11e division d'infanterie (France) — Wikipédia
11e division d’infanterie | ||
Insignes de la 11e division d’infanterie (Division de fer), en haut celui de 1939, en bas celui de 1954. | ||
Création | 1873 | |
---|---|---|
Dissolution | 1961 | |
Pays | France | |
Branche | Armée de terre | |
Type | Division d’infanterie | |
Rôle | Infanterie | |
Devise | Division de fer | |
Guerres | Première Guerre mondiale Seconde Guerre mondiale Guerre d'Algérie | |
Batailles | 1914 - Bataille de Morhange 1914 - Bataille du Grand-Couronné 1914 - 1re bataille de Picardie 1914 - Bataille d'Ypres 1915 - 2e bataille de l'Artois 1915 - 2e bataille de Champagne 1916 - Bataille de Verdun 1916 - Bataille de la Somme 1917 - Bataille du Chemin des Dames 1918 - 2e bataille de la Marne (Bataille du Soissonnais) 1918 - Offensive des Cent-Jours 1958 - Bataille de Souk Ahras | |
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La 11e division d’infanterie est une unité de l’armée de terre française qui a participé à la Première et à la Seconde Guerre mondiale, ainsi qu'à la Guerre d'Algérie. Elle est surnommée « Division de fer ».
Les chefs de la 11e division d’infanterie
[modifier | modifier le code]- - : Général Berthaut
- 1874 - 1878 : Général Abbatucci
- : Général de Courcy
- - : Général Saussier
- - : Général Zentz d'Alnois
- - : Général de Courcy
- - : Général Hanrion
- - : Général Hanrion
- - : Général de Boisdenemets
- : Général Hervé
- - : Général Brault
- - : Général de Monard
- : Général de Cornulier-Lucinière
- : Général Brunet
- : Général Pistor
- - : Général Houdaille
- : Général Poline
- - : Général Balfourier
- - : Général Châtelain
- - : Général Ferry
- - : Général Vuillemot
- .
- - : Général Pénet
- .
- - : Général Vidalon
- .
- - : Général Simon
- .
- - : Général Dosse
- .
- -1931: Général Colin
- .
- : Général Requin
- : Général Frère
- : Général Aymes
- : Paul-Hippolyte Arlabosse
- : Général Allemandet[réf. nécessaire]
- - 1955 : Général Fayard
- 1955 - 1957 : Général Gambiez
- 1957 - 1958 : Général Baltmigère
- 1958 - 1959 : Général Petit
- 1959 - 1960 : Général Hubert
- 1961 : Général Besson
De 1873 à 1914
[modifier | modifier le code]La division est créée par le décret du . Située en 6e région militaire (Châlons-sur-Marne), elle a son état-major à Nancy et est constituée de deux brigades[1] :
- 21e brigade d'infanterie :
- 22e brigade d'infanterie :
En 1914, sa composition est la suivante :
- 21e brigade d'infanterie
- 22e brigade d'infanterie
Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Composition
[modifier | modifier le code]- Infanterie
- 26e régiment d’infanterie d’ à
- 37e régiment d’infanterie d’ à
- 69e régiment d’infanterie d’ à
- 79e régiment d’nfanterie d’ à
- 2e bataillon de chasseurs à pied d’ à et de à
- 4e bataillon de chasseurs à pied d’ à et de à
- 142e régiment d’infanterie territoriale d’août à
- Cavalerie
- 1 escadron du 5e régiment de hussards d' à
- 2 escadrons du 5e régiment de hussards de janvier à
- 1 escadron du 5e régiment de hussards de à
- Artillerie
- 3 groupes de 75 du 8e régiment d'artillerie d' à
- 107e batterie de 58 du 8e régiment d'artillerie de à
- 154e batterie de 75 (en)-150 (en) du 8e régiment d'artillerie d'avril-mai 1916[2] à
- 101e batterie de 58 du 8e régiment d'artillerie de janvier à
- 11e groupe de 155c du 120e régiment d'artillerie de janvier à
- 5e groupe de 155c du 120e régiment d'artillerie de juillet à
- Génie
- compagnie 20/1 du 10e régiment du génie
Historique
[modifier | modifier le code]1914
[modifier | modifier le code]- Mobilisée dans la 20e région
- 2 – : en couverture sur le Grand Couronné de Nancy, puis la Seille, dans la région d’Armaucourt.
