Riencourt-lès-Cagnicourt — Wikipédia
Riencourt-lès-Cagnicourt | |||||
La rue de Clichy. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Osartis Marquion | ||||
Maire Mandat | Gérard Crutel 2020-2026 | ||||
Code postal | 62182 | ||||
Code commune | 62709 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Riencourtois | ||||
Population municipale | 247 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 52 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 12′ 00″ nord, 2° 57′ 31″ est | ||||
Altitude | Min. 75 m Max. 102 m | ||||
Superficie | 4,73 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Arras (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Brebières | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
Liens | |||||
Site web | riencourtlescagnicourt.fr | ||||
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Riencourt-lès-Cagnicourt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
La commune fait partie de la communauté de communes Osartis Marquion qui regroupe 49 communes et compte 42 651 habitants en 2021.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Riencourt-lès-Cagnicourt est un village rural de l'Artois, situé au nord-est de Bapaume et au sud-est d'Arras. Il est aisément accessible depuis l'ancienne route nationale 356 (actuelle RD 956).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 4,73 km2 ; son altitude varie de 75 à 102 mètres[1].
Paysages
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l'atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[2]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[3].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[4],[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 728 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Riencourt-lès-Cagnicourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,4 %), zones urbanisées (6,6 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Radincurt en 1024 (cartulaire de Saint-Vaast, p. 60), Ryencourt en 1333 (titres et comptes d'Artois., t. 11, P 32, no 1), Riencourt-en-Artoys en 1330-1331 (chroniques d'Artois, A. Il 9, no 5), Riencourt-lès-Hendecourt, 1720 (Saugrain, p. 337)[16], Riencourt-lès-Quéant, 1802 (Tables décennales).
Le nom localité trouverait son origine dans le terme rietz : « lieu en friche ».
La préposition « lès » permet de signifier la proximité d'un lieu géographique par rapport à un autre lieu. En règle générale, il s'agit d'une localité qui tient à se situer par rapport à une ville voisine plus grande. Par exemple, la commune de Riencourt indique qu'elle se situe près de Cagnicourt.
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge et Ancien Régime
[modifier | modifier le code]Le village, qui n'était qu'un hameau au XIe siècle, dépendait de la juridiction de St-Vaast. La seigneurie de Riencourt était divisée en trois parties qui furent aliénées au domaine royal par Louis XV. La moitié en fut vendue à un sieur Ransart d'Arras.
En 1650, le village fut le théâtre d'un fait d'armes où deux régiments de cavalerie, trois compagnies franches et une autre du roi d'Espagne ont été entièrement défaites.
À la fin de l'Ancien Régime, le village dépendait du gouvernement d'Artois et était régi par la coutume d'Artois[16].
L'église paroissiale consacrée à St-Vaast relevait du diocèse d'Arras, doyenné de Croisilles, district de Fampoux[16].
Carte de Cassini
[modifier | modifier le code]La carte de Cassini ci-dessus montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Riencourt était une paroisse située à l'est du Grand Chemin de Bapaume à Douai, au jourd'hui la D 986.
Au nord, deux moulins à vent en bois, aujourd'hui disparus, étaient en activité à cette époque.
Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Au début de la guerre, le village « se composait de cent quarante-cinq maisons comportant plusieurs grosses métairies. Les bâtiments communaux étaient une église du XVIIe siècle, un presbytère, une mairie-école et des dépendances[17] ».
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[18]. « Pourtant, 130 personnes, hommes, femmes et enfants sont revenus [en 1919] s'installer dans ce désert où plane la mort, où la mitraille a fait rage pendant près de cinquante mois, sans arrêt. La mairie, une baraque en planches, compose avec deux ou trois autres du même genre, toutes les habitations. C'est là-dedans que vivent une centaine de personnes et une vingtaine d'enfants filles et garçons. Tout ce monde est dénué de tout vêtement, de literie, d'appareils de chauffage[17] ». Le village est « adopté » en 1919 par la ville de Clichy, en banlieue parisienne, pour aider à sa reconstruction[19],[20].
Tornade de Palluel (1967)
[modifier | modifier le code]Le 24 juin 1967, lorsque la tornade a dévasté la plus grande partie du village, les habitants n'ont pas eu peur. Ils n'en ont pas eu le temps ! Le cataclysme a été si rapide et si violent que les maisons se sont effondrées, et que les toits et les arbres ont été arrachés avant qu'on sache ce qui arrivait. Dès les premières heures après la tornade, alors que partout, pompiers, gendarmes, ambulanciers, militaires étaient déjà à l'œuvre pour les premiers secours, les premiers mouvements de solidarité se manifestaient spontanément envers les sinistrés. Cette tornade fut la classée EF5 par Keraunos (observatoire français des tornades et orages violents) soit des vents estimés à plus de 320 km/h et ce qui la met au rang de 2e tornade la plus forte de France.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie de la communauté de communes Osartis, créée fin 1999.
