Seninghem — Wikipédia
Seninghem | |||||
L'église Saint-Martin. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Saint-Omer | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Lumbres | ||||
Maire Mandat | Christian Tellier 2020-2026 | ||||
Code postal | 62380 | ||||
Code commune | 62788 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Seninghemois | ||||
Population municipale | 693 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 46 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 42′ 12″ nord, 2° 02′ 05″ est | ||||
Altitude | Min. 65 m Max. 209 m | ||||
Superficie | 15,15 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Saint-Omer (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Lumbres | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
Liens | |||||
Site web | seninghem.fr | ||||
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Seninghem [sənɛ̃ɡɑ̃] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
La commune fait partie de la communauté de communes du Pays de Lumbres qui regroupe 36 communes et compte 24 187 habitants en 2021.
Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de neuf communes :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 15,15 km2 ; son altitude varie de 65 à 209 mètres[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
C'est dans la commune que l'Urne-à-l'Eau, cours d'eau naturel non navigable de 5,12 km, prend sa source et se jette dans le Bléquin au niveau de la commune de Lumbres[3].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 889 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nielles-lès-Bléquin à 3 km à vol d'oiseau[6], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 976,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,8 | 1,9 | 3,5 | 5,5 | 8,1 | 10,9 | 12,9 | 13,2 | 11 | 8,6 | 5,3 | 2,8 | 7,1 |
Température moyenne (°C) | 4 | 4,4 | 6,7 | 10 | 12,6 | 15,3 | 17,5 | 17,7 | 15,1 | 11,7 | 7,7 | 5,1 | 10,6 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,3 | 7 | 10 | 14,4 | 17 | 19,7 | 22,2 | 22,2 | 19,2 | 14,8 | 10,1 | 7,3 | 14,2 |
Record de froid (°C) date du record | −12,2 18.01.13 | −14,4 04.02.12 | −6,9 01.03.18 | −2,6 07.04.08 | −0,1 14.05.10 | 3,6 14.06.12 | 6,6 01.07.08 | 7,5 24.08.14 | 4,7 29.09.22 | −0,3 23.10.07 | −6,2 29.11.10 | −9,5 18.12.10 | −14,4 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record | 15 01.01.22 | 17,4 24.02.21 | 23,1 31.03.21 | 25 19.04.18 | 27,3 21.05.20 | 32,8 21.06.17 | 40,8 25.07.19 | 35,5 09.08.20 | 32,1 05.09.13 | 28,3 01.10.11 | 21,2 01.11.15 | 15 19.12.15 | 40,8 2019 |
Précipitations (mm) | 88,9 | 78,4 | 68,9 | 43,6 | 58,1 | 58,1 | 67 | 85,5 | 78,3 | 100,9 | 127,4 | 121,8 | 976,9 |
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espaces protégés
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10].
Dans ce cadre, la commune fait partie de deux espaces protégés :
- le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, d’une superficie de 132 499 hectares réparties sur 154 communes, géré par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[11] ;
- le rando-rail de Nielles-lès-Bléquin, d’une superficie de 34,484 hectares. Terrain géré (location, convention de gestion) par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France[12].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend trois ZNIEFF de type 1[Note 2] :
- le coteau de Seninghem. Cette ZNIEFF située en contrebas de la N 942 s'étend sur une mince bande de terre en dévers formant un coteau s’élevant de près de 100 mètres au-dessus de la vallée et est constituée de coteaux pâturés[13] ;
- le complexe de vallées sèches et de bois autour de Bouvelinghem. Cette vaste ZNIEFF, d'une superficie de 1 355 hectares, au relief vallonné a les caractéristiques des collines crayeuses du Haut Artois[14].
- la vallée du Bléquin de Nielles à Affringues. Site formé par des coteaux crayeux, constitués d’une craie marneuse datant d’environ 90 millions d’années. L’érosion du plateau crayeux a donné naissance à cette vallée[15].