- 14 – : mouvement offensif en direction de Morhange.
- 20 – : engagée dans la bataille de Morhange () puis repli sur le Grand Couronné de Nancy.
- – : engagée dans la bataille du Grand-Couronné : combats vers Einville-au-Jard, puis au Léomont et à Vitrimont.
- 13 – : retrait du front et transport par V.F. vers Minorville : repos. À partir du 19, transport par V.F., de la région de Toul, dans celle de Conty, puis mouvement, par la région de Villers-Bretonneux, en direction de Bray-sur-Somme.
- – : engagée dans la 1re bataille de Picardie au sud de la Somme, vers Dompierre, puis, au nord de la Somme vers Carnoy, Mametz et Fricourt. À partir du , occupation d’un secteur dans la région la Somme, Authuille[3] :
- : prise de Bécourt.
- : combats vers Bécourt et la Boisselle.
- – : occupation d’un nouveau secteur au nord de l’Ancre, vers Gommecourt et Berles-au-Bois : du 28 au , attaques françaises sur Monchy-au-Bois.
- 2 – : retrait du front et mouvement par étapes vers Saint-Pol. À partir du , transport par V.F. et par camions de Saint-Pol à Bailleul, puis, mouvement vers Vlamertinge.
- – : engagée dans la bataille d’Ypres, à Saint-Éloi, puis vers Pilkem et le nord de Bikschote. À partir du , occupation d’un secteur vers Langemark et Kortekeer Cabaret.
- : prise de Weidendreft.
- : front étendu à droite jusqu’à Poelkapelle.
- : front étendu à gauche jusqu’à Steenstrate.
- 17 - : attaques sur Kortekeer Cabaret et le bois triangulaire.
- - : front étendu, à gauche, jusqu’à la maison du Passeur, et réduit, à droite, jusque vers Langemarck[4].
1915
[modifier | modifier le code]- – : retrait du front et repos vers Proven.
- – : mouvement vers le front et occupation d’un secteur vers Poëlcappelle et la voie ferrée d’Ypres à Roulers[5].
- 16 – : retrait du front (relevé par L’A.W.), et transport par V.F. de la région Bergues, Cassel, au nord-est de Saint-Pol.
- – : transport par camions vers le front, et, à partir du 24, occupation d’un secteur vers l'Écurie[Laquelle ?] et Neuville-Saint-Vaast (élément en secteur dès le 20).
- 9 – : engagées dans la 2e bataille de l’Artois[6] : combats à Neuville-Saint-Vaast et au Labyrinthe.
- – : retrait du front et repos au nord d’Avesnes-le-Comte.
- – : occupation d’un secteur à Neuville-Saint-Vaast.
- : attaques françaises.
- 7 – : retrait du front et repos vers Remaisnil.
- – : mouvement vers la région d’Ailly-le-Haut-Clocher et transport par V.F., de Longpré-les-Corps-Saints et de Pont-Rémy au sud de Nancy ; repos, instruction et travaux.
- 29 – : transport par V.F. à l’ouest de Revigny.
- – : mouvement vers le front ; occupation et travaux d’organisation d’un secteur vers la Butte du Mesnil et à l’est.
- 25 septembre – 22 décembre : engagée vers la ferme Beauséjour et la cote 196, dans la 2e bataille de Champagne, puis occupation d’un secteur vers la Butte du Mesnil.
1916
[modifier | modifier le code]- – : retrait du front et mouvement vers le sud-est de Vitry-le-François. À partir du , transport par V.F. dans la région Vézelise ; repos et instruction. À partir du , repos et instruction au camp de Saffais.
- – : mouvement vers le front et occupation d’un secteur entre Armaucourt et Bezange-la-Grande, réduit à gauche, le , jusque vers Brin.
- 12 – : retrait du front ; transport par V.F. au nord de Saint-Dizier, repos.
- – : mouvement par Lisle-en-Barrois et Autrécourt-sur-Aire, vers la région sud de Verdun. Engagée, à partir du , dans la bataille de Verdun, vers Béthincourt et la corne sud-est du bois d’Avocourt[7].
