Bréxent-Énocq — Wikipédia
Bréxent-Énocq | |||||
L'église Saint-Brice. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Montreuil | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois | ||||
Maire Mandat | Michel Hedin 2020-2026 | ||||
Code postal | 62170 | ||||
Code commune | 62176 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bréxentois | ||||
Population municipale | 639 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 88 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 30′ 39″ nord, 1° 43′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 3 m Max. 91 m | ||||
Superficie | 7,27 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Montreuil-sur-Mer (banlieue) | ||||
Aire d'attraction | Étaples - Le Touquet-Paris-Plage (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Étaples | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
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Bréxent-Énocq est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Bréxentois.
La commune fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois qui regroupe 46 communes et compte 65 760 habitants en 2021.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de neuf communes :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 7,27 km2 ; son altitude varie de 3 à 91 m[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
La commune est traversée par deux cours d'eau :
- la Canche, un cours d'eau naturel de 100,22 km, qui prend sa source dans la commune de Gouy-en-Ternois et se jette dans la Manche entre Étaples et Le Touquet-Paris-Plage[3] ;
- la Dordogne, cours d'eau naturel de 9,91 km, qui prend sa source dans la commune de Cormont et se jette dans la Canche au niveau de la commune[4].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 862 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Touquet-Paris-Plage à 10 km à vol d'oiseau[7], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,8 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Paysages
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[11]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy…[12].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : le bois de Longvilliers. Ce bois est situé sur le flanc d’une creuse assez importante, aux versants abruptes dans la partie amont, qui s’élargissent ensuite dans les parties moyenne et aval[13].
et une ZNIEFF de type 2[Note 4] : la basse vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin. Cette ZNIEFF s’étend en aval d’Hesdin jusqu’à son embouchure à Étaples. Elle souligne la dépression synclinale isolant les hautes terres Artésiennes du vaste plateau picard[14].
- Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Inventaire national du patrimoine géologique
[modifier | modifier le code]Le territoire communal comprend le site de l'estuaire de la Canche. il est inscrit à l'inventaire national du patrimoine géologique[15].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bréxent-Énocq est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montreuil-sur-Mer[Note 5], une agglomération intra-départementale regroupant neuf communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 6],[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Étaples - Le Touquet-Paris-Plage, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[18]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,9 %), prairies (27,3 %), zones urbanisées (6,8 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]La commune est constituée de deux villages distants de deux kilomètres environ, Bréxent et Énocq, qui disposent chacun de leur église et de leur cimetière[22].
Voies de communication
[modifier | modifier le code]La commune est proche de l'autoroute A16 (5 km), qui relie la région Île-de-France à la frontière franco-belge, elle est desservie, au sud, par la sortie no 26 « Étaples - Le Touquet »[23].
Transport ferroviaire
[modifier | modifier le code]La commune se trouve à 8 km de la gare d'Étaples - Le Touquet située sur deux lignes de chemin de fer : la ligne Paris-Boulogne et la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples. La gare est desservie par des TGV, qui permettent de rejoindre les gares de Boulogne, Calais, Lille et Paris, par des Intercités vers Boulogne, Amiens et Paris et de nombreux TER Nord-Pas-de-Calais.
Transport aérien
[modifier | modifier le code]La commune est située à proximité de l'aéroport du Touquet-Côte d'Opale (11 km).
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Risque sismique
[modifier | modifier le code]Le risque sismique est « très faible » sur l'ensemble du territoire communal (zone 1 sur 5 du zonage mis en place en )[24], la majorité des communes du Pas-de-Calais étant en risque « faible » (zone 2 sur 5).
Risque inondation
[modifier | modifier le code]La commune n'est pas exposé à un risque important d'inondation, aucun mouvement de terrain ou de présence de cavité souterraine n'est recensé, le potentiel radon est faible et l'exposition au retrait-gonflement des sols argileux dans la commune est avéré[25].
À la suite d'inondations, coulées de boue et effets exceptionnels dus aux précipitations qui se sont produits le , la commune est reconnue en état de catastrophe naturelle par arrêté du [25].
À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[26].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]La commune est à plus de 20 km d'une centrale nucléaire. Les centrales nucléaires françaises les plus proches, productrices de la grande majorité de l'électricité fournie à la commune, sont celles de Gravelines et Penly (chacune à environ 70 km au nord et au sud), à noter que la centrale de Dungeness, en Angleterre, est située à 80 km.