et deux ZNIEFF de type 2[Note 3] :
- la vallée du Bléquin et les vallées sèches adjacentes au ruisseau d’Acquin. Cette ZNIEFF se situe sur les marges septentrionales du Haut-Pays d’Artois, en bordure des cuestas du Boulonnais et du pays de Licques[16] ;
- la cuesta du Boulonnais entre Neufchâtel-Hardelot et Colembert. Cette ZNIEFF marque la séparation entre les terrains du Jurassiques du Bas-Boulonnais et les plateaux crayeux des hautes terres Artésiennes[17].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Seninghem est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle est située hors unité urbaine[19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[19]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,8 %), prairies (32,5 %), forêts (18 %), zones urbanisées (2,6 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Risque inondation
[modifier | modifier le code]À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[23].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Sinningahem ou Siningahem (668-877), Siningehem (1091), Seningaham (1127), Siniggahem (1132), Sininghehem (v. 1136), Sinenghem et Sinninghem (1157), Sinnighem et Sininghem (1166-1173), Seninghem (1173), Sinighem (1182), Sinnigehem (v. 1183), Sinniggehem (1189), Sinningeem (1191), Sinnenghem (1193), Seningkehem (1199), Seningeham (1211), Sennigeham et Seninghehem (1218), Seningham et Seningueam (1220), Zininghem (1227), Seningehem (1228), Sinninghem (1231), Sallingheam (1239), Selingueham et Sellingueham (1240), Selinghaam (1268), Senighehem (1286), Selinguehan (1323-1324), Zinighem et Seninguehem (XIVe siècle), Sequincgehen (1507), Seninguhen (1670)[24].
Viendrait de l'anthroponyme germanique Sinno suivi de -ingen « peuple (de) » + heim « demeure, domaine (de) », donnant « domaine du peuple de Sinno »[25].
Histoire
[modifier | modifier le code]Histoire de Seninghem[26].
La première mention connue de Sinningahem date de 668.
Le domaine correspondant était inclus dans la donation de Gontbert à l'abbaye Saint-Bertin de Saint-Omer en 827.
XIIe siècle
[modifier | modifier le code]Une branche de la famille de Seninghem, appelée à l'époque Sinneghem, va s'installer dans la châtellenie de Bourbourg. Ils sont retrouvés un temps en tant que seigneurs de Ravensberghe et en tant que détenteurs de la seigneurie de Zinneghem
L'ergotisme ravage la population au début du siècle.
Le dimanche , jour de la Pentecôte, à l'aube, l'évêque d'Arras Lambert de Guînes et deux ménestrels - Pierre Norman de Saint-Pol-sur-Ternoise et Itier du Brabant (originaire de Bruxelles) - assistent à une apparition de la Vierge[27].
Le , Étienne de Seninghem, présent à Saint-Omer lorsque le comte de Flandre Guillaume Cliton confirme les lois et coutumes de la ville, jure d'observer celles-ci[28].
En 1190, Philippe d'Alsace, comte de Flandre et de Vermandois, confirme la donation d'une terre située à Nieuport (nouveau port) dans la paroisse de Saint-Willebrord, (Gravelines), donation à l'abbaye de Bourbourg faite par Jean de Sinengehem, fils d'Étienne[29]
XIIIe siècle
[modifier | modifier le code]En 1206, Ither, abbé de l'abbaye Saint-Médard d'Andres, Jean de Seninghem, Gérard de Renescure, sont désignés arbitres d'un litige entre l'abbaye de Saint-Bertin et Guillaume de Billeke (de Tilques) au sujet d'un droit de juridiction sur une terre (l'abbaye avait le privilège d'exercer la juridiction sur les terres dépendant d'elle, ce qui était source de nombreux litiges avec les seigneurs locaux)[30].
Le seigneur accorda en 1233 à l'abbaye de Saint-Bertin de Saint-Omer des redevances en grains à prendre dans ses granges de Seninghem à la charge de services pieux. En 1239, la ville relevait de Robert Ier d'Artois qui, en 1240, reçut l'hommage pour le château et quatre charrues de terre qui cessèrent alors de relever de St Bertin. Le hameau de Watterdal était en 1240 une sénéchaussée qui relevait du même comte d'Artois.
Dans les années 1239 et 1240, Elnard de Seninghem était vassal du comte d'Artois dont il tenait en fief Seninghem et son château[Lequel ?], Watredale, Quiercamp, Bléquin (y compris la forteresse) et vingt-neuf fiefs, ses nouveaux manoirs de Ribemont et Wattringhem, plusieurs bois, cinq cents mesures de terre, Ledinghem avec des moulins et vingt-sept fiefs.
Elnard de Seninghem a participé à la première croisade (septième croisade) menée par Saint Louis en 1248-1249[31].
XIVe siècle
[modifier | modifier le code]En 1320, quelques habitants ayant insulté des bourgeois de Saint-Omer, la commune en demanda réparation et ne put l'obtenir ; elle marcha en armes contre Seninghem et usa contre le bourg du droit d'arsin ; plusieurs maisons furent livrées aux flammes.