- : combat d’Haucourt-la-Rigole.
- : perte de Malancourt.
- 5, 6 et : violentes attaques allemandes à Haucourt, à Béthincourt, aux ouvrages de Palavas et de Vassincourt ; repli et organisation du front la Hayette, corne sud-est d’Avocourt.
- – : retrait du front et repos au sud de Revigny. À partir du , transport V.F. dans la région de Conty et d’Ailly-sur-Noye ; repos. À partir du , repos vers Quevauvillers.
- – : mouvement vers le front, et, à partir du , occupation d’un secteur entre la Somme et le bois de Maricourt. À partir du 1er juillet, engagée dans la bataille de la Somme :
- 13 – : retrait du front et repos dans la région de Vaire-sous-Corbie.
- – : mouvement vers le front ; engagée à nouveau dans la bataille de la Somme, vers Maurepas et le nord de Curlu.
- , : attaques françaises sur Maurepas.
- – : retrait du front, et, à partir du , transport par V.F. dans la région du Tréport ; repos et instruction. À partir du , mouvement par étapes vers l’est et repos à l’est d’Amiens.
- – : mouvement vers le front et occupation d’un secteur entre le sud de Sailly-Saillisel et le nord-est de Rancourt.
- – : retrait du front (relève par l’armée britannique) et transport par V.F. dans la région de Blainville-sur-l’Eau ; repos[8]. À partir du , mouvement vers le front, et, à partir du 17, occupation d’un secteur vers Brin et l’est de Nomeny.
1917
[modifier | modifier le code]- – : retrait du front ; repos et instruction vers Saffais puis travaux près de Lunéville.
- : mouvement vers Bayon ; repos et instruction.
- – : transport par V.F. dans la région de Château-Thierry, puis, le , dans celle de Neuilly-Saint-Front ; préparatifs d’offensives.
- – : engagée dans la bataille du Chemin des Dames. Prise de Braye-en-Laonnois ; combats vers les fermes Malval et Froidmont. Puis organisation des positions conquises vers le canal de l’Aisne et la ferme Malval
- 5 - : attaque et progression sur les pentes nord du plateau du Chemin des Dames.
- – : retrait du front ; repos vers Oulchy-le-Château, puis vers Villers-Cotterêts. À partir du , transport par V.F. dans la région de Toul, repos.
- – : mouvement vers le front, et, à partir du , occupation d’un secteur vers Limey et l’étang de Vargévaux.
- – : retrait du front ; repos et instruction vers Nancy. À partir du , mouvement vers le camp de Saffais ; repos et instruction, puis travaux. À partir du , repos vers Nancy. À partir du , transport par V.F. dans la région de Revigny. Repos et travaux dans celle de Bar-le-Duc.
1918
[modifier | modifier le code]- – : occupation d’un secteur vers Beaumont et le bois le Chaume.
- 19 – : retrait du front ; repos vers Vanault-les-Dames, et, le , vers Mairy-sur-Marne.
- – : transport par camions vers Pont-Sainte-Maxence, puis, mouvements successifs vers les régions de Beauvais, de Marseille-en-Beauvaisis, d’Aumale et d’Hornoy ; repos, instruction et travaux.
- 2 – : transport par V.F. dans la région de Pont-Sainte-Maxence, puis dans celle d’Estrées-Saint-Denis ; repos et instruction.
- 9 – : mouvement vers le front ; engagée dans la bataille du Matz : résistance sur le front bois de Ressons, Méry-la-Bataille, Courcelles-Epayelles.
- 12 – : retrait du front ; repos vers Compiègne.
- – : mouvement vers le front et occupation d’un secteur, face à l’est, vers Ambleny et Fosse-en-Haut
- : attaque vers Fosse-en-bas.
- – : engagée dans la 2e bataille de la Marne, (bataille du Soissonnais) : conquête du plateau de Pernant et combats aux abords de Soissons.
- : prise de Soissons. À partir du , organisation des positions conquises, vers Soissons et Pommiers.
- 11 – : retrait du front : en deuxième ligne vers Cutry.
- 17 – : mouvement vers le front, puis occupation d’un secteur de combat, vers le Port et Hautebraye.
