1680, Reims en Champagne[réf. nécessaire].
- Goulaine (de), extraction chevaleresque 1304, Bretagne (Nantais)[LM 146], ANF (1938).
- Goullard d'Arsay (de), extraction chevaleresque 1349, Vouillé (Deux-Sèvres), Poitou[290], ANF (1938).
- Goullet de Rugy, lettres de confirmation de noblesse et d'anoblissement en tant que de besoin en 1785, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1945).
- Goupil des Pallières, anoblissement en 1820, Ile-de-France[291]
- Gourcuff (de), extraction 1512, maintenue en 1669 à Rennes, Bretagne (Finistère)[292], ANF (1980).
- Gourcy (de), extraction chevaleresque 1270, comte en 1713, Barrois[b 22], ANF (1934).
- Gourgaud et - du Taillis, Empire, baron 1812, Île-de-France[réf. nécessaire], ANF (1956). Titre sans anoblissement.
- Gourlez de La Motte, Empire, baron en 1808, Bretagne[LM 147], ANF (1979). Titre sans anoblissement.
- Gourmont (de), ancienne extraction 1498, marquis en 1866, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1956).
- Goury du Roslan, baron en 1846, Ile-de-France (Brie), Bretagne[LM 148]. Titre sans anoblissement.
- Goussencourt (de), ancienne extraction 1427, Picardie[réf. nécessaire], ANF (1970).
- Gouvello de Keriaval (de), Le Gouvello de La Porte et - du Timat, ancienne extraction 1443, honneurs de la Cour, Bretagne[LM 149], ANF (1936).
- Gouvion Saint-Cyr (de), Empire, comte en 1808, marquis en 1817, Lorraine[réf. nécessaire], ANF (1977). Titre sans anoblissement.
- Gouyon de Coipel (de), ancienne extraction 1400, Bretagne[LM 150], ANF (1950).
- Gouyon-Matignon (de) et Gouyon de Pontouraude, extraction chevaleresque 1209, honneurs de la Cour, Bretagne[LM 151], ANF (1934).
- Gouzillon de Bélizal (de), ancienne extraction 1486, Bretagne (Finistère)[réf. nécessaire], ANF (1959).
- Goyon (de), secrétaire du roi 1699-1718, duc de Feltre par décret du (sur réversion du titre de duc de Feltre créé en 1809 en faveur de Henri-Jacques Clarke et éteint en 1852 avec le fils de ce dernier)[293], Gascogne (Condom).
- Goÿs de Mézeyrac (de), extraction chevaleresque 1327, Vivarais[réf. nécessaire], ANF (1959).
- Grailly (de), ancienne extraction 1405, Savoie (Pays de Gex), Guyenne[294],[Foras 20], ANF (1934).
- Grammont (de) et Grammont-Crillon (de), extraction chevaleresque 1335, marquis en 1718, honneurs de la Cour, Franche-Comté[295][réf. à confirmer], ANF (1940).
- Gramont (de), extraction chevaleresque 1381, duc en 1648 (la Branche de Lespare a relevé Moncey de Conegliano en 1913), Comminges, Béarn[réf. nécessaire], ANF (1951).
- Grandin de L'Eprevier, secrétaire du roi 1784, en charge le 23 juin 1790, Limousin[18] Noblesse non consensuelle.
- Grandsaignes d'Hauterive (de), secrétaire du roi 1731, Rouergue[296], ANF (1935).
- Granges de Surgères (de), extraction chevaleresque 1261, honneurs de la Cour, Mauléon (Deux-Sèvres), Poitou[réf. nécessaire], ANF (1983).
- Granier de Cassagnac (de), extraction, maintenue noble 1668, Armagnac[réf. nécessaire], ANF (1952.
- Grasse (de), extraction chevaleresque 1341, honneurs de la Cour, Provence[297][réf. à confirmer].
- Grasset (de), anoblie par charge en 1766, Pézenas en Languedoc, Provence[réf. nécessaire], ANF) 1943.
- Gratet du Bouchage (de), trésorier de Grenoble 1640, baron en 1809, Dauphiné[réf. nécessaire], ANF (1948).
- Gravier de Vergennes, Trésorier à Dijon 1681, honneurs de la Cour, (patronyme relevé en 1957 par un membre de la famille Jourda de Vaux de Foletier qui l'a substitué au sien en 1965[298]), Bourgogne[réf. nécessaire].
- Grégoire de Roulhac, secrétaire du roi 1766-1782, baron en 1811 et 1816, Limousin[réf. nécessaire], ANF (1948).
- Greling (de), anoblie (confirmé) en 1817, Berne en Suisse, puis Marseille en Provence[réf. nécessaire], ANF (1984).
- Grenier de La Sauzay, extraction 1548, Saintonge[réf. nécessaire], ANF (1966).
- Grenier de Lassagne (de), extraction, maintenue noble 1666, Auvergne[réf. nécessaire], ANF (1934).
- Grenier de Monner, extraction, maintenue en 1702, Languedoc[299], ANF (1949).
- Gressot (de), Empire, baron en 1809, Suisse, Île-de-France[réf. nécessaire], ANF (1987). Titre sans anoblissement.