Richebourg (Pas-de-Calais) — Wikipédia
Richebourg | |||||
La mairie. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Béthune | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane | ||||
Maire Mandat | Jérôme Demulier 2020-2026 | ||||
Code postal | 62136 | ||||
Code commune | 62706 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Richebourgeois | ||||
Population municipale | 2 618 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 151 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 34′ 47″ nord, 2° 44′ 25″ est | ||||
Altitude | Min. 16 m Max. 20 m | ||||
Superficie | 17,31 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Béthune (banlieue) | ||||
Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Beuvry | ||||
Législatives | Douzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
Liens | |||||
Site web | www.richebourg62.com | ||||
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Richebourg est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 275 327 habitants en 2021.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Localisée dans l'est du département du Pas-de-Calais, la commune, limitrophe du département du Nord, est située à 12 km au nord-est de Béthune (chef-lieu d'arrondissement)[1].
Richebourg est une commune de l'Artois flamand, et est proche de la Flandre maritime, et à moindre mesure de la Flandre lilloise.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de neuf communes, dont une dans le département du Nord :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 17,31 km2 ; son altitude varie de 16 à 29 mètres[3].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par deux cours d'eau :
- le courant Harduin, d'une longueur de 16,1 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Lys au niveau de la commune de La Gorgue[4] ;
- la Loisne aval, cours d'eau naturel de 11,53 km, qui prend sa source dans la commune de Beuvry et se jette dans la Lawe au niveau de la commune de La Couture[5].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 712 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 18 km à vol d'oiseau[8], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Richebourg est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[14]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (93,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,7 %), zones urbanisées (9,4 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), prairies (1,9 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]Le village de Richebourg est né de la fusion des villages de Richebourg-l'Avoué et de Richebourg-Saint-Vaast en 1971. Ceux-ci partageaient alors la même église, mais possédaient chacun leur mairie, celle de Richebourg-Saint-Vaast étant située à la Croix-Barbet et celle de Richebourg-l'Avoué au bout de la rue du Moulin-l'Avoué (à ne pas confondre, justement, avec la rue du Moulin-Saint-Vaast, de l'autre côté du village, cet endroit étant par ailleurs considéré comme le lieu-dit Richebourg-l'Avoué par extension). Un nouveau centre-bourg fut ainsi rebâti autour de l'église Saint-Laurent, mais l'agencement du village et les noms de certaines rues gardent le souvenir de cette ancienne scission.
À titre de comparaison, Richebourg-l'Avoué représentait en superficie les 4/5 de la commune actuelle, Richebourg-Saint-Vaast étant le cinquième restant.
Il n'y a pas de hameau à proprement parler, mais on peut noter la présence du Bout-d'el-ville, une partie du village faisant géographiquement partie de Richebourg — les deux entités se touchent —, mais dont les routes pour y accéder passent par la commune de Vieille-Chapelle ou de Laventie et la Gorgue, sans que cela ne l'isole toutefois du reste de la commune.
Pour les lieux-dits, on trouve :
- la Croix-Barbet, au carrefour des rues Hennelle, des Charbonniers, du Puits et du Moulin-Saint-Vaast ;
- la Rouge-croix, au croisement du Grand-chemin et de la rue du Puits :
- le carrefour de la Bombe, à la limite de Neuve-Chapelle ;
- l'Épinette, à l'extrémité sud-ouest de la commune.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Richebourg est située au croisement de deux routes importantes, celle reliant Béthune à Armentières (la rue du Bois) et celle reliant Estaires à la Bassée (le Grand-Chemin).
L'autoroute A26 passe à Béthune, à 14 km de Richebourg,
Richebourg n'est pas desservie par le train, mais les gares TER de Cuinchy et la Bassée et TGV de Béthune sont proches.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Richesborg (1171), Richeborc (1198), Rikebourt (vers 1200), Richebourg l’Advoüé (1720)[18].
Du vieux-francique *riki (« puissant »). Le sens de « puissant » est encore en usage dans les premiers textes français; celui de « qui possède des biens » ne semble assuré que vers 1265[19].