- 18 - : prise de Bieuxy et Bagneux (2e bataille de Noyon).
- – 1er septembre : retrait du front et repos vers Berny-Rivière.
- 1er – : mouvement vers le front. Engagée dans la poussée vers la position Hindenburg. Passage de l’Ailette et attaque de la basse forêt de Coucy, puis organisation d’un secteur au sud de Barisis-aux-Bois.
- – : retrait du front ; mouvement vers Attichy, puis repos vers Crécy-en-Brie.
- – : transport par V.F. dans les Flandres ; mouvement vers Quaëdypre, Crombeke et Roulers, puis vers le front. Engagée dans la 2e bataille de Belgique. Prise de Nazareth, puis franchissement du canal latéral à l’Escaut; combat de Soevergem, à la fin d’octobre, passage de l’Escaut.
- 10 – : retrait du front ; repos dans la région de Thielt.
Rattachements
[modifier | modifier le code]- Affectation organique : au 20e corps d'armée d' à .
- 2e armée
- -
- -
- -
- -
- -
- 3 -
- 12 -
- 27 -
- -
- -
- -
- 3 -
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- -
- -
- 3 -
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- -
- 6 -
- 5 -
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- 8 -
- 10 -
- -
L'entre-deux-guerres
[modifier | modifier le code]Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Composition
[modifier | modifier le code]Le , la 11e division d’infanterie se compose de :
- 26e régiment d’infanterie
- 170e régiment d’infanterie
- 1re demi-brigade de chasseurs à pied
- 8e régiment d’artillerie divisionnaire
- 208e régiment d’artillerie lourde divisionnaire
- 16e groupe de reconnaissance de division d'infanterie
- 11/1re Compagnie de Sapeurs mineurs et 11/2e Compagnie de sapeurs mineurs
Unités rattachées :
- 304e régiment d’artillerie de position
- 2e bataillon du 85e régiment d’infanterie
- 69e régiment d’infanterie de forteresse
- 82e régiment d’infanterie de forteresse
- 11/81e Compagnie télégraphique 11/82e Compagnie radio 11/20e Compagnie hippomobile
- 111/20e Compagnie auto
- 11/23e Groupe d’exploitation divisionnaire
- 11e Groupe sanitaire divisionnaire
- Parc d'artillerie no 11
Historique
[modifier | modifier le code]Le la 11e DI, sous les ordres du général Paul-Hippolyte Arlabosse, est rattachée au 9e corps d’armée qui est intégré à la 4e armée.
Repliée jusque dans la Vienne à l'issue de la bataille de France, elle est dissoute en juillet 1940[9].
L’après Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Composition
[modifier | modifier le code]- Arme blindée cavalerie : 18e régiment de dragons
- Infanterie[9]
- 23e régiment d’infanterie de juin 1954 à janvier 1958
- 60e régiment d’infanterie de juin 1954 à octobre 1959
- 1re demi-brigade de chasseurs alpins de juin 1954 à avril 1957
- Compagnie de commandement et de soutiens
- 12e bataillon de chasseurs alpins
- 14e bataillon de chasseurs alpins
- 25e bataillon de chasseurs alpins
- 3e régiment étranger d'infanterie de septembre 1959 à avril 1961
- 5e régiment étranger d'infanterie de septembre 1959 à avril 1961
- 13e demi-brigade de Légion étrangère de septembre 1959 à avril 1961
- 23e régiment d'infanterie de marine en 1959
- 29e régiment de tirailleurs de novembre 1959 à 1960
- Artillerie :
- 28e régiment d’artillerie (quatre groupes en 1954 puis deux après 1955) de juin 1954 à novembre 1960
- Ier groupe du 64e régiment d'artillerie de 1958 à avril 1961
- IIIe groupe du 67e régiment d'artillerie de 1958 à 1960
- Génie :
- 63e bataillon de génie de juin 1954 à mai 1956 (changement de numérotation en 61e bataillon)
- 61e bataillon du génie de mai 1956 à décembre 1959 (forme la 61e compagnie)
- 61e compagnie du génie de décembre 1959 à avril 1961
- Train 502e groupe de transport de juin 1954 à janvier 1958
- Matériel 61e compagnie de réparation de division d’infanterie
- etc.
