Bancourt — Wikipédia
Bancourt | |||||
La mairie. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | CC du Sud-Artois | ||||
Maire Mandat | Bernard Rousere 2020-2026 | ||||
Code postal | 62450 | ||||
Code commune | 62079 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bancourtois | ||||
Population municipale | 84 hab. (2022 ) | ||||
Densité | 19 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 06′ 05″ nord, 2° 53′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 104 m Max. 132 m | ||||
Superficie | 4,54 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Bapaume (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Bapaume | ||||
Législatives | 1re circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
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Bancourt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Bancourtois.
La commune fait partie de la communauté de communes du Sud-Artois qui regroupe 64 communes et compte 27 059 habitants en 2021.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 4,54 km2 ; son altitude varie de 104 à 132 mètres[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[2],[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 752 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Paysages
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l'atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[9]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bancourt est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bapaume, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (99,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,7 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies de communication
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par la route départementale D 7 et dispose, sur son territoire, de la sortie no 14 de l'autoroute A1 reliant Paris à Lille[16].
Transport ferroviaire
[modifier | modifier le code]La commune se trouve, à 32 km de la gare TGV Haute-Picardie, implantée sur la LGV Nord, à mi-distance entre Amiens et Saint-Quentin. Elle est desservie par des TGV reliant l'agglomération lilloise et Bruxelles aux grandes métropoles régionales françaises, via les gares TGV de la périphérie de Paris (dont celle de l'aéroport Charles-de-Gaulle), et à 11 km de la gare d'Achiet, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille, qui est une halte voyageurs de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par des trains TER Hauts-de-France.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attestée sous les formes Baincort (1115), Baiencurt (1123), Baioncurt (1135)[17].
D'un nom de personne germanique Bajo(n) + cortem.
Histoire
[modifier | modifier le code]D'après Harbaville[réf. nécessaire], le village de Bancourt remonterait au Xe siècle.
On trouve, au XIIIe siècle, une dynastie féodale portant le nom de Bancourt dont les armes étaient d'or à la devise de gueules accompagnée de trois lions issants du même couronnés d'azur. Claeres de Bancourt fut bailli de Saint-Omer, en 1282. L'abbaye Saint-Vaast possédait, en 1245, une rente dans le village. En 1250, Agnès de Barly, fille de Josse et de Huette de Vermelles, épouse Hugues de Mancicourt, seigneur de Bancourt[18].
Au XVIIIe siècle, le propriétaire de la seigneurie était le comte d'Oisy[19].
Guerre franco-allemande de 1870
[modifier | modifier le code]Bancourt, lors de la guerre franco-allemande de 1870, a été le théâtre d‘engagements militaires en janvier 1871[réf. nécessaire].
Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]En mars 1917, durant la Première Guerre mondiale, le village est occupé par les troupes britanniques pour être perdu lors de l'offensive allemande du printemps de 1918 (Opération Michael[20].
Il est repris par la New Zealand division (en particulier le 2e bataillon d'Auckland) le [20].
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[21] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [22].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie de la communauté de communes de la région de Bapaume, créée fin 1992.
Dans le cadre de la Réforme des collectivités territoriales françaises, celle-ci fusionne avec sa voisine, formant le la communauté de communes du Sud-Artois, dont la commune est désormais membre.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune fait partie depuis 1801 du canton de Bapaume[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 22 à 75 communes.
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1986 de la première circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[29].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Bancourtois[30].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].
En 2022, la commune comptait 84 habitants[Note 4], en évolution de −2,33 % par rapport à 2016 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,2 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 44 hommes pour 44 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Rémi.
- Le monument aux morts[36], surmonté de la statue Armistice, réalisée par Jules Déchin.
- Bancourt British Cemetery (2 436 corps de la guerre corps de la guerre de 14-18), au lieu-dit le Grand Droit.
- Le cimetière militaire britannique dans lequel sont inhumés 2 482 soldats du Commonwealth.
- L'église.
- Le monument aux morts.
- Le cimetière militaire britannique.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Bancourt se blasonnent ainsi : |
Il s'agit des armes de la famille de Tournay d'Oisy, relevées par la commune vers 1995, ajoutant une divise de gueules, modifiant la couleur des griffes et des langues, et ajoutant à chacun des lions une couronne d'azur[19].
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l'IGN, [lire en ligne][Note 5]
- « Bancourt » sur Géoportail.
- Carte spéciale des régions dévastées : 13 NO, Cambrai [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d'interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l'évolution de l'occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Bancourt » sur Géoportail (consulté le 24 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Fiche communale de Bancourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bancourt et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Bancourt ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bapaume », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre
- Daniel Haigneré, Commission départementale des monuments historiques, Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais : Arrondisement de Saint-Pol, t. 1, Arras, Imprimerie Sueur-Charrey, , 315 p. (lire en ligne), p. 246, sur Gallica.
- « 62 079 - Bancourt », sur L'armorial des villes et villages de France (consulté le ).
- « Bancourt », Mémoires de pierre (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 24 septembre 1920, p. 14066.
- « Bancourt (Bilan des maires): « Les bâtiments communaux ont retrouvé une certaine jeunesse » : Élu conseiller municipal en 1965, Gérard Pouillaude s'installe dans le fauteuil majoral en mars 1982, après le décès de Georges Lefebvre. Il termine aujourd'hui son cinquième mandat complet et n'écarte pas l'éventualité d'un sixième. « J'ai l'intention de me représenter et j'en discute actuellement avec les élus en place ». », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Jean Najda, « Bancourt : la sécurisation de la Grand-Rue et l'aménagement du cimetière prévus : Gérard Pouillaude est élu dans sa commune de Bancourt depuis près d'un demi-siècle et a entamé, en mars, son sixième mandat de maire. Au programme de cette mandature : des aménagements au cimetière et la sécurisation de la Grand-Rue. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Fabien Bidaud, « Souffrant, l'historique maire Gérard Pouillaude cède son fauteuil : Luttant contre la maladie depuis des mois, Gérard Pouillaude, qui en était à son sixième mandat de maire, a démissionné. L'adjoint Bernard Rouseré lui succède. M. Pouillaude et son franc-parler avaient défrayé la chronique il y a deux ans au sujet d'un crucifix… », La voix du Nord, édition Arrageois / Ternois, (lire en ligne, consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Bancourt : sixième mandat de maire pour Gérard Pouillaude », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bancourt (62079) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).