L'appellation serait d’origine germanique ou flamande, de Richburg (charte du XIIe siècle) ou Richebourg, « château riche » ou « village fertile ».
Richebourg peut aussi correspondre au nom de personne germanique féminin Rice[20], (Ricburgis).
Durant la Révolution, la commune de Richebourg-l'Avoué porte le nom de Richebourg-l'Égalité[3] et celle de Richebourg-Saint-Vaast celui de Richebourg-la-Fraternité[21].
Histoire
[modifier | modifier le code]On ne trouve le nom de Richebourg qu’à partir du XIIe siècle, bien que cette terre soit peuplée depuis 311 avant Jésus-Christ. Elle fait partie intégrante du « Pays de l’Alleu », pays issu d’une terre létique, c'est-à-dire d’une zone cédée par l'empire romain à des aventuriers en tout genre, baroudeurs, ou même des captifs prêts à se convertir dans l’agriculture. Ils déboisent et font de cette terre l’une des plus fertiles de la contrée.[réf. nécessaire]
La seigneurie de Richebourg était sous la souveraineté des seigneurs de Béthune :
- Robert III de Béthune dit le Chauve (1035-1101) ;
- Robert IV de Béthune dit le Gros (1060-1128) ;
- Guillaume Ier de Béthune (1095-1144).
En 1136, l'abbaye de Saint-Vaast, dont dépend Richebourg décide, à la suite de la décision du pape Urbain II, d’inféoder la moitié de son territoire au seigneur de Béthune, pour que ce dernier défende celui-ci face aux seigneurs qui guerroient continuellement. Ainsi naissent Richebourg-l’Avoué et Richebourg-Saint-Vaast, avec une seule paroisse et donc une seule église.
La succession féodale de Richebourg passe des Béthune aux comtes de Flandre, Flandre-Termonde, Luxembourg-Ligny : voir les articles sur le comte Guy de Dampierre (époux de Mahaut de Béthune) et son fils Guillaume de Termonde.
De 1347 à la destruction quasi totale en 1914-1918 du village, en passant par les guerres de religion (1566), la guerre contre les Espagnols (1635-1640), l'histoire du village fut troublée. En , le duc de Marlborough fit incendier le village lors de la guerre de Succession d'Espagne.
Perceval de Richebourg combat et trouve la mort à la bataille d'Azincourt en 1415[22].
Durant la Première Guerre mondiale, Richebourg est le théâtre, le , de la bataille dite « de la tête de Sanglier », nom donné du fait de la singularité du tracé des tranchées, vu du ciel, à cet endroit. Cette bataille est une diversion lancée par les troupes britanniques du Royal Sussex, la véritable offensive étant celle de la Somme. Mais ce ne fut qu'un massacre pour les Britanniques, et ce jour est parfois surnommé « le jour où le Sussex est mort ».
- L'église de Richebourg détruite lors des bombardements allemands de la Première Guerre mondiale.
- Richebourg d'aujourd'hui
La commune actuelle résulte de la fusion, le (arrêté du publié au Journal officiel le ) des anciennes communes de Richebourg-l'Avoué (code INSEE 62706) peuplée de 1 090 habitants au recensement de 1968[3] et Richebourg-Saint-Vaast (code INSEE 62707) peuplée de 541 habitants au recensement de 1968[21].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton de Beuvry.
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la douzième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Richebourgeois'[37]
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].
En 2021, la commune comptait 2 618 habitants[Note 5], en évolution de +1,08 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,5 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 310 hommes pour 1 328 femmes, soit un taux de 50,34 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Cimetière militaire portugais : la majorité des soldats portugais qui sont tombés au combat pendant la Première Guerre mondiale reposent dans ce cimetière. La commission portugaise des sépultures de guerre a regroupé les corps provenant de divers cimetières en France, en Belgique et en Allemagne. Les stèles portent les armoiries du Portugal. En 1976, la chapelle Notre-Dame-de-Fatima y a été érigée. En 2018, elle est le lieu d'une commémoration entre les chefs d'État français et portugais, pour rappeler le sacrifice des soldats portugais durant la Première Guerre mondiale.