Jusqu'en 1957, elle est articulée en trois groupes mobiles comptant chacun un RI ou DBCA avec un groupe d'artillerie, un détachement de transmissions et une antenne chirurgicale mobile : GM 111, GM 211, GM 311[9].
Historique
[modifier | modifier le code]La division de fer est reformée le , sous les ordres du général de brigade Fayard[9], son PC est à Besançon. Prévue pour partir en Indochine, elle rejoint la Tunisie dès le début du mois d'[9].
La 11e DI opère dans le nord de Tunisie et, à partir de la Toussaint rouge, mène également des opérations à la frontière algérienne. Après 1955, le secteur de la 11e DI est élargi à la Tunisie toute entière[9].
Elle rejoint l'Algérie en mars 1957 et opère dans le Constantinois. En 1958, elle participe à la bataille de Souk Ahras[9].
Dans le cadre du plan Challe, elle est opère de mai à novembre dans l'Oranais, comme unité de réserve générale du corps d'armée d'Oran[9].
Le , la division est réduite et forme le groupement tactique no 11, formé de trois régiments de Légion et dont le quartier-général s'implante à Alger[9].
Elle est dissoute le [10].
Insignes
[modifier | modifier le code]Insigne de 1939
[modifier | modifier le code]Insigne de 1954
[modifier | modifier le code]L'insigne de la division, homologué en 1954, présente un poignard lame haute, avec sur la garde l'inscription « division de fer ». Le pommeau du poignard porte les chiffres 11[9].
Une version en tissu est distribuée à partir du et portée sur la manche droite de l'uniforme[9].
Hommages
[modifier | modifier le code]- Place de la division de fer à Nancy[11].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- ↑ Victor Belhomme, Histoire de l'infanterie en France, t. 5, Henri Charles-Lavauzelle, (lire en ligne), chap. XLIX, p. 592
- ↑ Guy François, « 75 T et 150 T: ensemble pour compléter », Histoire de Guerre, Blindés et Matériel, no 150, , p. 29-34
- ↑ Du 13 au , la 105e brigade (53e DI) est à la disposition de la 11e DI.
Du 16 au 20 octobre 1914, la 53e DI est à la disposition de la 11e DI, pour l’occupation d’un secteur entre la Somme et l’Ancre. - ↑ Du 30 décembre 1914 au 30 janvier 1915, l’une des brigades de la 89e DT est à la disposition de la D.I.
- ↑ Du 15 février au 11 mars 1915, une brigade de la 89e D.T est à la disposition de la 11e DI.
- ↑ du 9 au 28 mai 1915, les troupes de la 53e DI sont mises à la disposition des 11e et 39e DI et combattent vers Neuville-Saint-Vaast.
- ↑ La 11e DI, amenée comme réserve d’armée près du front, est, à partir du 27 mars 1916, peu à peu engagée dans le secteur du 13e corps d’Armée.
- ↑ La 21e brigade est transportée dans la région de Blainville-sur-l'Eau, dès le 7 décembre 1916. L’État-Major de la division et la 22e brigade sont transportés le 14.
- Jacques Sicard, « La 11e DI en Algérie et ses insignes », Armes Militaria Magazine, no 126, , p. 46-51
- ↑ Sarmant, Schillinger et Hardy 2000, p. 82.
- ↑ « Place de la Division de Fer sur la carte de Nancy, France. », sur fr-street-view.pw (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- (fr) Ministère des Armées, État-Major de l'Armée de Terre, Service Historique, Inventaire sommaire des archives de la Guerre 1914-1918, Imprimerie « LA RENAISSANCE » — TROYES - Dépôt légal : 4e trimestre 1969 — No 19.982
- AFGG, vol. 2, t. 10 : Ordres de bataille des grandes unités : divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, , 1092 p. (lire en ligne).
- Thierry Sarmant, Philippe Schillinger et Michel Hardy, Inventaire de la série H, sous-série 1 H1091-4881 : Algérie 1945-1967, t. I : Introduction générale, Château de Vincennes, Service historique de l'Armée de terre, (ISBN 2-86323-129-4, ISSN 1269-7397, lire en ligne).
Liens externes
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