En 1356, Jean de Seninghem portait pour armoiries le caractéristique quinte-feuilles.
XVe siècle
[modifier | modifier le code]Philippe de Croÿ[Lequel ?] possédait cette terre en 1475 ; le village appartenait déjà à la famille en 1438.
XVIe siècle
[modifier | modifier le code]Les Français s'emparèrent du château en 1595. Ce bourg avait titre de comté et il s'y tenait, le jour de la saint-Denis Denis, un franc marché important.
XVIIe siècle
[modifier | modifier le code]La chapelle Notre-Dame des Ardents date de 1604. La construction de l'église Saint-Martin remonte à 1619. En 1659, le comté est rattaché au royaume de France.
XVIIIe siècle
[modifier | modifier le code]De la famille de Croÿ, la seigneurie était passée dans la famille de Ligne. En 1789, elle appartenait au comte de La Tour St Quentin[Qui ?].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté de communes du Pays de Lumbres.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton de Lumbres.
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[40].
En 2021, la commune comptait 693 habitants[Note 5], en évolution de −5,2 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 362 hommes pour 346 femmes, soit un taux de 51,13 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Martin de 1619
- Les arches de 1751
- Le monument aux morts rénové en
- La chapelle Notre-Dame des Ardents de 1604
- La chapelle Notre-Dame des Fièvres de 1821
- Le pont
- Le puits
- La motte féodale
- L'église
- Chapelles N.-D. des Ardents et N.-D. des Fièvres
- Le pont
- La motte féodale
- Le puits
- Vue du belvédère
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'argent à la quintefeuille de gueules boutonnée d'or[44]. | |
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Détails | Inspiré des armes de la famille de Seninghem, qui donna les premiers seigneurs connus du lieu, et qui portait : « de gueules à la quintefeuille d'argent ». Adopté par la municipalité. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Ne pas confondre avec la seigneurie de Zinneghem (Zenneghem ou Sinneghem).
Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Urne-à-l'Eau (E4030660) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Seninghem et Nielles-lès-Bléquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nielles-les-blequin_sapc » (commune de Nielles-lès-Bléquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nielles-les-blequin_sapc » (commune de Nielles-lès-Bléquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « espace protégé FR4505528 - rando-rail de Nielles-lès-Bléquin », sur Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310030118 - Coteau de Seninghem », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013273 - Complexe de vallées sèches et de bois autour de Bouvelinghem », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310030034 - Vallée du Bléquin de Nielles à Affringues », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013272 - La Vallée du Bléquin et les Vallées sèches adjacentes au Ruisseau d’Acquin », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013721 - La Cuesta du Boulonnais entre Neufchâtel-Hardelot et Colembert », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Seninghem ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Omer », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264, , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
- Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 357-358.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 1006.
- M. Harbaville, Mémorial historique et archéologique du département du Pas-de-Calais, tome 2, Arras, Topino, MDCCCXLII, p. 223-224 ; Histoire de Seninghem, Histoire et généalogie de l'Audomarois, en ligne.
- en ligne ; en ligne.
- André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 52, lire en ligne
- Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904, Tome II, Année 1190.
- Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome VII, 2e partie, Année 1206.
- Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, années 1861-1862, Dunkerque, 1862, p. 377, lire en ligne.
- Valéry Duhaut, « Bilan des maires à Seninghem : Christian Tellier, heureux dans sa fonction, est prêt à rempiler pour six ans : Christian Tellier, 58 ans, achève son premier mandat de maire. L’élu semble prendre un réel plaisir à assurer cette fonction. Il estime avoir mené à bien l’ensemble des projets que son équipe et lui avaient annoncés en 2008. Un bilan positif à peine contrarié par quelques petites déceptions davantage inhérentes à la fonction qu’au village de Seninghem lui-même », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Seninghem : second mandat pour Christian Tellier à la tête de la commune de Seninghem : Sans surprise, Christian Tellier a été élu maire, dimanche, par quatorze voix et un bulletin blanc », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Seninghem : après deux radars, un estaminet communal en vue : Christian Tellier, retraité de l’Éducation nationale, entame son deuxième mandat à la tête de la commune. Il a pour projets d’ouvrir un estaminet communal et la création d’un bâtiment de stockage », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- https://reader.cafeyn.co/fr/1978716/21599238
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Seninghem (62788) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Seninghem (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).