- Mémorial indien en hommage aux soldats de l'armée des Indes britanniques de la Première Guerre mondiale tombés notamment lors de la bataille de Neuve-Chapelle.
- Le Touret Memorial qui rend hommage à 13 482 soldats de l’armée impériale britannique disparus au cours des combats qui se sont déroulés entre la Lys et La Bassée d’ à .
- L'église Saint-Laurent de Richebourg-l'Avoué
- Le cimetière militaire du Rue-des-Berceaux
- Le cimetière militaire de Saint-Vaast Post
- les deux jardins de la paix[43] :
- le jardin de la paix portugais, réalisé 2022 ;
- le jardin de la paix Paix indien, prévu en 2022/2023.
Les nombreux cimetières et mémoriaux disséminés sur l'ensemble de la commune rappelle la violence des combats qui s'y sont déroulés.
- Le cimetière militaire portugais.
- Le Touret Memorial.
- L'église Saint-Laurent.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Seigneurs et marquis de Richebourg.
- Géry Leuliet, évêque d'Amiens de 1963 à 1985.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de la commune se blasonnent ainsi : D'azur aux cinq cotices d'or, au franc-quartier du même chargé d'une croisette ancrée de gueules. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Liste des 139 sites funéraires et mémoriaux de la Première Guerre mondiale inscrits sur la liste du Patrimoine mondial de l'Unesco
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Béthune comprend deux villes-centres (Béthune et Bruay-la-Buissière) et 92 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Distance entre les deux communes », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Richebourg sur Géoportail, consulté le 25 mai 2018.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Courant Harduin (E3660830) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Loisne Aval (E3660750 ) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Richebourg et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Richebourg ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 321.
- « étymologie », sur cnrtl.fr (consulté le ).
- Louis Guinet, Bibliothèque française et romane : Manuels et études linguistiques, , p. 28.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Richebourg-Saint-Vaast », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
- « Richebourg: les 100 ans de Léon Dekeuwer, le « sage ancien maire » : Léon Dekeuwer, l’homme providentiel, le « sage ancien maire » de Richebourg a eu 100 ans. C’est à son domicile, rue des Charmilles, que dimanche famille, amis et personnalités se sont pressés sous la tonnelle pour souhaiter un très bon anniversaire à celui qui, durant bien des années, a marqué la commune », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Léon Dekeuwer, ancien maire, s'est éteint dans sa 103e année », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- « Richebourg: l’espace Paul Legry, ancien maire, a été inauguré », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « La salle omnisports baptisée Philippe-Helle », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Cet espace a logiquement pris le nom de Ginette Delestrez, mairesse de la commune de 1995 à 2001 » [1]
- Avis de décès de Madame Léon DELESTREZ née Ginette CASTELAIN, sur memoire.lavoixdunord.fr, 16 janvier 2011
- Isabelle Mastin, « Gérard Delahaye, le maire de Richebourg, ne se représentera pas en 2020 », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Elsa Lambert-Ligier, « Le maire de Richebourg dresse le bilan de son mandat : « Je suis un peu le commercial de la commune et j’ai encore des projets » : « Je ne suis pas un prometteur de bons jours. On a dit qu’on allait faire. On a fait. Il y a encore énormément à faire. » Gérard Delahaye a donc décidé de se représenter pour la troisième fois. Toujours avec une liste apolitique », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Richebourg : Gérard Delahaye, maire, entame son troisième mandat », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- Ruben Muller, « Les projets de Gérard Delahaye, maire de Richebourg : une maison médicale et un centre socioculturel : « Je tiens mes promesses mais je ne dis pas quand. » Gérard Delahaye a réalisé « 95 % » du programme de son deuxième mandat de maire. Pour le troisième, il vise les 60 % dès fin 2015. Ça commence par la réaffectation des locaux des anciennes écoles, libérés par la construction du nouveau centre scolaire. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Stéphane Leulier, « À Richebourg, samedi, Gérard Delahaye a passé la main à Jérôme Demulier », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Richebourg (62706) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Jardins de la Paix », sur artetjardins-hdf.com (consulté le ).