Couin — Wikipédia
Couin | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | CC des Campagnes de l'Artois | ||||
Maire Mandat | Vincent Lacroix 2020-2026 | ||||
Code postal | 62760 | ||||
Code commune | 62242 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Couinois | ||||
Population municipale | 84 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 07′ 57″ nord, 2° 31′ 44″ est | ||||
Altitude | Min. 90 m Max. 159 m | ||||
Superficie | 5,82 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Avesnes-le-Comte | ||||
Législatives | 1re circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
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Couin est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Couinois.
La commune fait partie de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois qui regroupe 96 communes et compte 33 141 habitants en 2021.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Couin est un petit village à une quinzaine de kilomètres à l'est de Doullens, en amont de l'Authie. limitrophe du département de la Somme, le territoire communal chevauche le cours de l'Authie.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes, dont trois situées dans le département de la Somme :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 5,82 km2 ; son altitude varie de 90 à 159 m[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
La commune est traversée par l'Authie, cours d'eau naturel de 108,18 km, qui prend sa source dans la commune de Coigneux, située dans le département de la Somme, et qui se jette dans la Manche entre les communes de Berck et de Fort-Mahon-Plage[3].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 847 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saulty à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 899,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Paysages
[modifier | modifier le code]La commune s'inscrit dans l'est du « paysage du val d’Authie » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[10].
Ce paysage, qui concerne 83 communes, se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.
Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.
L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composée pour 70% en culture[11].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Couin est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13] et hors attraction des villes[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (88 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66 %), prairies (23 %), forêts (11 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par les routes départementales D 2, D 25 et D 152[17].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Cuin en 1149 ; Coaing en 1200 ; Coign en 1200 ; Coig en 1203 ; Cuins en 1258 ; Coiing en 1264 ; Coing au XIIIe siècle ; Couwin en 1545[18], , Couin depuis 1793 et 1801[1].
Comme pour Coigneux, deux hypothèses sont fournies pour l'origine du nom du village :
- Given, mot celtique signifiant blanc, allusion aux côtes marneuses et leurs crêtes blanches ;
- Cavinum, cavum, en référence à la vallée profonde creusée par l'Authie[19].
Histoire
[modifier | modifier le code]Une partie de cette terre était tenue de l'abbaye de Corbie (Recueils du P. Ignace, t.IV, f° 14) et l'autre dépendait de la châtellenie de Pas depuis l'année 841. Adam, seigneur de Couin, d'après une Charte de 1203, était en même temps Prévôt de Pas.
Plus tard, la seigneurie appartint à la famille de Beaufort,et enfin à celle de Landas de Louvignies, dont un des ancêtres eut la garde des fils du roi Jean à la bataille de Poitiers ().
On tient par tradition dans ce village qu'autrefois la commune était bâtie le long de la rivière qui borde le cimetière actuel là où se trouvait l'ancienne église : les guerres du XVIe siècle détruisirent toutes ces constructions, y compris le château, et l'on rebâtit la nouvelle paroisse sur le haut de la colline.
À la place de l'église primitive, on éleva une chapelle dédiée à saint Pierre qui est devenue le but d'un pèlerinage fréquenté ; la statue du saint est en pierre artistement sculptée et porte la date de 1661.
La nouvelle église de Couin a été construite à la fin du XVIe siècle, sous la domination espagnole, elle est sous le vocable de Saint-Pierre-aux-Liens (Dictionnaire Historique et Archéologique du Pas-de-Calais, 1874, tome II, pages 173 & 174)
Au cours de la Première Guerre mondiale, des soldats néo-zélandais occupent le château[20].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton d'Avesnes-le-Comte.
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[27].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants sont appelés les Couinois[28].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].
En 2021, la commune comptait 84 habitants[Note 3], en évolution de −22,94 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,5 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 48 hommes pour 56 femmes, soit un taux de 53,85 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Monument historique
[modifier | modifier le code]le château de Couin fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du [34],[35]. Le château a été construit en 1748 par Philippe de Landas, comte de Louvignies. Il est passé par alliance aux Sainte-Aldegonde-Noircarmes puis aux Louvencourt. Le propriétaire actuel a entrepris de le restaurer depuis quelques années. Les habitants du château assistaient à la messe dans une tribune donnant sur le chœur de l'église.
- Le château de Couin.
- La façade du château.
Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Pierre.
- La statue de la Vierge.
- La chapelle Saint-Pierre.
- L'église Saint-Pierre.
- L'église Saint-Pierre de Couin, tribune des châtelains.
- La statue de la Vierge.
- La chapelle Saint-Pierre au milieu du cimetière.
- La chapelle Saint-Pierre.
Autres lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le monument aux morts[36].
- Le monument aux animaux victimes de guerre, inauguré en 2004[37].
- Le monument aux morts.
- Le monument aux animaux victimes de guerre.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Parti émanché de quatre pièces et une demie de gueules et d'argent[38]. | |
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Détails | Adopté par la municipalité le . |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Ouvrages consultables aux archives départementales du Pas-de-Calais[39] :
- R. Dubois, Notice historique sur Couin et ses seigneurs, Doullens, Imprimerie de Ch. Dessaint, 1935.
- J.-C. Aufrere et J. Dangleterre, Histoire économique et sociale du village du Couin du XVIe au XVIIIe siècle, Lille, Université de Lille III, 1971.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 4]
- « Couin » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Authie (E5500570) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Couin et Saulty », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Couin ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
- Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur de Coigneux, M. Godard, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens
- Site du château.
- Nicolas André, « Le bilan des maires - Couin - Francis Savoye: « Nous avons dû réaliser la mise en sécurité de notre église » : Un presbytère et une église du XVIIIe siècle en pierre blanche, un château, un monument dédié aux animaux victimes de la Grande Guerre, c’est ce qui fait la renommée du village rural de près d’une centaine d’habitants. Francis Savoye, maire depuis 1983, conseiller municipal depuis 1977, gère la commune située un plateau au-dessus de Pas-en-Artois avec un bon sens de terrien. Il faut ça quand on a un budget qui se limite à près de 60 000 €. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- Nicolas André, « Couin (projet du maire) : « Nous préparons le dossier pour la nouvelle mairie » : La mairie est dans son jus d’après-guerre: au premier étage d’une maison de briques, un casier à tampons sur une table qui plairait à un brocanteur, des chaises en bois patinées par les années… La rénovation est une nécessité. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Christophe Hautecœur (CLP), « Vincent Lacroix est le nouveau maire de Couin », La Voix du Nord, (lire en ligne , consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Couin (62242) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Château de Couin », notice no PA00108259, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Base de données du ministère de la culture ».
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- « Le monument aux animaux », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- « Le blason dans l'armorial de France », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- « La commune de Couin », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).