Une seule installation industrielle est présente sur la commune.
Une canalisations de matières dangereuses est recensée dans la commune[25].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Bréxent
[modifier | modifier le code]Bréxent absorbe Énocq entre 1790 et 1794[1].
Le nom de la localité est attesté sous les formes Brekelesent en 1151 ; Brechelessem en 1170 ; Brescelessen en 1182 ; Brekenesem en 1196 ; Berquesen en 1313 ; Bresquesen en 1314 ; Brekelessent en 1339 ; Breqlesans et Bréquelissant en 1361 ; Brekelsent en 1362 ; Brecquelsent en 1392 ; Brecqtressent en 1452 ; Brequelessent en 1464; Bresclessent en 1477 ; Breucqsent vers 1512 ; Brecquessent et Brexen en 1559 ; Brecquesen en 1598 ; Brequesan en 1613 ; Bréquezent en 1739 ; Bréquesent en 1743 ; Brecquessens en 1774[27], Brequesent (1793), Brexent et Enocq ; Bréxent-Énocq depuis 1801[1].
Peut-être du néerlandais broec « marais », suivi d’un élément obscur[28] ou formation de type germanique *Brakilas haim « habitation de Brakilo »[29].
Énocq
[modifier | modifier le code]Attesté sous les formes Anoch au XIIe siècle, Anoc en 1248, Anok en 1373, Anocq 1477, Ennocq en 1537, Annoc en 1588, Hénocq en 1725, Énoq en 1739, Énoch en 1773[30].
Maurits Gysseling ne se prononce pas sur l'étymologie d’Énocq, signe qu'il en ignore l'origine[31]. On note cependant le passage du groupe initial An- à En(n)- dans de nombreux toponymes régionaux comme Ennecourt (Camphin-en-Carembault, Nord, Anacurt 1183) ; Ennequin (Loos, Nord, Anakin 1147) ; Ennemain (Somme, Anemagn 1170), etc[31].
Histoire
[modifier | modifier le code]Une voie romaine reliant Lillebonne à Boulogne-sur-Mer passait, selon certains érudits, par Brexent[32]. Elle venait d'Attin et allait à Frencq, passant près de Tubersent[32].
Jean de Longvilliers, bâtard d'Engontsend, seigneur sur la commune actuelle de Bréxent-Enocq, trouve la mort à la bataille d'Azincourt en 1415[33].
Les communes de Bréxent et Énocq fusionnent en 1790[Arch. 1],[22].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[1].
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune a fait partie, de 1999 à 2016, de la Communauté de communes mer et terres d'Opale et, depuis le , elle fait partie de la Communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois dont le siège est basé à Montreuil.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie du canton d'Étaples, depuis la loi du reprise par la constitution de 1791, qui divise le royaume (la République en ), en communes, cantons, districts et départements[1].
Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle reste rattachée au canton d'Étaples[34].
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie, depuis 1986, de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Espaces publics
[modifier | modifier le code]Les jardins du manoir d'Hénocq créés en 2001 sur un ancien fief féodal, à l'arrière d'un manoir du XVIe siècle et situés au 7, rue de la Creuse, ont été labellisés jardin remarquable par le ministère de la Culture en 2015[39].
Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]La commune dépend du tribunal de proximité de Montreuil, du conseil de prud'hommes de Boulogne-sur-Mer, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[40].
Population et société
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Bréxentois[41].
Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[43].
En 2021, la commune comptait 639 habitants[Note 8], en évolution de −6,99 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 336 hommes pour 332 femmes, soit un taux de 50,3 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]La place de l'Apogée accueille tous les ans un rassemblement tunning aux alentours de fin avril-début mai, organisé par l'association "Tunning en folie" présidé par Jean Etrot depuis 1995.
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]En 2018, le revenu fiscal médian par ménage, de Bréxent-Énocq, est de 21 890 €, pour un revenu fiscal médian en métropole de 21 730 €[Insee 1].
Emploi
[modifier | modifier le code]Bréxent-Énocq fait partie, selon l'INSEE, de l'unité urbaine, de la zone d’emploi et du bassin de vie de Berck et de l'aire d'attraction des villes de Étaples - Le Touquet-Paris-Plage[18].
Dans la catégorie des 15 à 64 ans, en 2018, la commune est composée de 26,1 % d'inactifs, en baisse de 2,5 points depuis 2008 (25,7 % pour la métropole), qui se décompose en retraités et pré-retraités (11,6 %) et élèves, étudiants et stagiaires non rémunérés (8,6 %) et autres inactifs (5,9 %)[Insee 2].