Dans le cadre des prescriptions de la réforme des collectivités territoriales françaises[21], afin d'achever la couverture intégrale du département par des intercommunalités à fiscalité propre, supprimer les enclaves et discontinuités territoriales et rationaliser les périmètres des intercommunalités, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, formant le la communauté de communes Osartis Marquion dont est désormais membre la commune.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie depuis 1801 du canton de Vitry-en-Artois[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Brebières.
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 2012 de la première circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].
En 2021, la commune comptait 247 habitants[Note 4], en évolution de −8,18 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 139 hommes pour 119 femmes, soit un taux de 53,88 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église.
- La chapelle de la Délivrance, détruite pendant la Première Guerre mondiale et reconstruite sur le chemin de Noreuil au début des années 1920 par la famille Canlers-Cornet. De nombreux australiens viennent commémorer leurs ancêtres disparus lors des combats du printemps 1917[34],[35].
- Le monument aux morts, dont le sculpteur est Hippolyte Lefèbvre[36].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de la commune se blasonnent ainsi : |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune Riencourt-lès-Cagnicourt (62709) », Recensement général de la population de 2015, INSEE, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 13 NO, Cambrai [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d'interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Riencourt-lès-Cagnicourt » sur Géoportail (consulté le 24 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Riencourt-lès-Cagnicourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Riencourt-lès-Cagnicourt et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Riencourt-lès-Cagnicourt ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, , 499 p. (lire en ligne), p. 322-323, sur Gallica.
- Compte rendu rédigé par Alphonse Desormeaux, élu de Clichy, lors du déplacement d'élus municipaux le 11 septembre 1919, relaté par Le Parisien (Seine-Saint-Denis) du 6 novembre 1918.
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- G.B., « 11 septembre 1919, Clichy découvre le village ravagé de Riencourt : Au sortir de la Première Guerre, la ville des Hauts-de-Seine décide de venir en aide à un village du Pas-de-Calais. La délégation qui se rend alors sur place est abasourdie. Récit », Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis, (lire en ligne, consulté le ).
- A.-S.D, « Place Riencourt, un bout de Pas-de-Calais à Clichy : La place portant le nom du village du Pas-de-Calais dévasté par la guerre et «adopté» par Clichy en 1919 a été inaugurée ce mardi », Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis, (lire en ligne, consulté le ).
- Loi no 2010-1563 du 16 décembre 2010 portant réforme des collectivités territoriales
- « acte de mariage n°2 signé par le maire Aimé Tabary et le n°3 par le maire Jean Savary-Desailly », sur archivesenligne.pasdecalais.fr (consulté le ), p. 199 et 200.
- « Riencourt-lès-Cagnicourt L'ancien maire s'en est allé : Le 1er octobre, le maire honoraire est décédé à Arras. Né le 16 juin 1926, Jean Bayart fut maire de Riencourt-les-Cagnicourt de mars 1971 à mars 1989, soit trois mandats », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Timothée Brisson, « Bilan du maire à Riencourt-lès-Cagnicourt : « Je ne suis pas candidat à ma succession », déclare Jean-Michel Barbier : Élu à la tête de la commune de Riencourt-Lès-Cagnicourt pour la première fois en 2001, Jean-Michel Barbier a décidé de ne pas se représenter en mars prochain. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Riencourt-lès-Cagnicourt: un premier mandat de maire pour Gérard Crutel : Élu à la tête de la commune de Riencourt-lès-Cagnicourt pour la première fois en 2001, Jean-Michel Barbier, maire sortant, a présidé l'installation du conseil municipal, dimanche matin. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- A. D., « Riencourt-Lès-Cagnicourt : Un nouveau maire qui a déjà beaucoup d'expérience : Gérard Crutel, 62 ans, retraité agricole, connaît son bourg dans les moindres recoins. Après vingt-cinq années dans le fauteuil de premier adjoint, il a été élu maire le 30 mars dernier », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- N. L., « Gérard Crutel réélu maire à Riencourt-lès-Cagnicourt : L'élection du maire et des adjoints s'est déroulée samedi soir à huis clos à la salle des fêtes », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Riencourt-lès-Cagnicourt (62709) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Riencourt-lès-Cagnicourt La famille Canlers veille sur la chapelle Notre-Dame de la Délivrance, lieu de recueillement australien : À la sortie du village, en direction de Quéant, il est une chapelle qui reçoit fréquemment la visite d'Australiens sur les traces de leurs ancêtres disparus lors des combats du printemps 1917 », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « La première bataille de Bullecourt - 11 avril 1917 : La première bataille de Bullecourt est l'une des composantes de la bataille d'Arras, menée par les armées britanniques du 9 avril au 16 mai 1917, en soutien de l'offensive française du Chemin des Dames », Chroniques de la Grande Guerre, sur archivespasdecalais.fr (consulté le ).
- « Riencourt-lès-Cagnicourt », Les lieux de mémoire dans le Pas-de-Calais, Mémoires de pierre (consulté le ).