En 2018, le taux de chômage est de 9,7 % (13,7% en France métropolitaine) alors qu'il était de 12,1 % en 2013. Sur 100 actifs domiciliés sur la commune, 89 travaillent dans une autre commune[Insee 3],[Insee 4],[Insee 5].
Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Au , Bréxent-Énocq comptait 29 établissements (hors agriculture) : 3 dans l'industrie manufacturière, industrie extractive et autres, 3 dans la construction, 11 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 2 dans l'activité financière et d'assurance, 2 dans l'activité immobilière, 6 dans l'activité spécialisée, scientifique et technique et activité de service administratif et de soutien, 1 dans l'administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 1 dans les autres activités de services[Insee 6].
En 2020, 5 entreprises ont été créées[Insee 7].
La commune ne dispose pas de marché de plein-air, le marché le plus proche est situé dans la commune d'Étaples.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Brice de Bréxent.
- L'église Notre-Dame d'Énocq dotée d'un clocher-mur.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Parti : au 1er de gueules à l'aigle d'argent, au 2e d'or à la croix ancrée de gueules[48]. | |
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Détails | Dans le premier parti : armes des Blondel, anciens seigneurs de Bréxent, qui portaient «de sable à l'aigle d'or membrée et becquée de gueules» ; au second parti, les armes des De Courteville, seigneurs d'Énocq et d'Hodicq, aujourd'hui deux hameaux de Bréxent, qui portaient «d'or à la croix ancrée de gueules». Adopté par la municipalité. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Liste de monuments aux morts français, dans le Pas-de-Calais, surmontés d'une croix de guerre
Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 9]
- « Bréxent-Enocq » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Montreuil-sur-Mer comprend une ville-centre et huit communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références de type "arch"
[modifier | modifier le code]- Archives départementales du Pas-de-Calais, « Répertoire numérique des registres paroissiaux et d'état civil microfilmés »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF] (consulté le ), p. 387.
Cartes
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]Insee
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet - commune de Bréxent-Énocq - Revenus et pauvreté des ménages en 2018 - REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 », sur le site de l'INSEE (consulté le ) et « Dossier complet - France métropolitaine - Revenus et pauvreté des ménages en 2018 - REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 », sur le site de l'INSEE (consulté le ).
- « Bréxent-Énocq - EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité », sur le site de l'INSEE, (consulté le ).
- « commune de Bréxent-Énocq - EMP T4 - Chômage (au sens du recensement) des 15-64 ans », sur le site de l'INSEE (consulté le ).
- « France métropolitaine - EMP T4 - Chômage (au sens du recensement) des 15-64 ans », sur le site de l'INSEE (consulté le ).
- « commune de Bréxent-Énocq - ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone », sur le site de l'INSEE (consulté le ).
- « commune de Bréxent-Énocq - DEN T3 - Nombre d'unités légales par secteur d'activité au 31 décembre 2019 », sur le site de l'INSEE (consulté le ).
- « commune de Bréxent-Énocq - DEN T4 - Créations d'établissements par secteur d'activité en 2020 », sur le site de l'INSEE (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Canche (E54-003-) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Dordogne (E5410750) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bréxent-Énocq et Le Touquet-Paris-Plage », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF 310030063 - Bois de Longvilliers », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013699 - La basse Vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Patrimoine géologique NPC0010 - Estuaire de la Canche », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Montreuil-sur-Mer », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Bréxent-Énocq ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Étaples - Le Touquet-Paris-Plage », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Fabrice Leviel, « Alors que trois com de com ne feront bientôt qu’une, ces communes montreuilloises qui ont déjà fait l’expérience de la fusion… : Les communautés de communes de l’Hesdinois, du Val de Canche et de Canche-Ternoise vont bientôt ne faire qu’une. Les communes de Bouin-Plumoison, Maresquel-Ecquemicourt et Bréxent-Énocq ont, elles, fusionné il y a longtemps. Hesdin a tenté de faire une grande agglomération en englobant les villages voisins, sans succès. Que tirer de ces expériences ? », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Visualisation des routes départementales de Bréxent-Énocq. » sur Géoportail (consulté le 30 décembre 2021)..
- « Zonage sismique en France », sur planseisme.fr, (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264, , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 70-71.
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